Caracal & les Sancho Panza ouvrent Radeinbach= 3,8/4
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Caracal & les Sancho Panza ouvrent Radeinbach= 3,8/4
En l'an de grace 2009 il existait encore en Suisse le canyon calcaire le plus continu présentant aussi le plus grand nombre d'obstacles avec 88 cascades et 65 rappels, 645 mètres de dénivelée avec un débit de 100 litres.
Première descente hyper continue les 6 & 7 août derniers grace surtout aux prospections et aux repérages du cantonnal hélvétique Timmo Stammwitz, qui fait désormais partie des Sancho Panza, irrémédiablement fidèles à Caracal dont la gracieuse Valérie Félix avec Patrick Cholot comme équipeur et Eric en voiture-balai.
La bande des 5 a noté Radeinbach dans les auréoles sûprèmes avec des notes similares entre 3,7 à 3,8 / 4
Avec 1 heure d'approche + téléphérique la descente équipée s'étale sur 7 à 9 heures, avec 5 minutes de retour.
Première descente hyper continue les 6 & 7 août derniers grace surtout aux prospections et aux repérages du cantonnal hélvétique Timmo Stammwitz, qui fait désormais partie des Sancho Panza, irrémédiablement fidèles à Caracal dont la gracieuse Valérie Félix avec Patrick Cholot comme équipeur et Eric en voiture-balai.
La bande des 5 a noté Radeinbach dans les auréoles sûprèmes avec des notes similares entre 3,7 à 3,8 / 4
Avec 1 heure d'approche + téléphérique la descente équipée s'étale sur 7 à 9 heures, avec 5 minutes de retour.
Dernière modification par Boustourou le sam. 08 août 2009 12:15, modifié 1 fois.
L'BOUSTOU aux 3 GORGOpotamos - 799 canyons # / 1215 descentes.
Bravo ...et vous avez mit combien de tps pr équiper?car tu indique la descente de 7 à 9 heures une fois équipé...Boustourou a écrit : En l'an de grace 2009 il existait encore en Suisse le canyon calcaire le plus continu présentant aussi le plus grand nombre d'obstacles avec 88 cascades et 65 rappels, 645 mètres de dénivelée avec un débit de 100 litres.
Première descente hyper continue les 6 & 7 août derniers par les avertis Sancho Panza, irrémédiablement fidèles à Caracal grace à Timmo Stammwitz, la gracieuse Valérie Félix avec Patrick Cholot comme équipeur et Eric en voiture-balai.
Cotation: 3,7 à 3,8 / 4
Avec 1 heure d'approche + téléphérique la descente équipée s'étale sur 7 à 9 heures, avec 5 minutes de retour.
Yep Yop........ Tribu canyon
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Noux, première en 2 jours les 6 & 7Noux a écrit :Bravo ...et vous avez mit combien de tps pr équiper?car tu indique la descente de 7 à 9 heures une fois équipé...Boustourou a écrit : En l'an de grace 2009 il existait encore en Suisse le canyon calcaire le plus continu présentant aussi le plus grand nombre d'obstacles avec 88 cascades et 65 rappels, 645 mètres de dénivelée avec un débit de 100 litres.
Première descente hyper continue les 6 & 7 août derniers par les avertis Sancho Panza, irrémédiablement fidèles à Caracal grace à Timmo Stammwitz, la gracieuse Valérie Félix avec Patrick Cholot comme équipeur et Eric en voiture-balai.
Cotation: 3,7 à 3,8 / 4
Avec 1 heure d'approche + téléphérique la descente équipée s'étale sur 7 à 9 heures, avec 5 minutes de retour.
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La vache, les enfers (04) c'est du pipi de chat à côtéBoustourou a écrit : En l'an de grace 2009 il existait encore en Suisse le canyon calcaire le plus continu présentant aussi le plus grand nombre d'obstacles avec 88 cascades et 65 rappels, 645 mètres de dénivelée avec un débit de 100 litres.
Première descente hyper continue les 6 & 7 août derniers par les avertis Sancho Panza, irrémédiablement fidèles à Caracal grace à Timmo Stammwitz, la gracieuse Valérie Félix avec Patrick Cholot comme équipeur et Eric en voiture-balai.
Cotation: 3,7 à 3,8 / 4
Avec 1 heure d'approche + téléphérique la descente équipée s'étale sur 7 à 9 heures, avec 5 minutes de retour.
Kate ! Willy ! Je mangerais bien un p'tit chat ...
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Caracal écrit:
"Seuls Eric et Patrick ont des photos.
Mais ils sont tous loin des connexions...d'autant que la mauvaise météo, ouf on est est passés à temps ..."
"Seuls Eric et Patrick ont des photos.
Mais ils sont tous loin des connexions...d'autant que la mauvaise météo, ouf on est est passés à temps ..."
Dernière modification par Boustourou le sam. 08 août 2009 14:45, modifié 1 fois.
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Récit sommaire des premiers descendeurs:
"Où reste la dernière frontière de l’alpinisme ?
Plus aucun sommet en Europe attend son premier visiteur.
Pourtant, un domaine reste à visiter, oublié par les explorateurs de jadis : les canyons.
Et paradoxalement c’est en Suisse terre foulée par les plus grands noms aux exploits héroïques et parfois inconscients que se niche les dernières grandes descentes à ouvrir ou à sortir de l’ombre.
Où exactement ?
Dans le canton de Saint Gall, dans la vallée de Taminatal et son nom est le Radeinbach.
Du téléphérique qui mène au départ on devine la veine d’eau étroite qui découpe la roche massive aux falaises vertigineuses
Au final 88 obstacles de plus de 2 m, 65 rappels à ce jour, 7 à 9 h de descentes pour 1 h d’approche et 5 mn de retour, un débit moyen de 100 l/s
Ce canyon exigeant, de 660 m de dénivelée, constitue la descente calcaire tout à la fois la plus continue et au plus grand nombre de cascades d’Europe.
Elle est notée sur la grille d’intérêt beauté canyon de 3,7 à 3,8 / 4.
Chaque cascade s’enchaîne à l’autre dans un rocher marbré, massif.
Parcourir l’encaissement central, à 13 h, lorsque le soleil jette ses rayons jusqu’au fond de l’étroit et illumine l’affluent RG arc en ciel, procure un des moments canyons fabuleux, cadeau de la montagne
Deux jours et 70 goujons ont été nécessaires pour le vaincre le 06 et le 07 août 2009.
Nous devons cette révélation à Timo Stammswitz qui a fait un gros travail de repérage.
L’équipement a été ensuite réalisé par Patrick Chollot, Eric Frézal, Valérie Félix et Caracal."
"Où reste la dernière frontière de l’alpinisme ?
Plus aucun sommet en Europe attend son premier visiteur.
Pourtant, un domaine reste à visiter, oublié par les explorateurs de jadis : les canyons.
Et paradoxalement c’est en Suisse terre foulée par les plus grands noms aux exploits héroïques et parfois inconscients que se niche les dernières grandes descentes à ouvrir ou à sortir de l’ombre.
Où exactement ?
Dans le canton de Saint Gall, dans la vallée de Taminatal et son nom est le Radeinbach.
Du téléphérique qui mène au départ on devine la veine d’eau étroite qui découpe la roche massive aux falaises vertigineuses
Au final 88 obstacles de plus de 2 m, 65 rappels à ce jour, 7 à 9 h de descentes pour 1 h d’approche et 5 mn de retour, un débit moyen de 100 l/s
Ce canyon exigeant, de 660 m de dénivelée, constitue la descente calcaire tout à la fois la plus continue et au plus grand nombre de cascades d’Europe.
Elle est notée sur la grille d’intérêt beauté canyon de 3,7 à 3,8 / 4.
Chaque cascade s’enchaîne à l’autre dans un rocher marbré, massif.
Parcourir l’encaissement central, à 13 h, lorsque le soleil jette ses rayons jusqu’au fond de l’étroit et illumine l’affluent RG arc en ciel, procure un des moments canyons fabuleux, cadeau de la montagne
Deux jours et 70 goujons ont été nécessaires pour le vaincre le 06 et le 07 août 2009.
Nous devons cette révélation à Timo Stammswitz qui a fait un gros travail de repérage.
L’équipement a été ensuite réalisé par Patrick Chollot, Eric Frézal, Valérie Félix et Caracal."
L'BOUSTOU aux 3 GORGOpotamos - 799 canyons # / 1215 descentes.
Ca y est j'ai une connexion internet de qualité. Pour faire un peu de pub, le camping du turnigla est TB. Wifi haut débit gratos, eau trés chaude sans supplément, prix pour la Suisse +tôt confortable (12 FFS une voiture une personne pas de tentes)
Je regrette simplement qu'Eric ou Patrick ne puissent pas s'exprimer sur cette descente, nous aurions eu un autre regard surement plus pertinent Et avec, toutes les jokes de la course.
Cette descente au final est vraiment exceptionnelle en particulier pour sa continuité. Nous n'avons jamais fait + de 5 mn de marches et les casc. "laides" se comptent sur les doigt de la main (et une seule). Le rocher est massif, bien sculpté. Bien sur j'ai trouvé les vasques de Turnigla plus jolies, les lumières du Mascun sont meilleures, et les cascades de Trummelbach plus terrifiques, mais il n'empêche que je le place dans les 10 plus beaux canyons d'Europe. Un incontournable.
Ce qui est agréable, c'est que le canyon est trés exigeant et technique, avec un débit fort (enfin en fonction de ma notion qui est trés basse ). Mais, il existe quasiment toujours un moyen pour éviter le gros de l'actif et ne pas se faire trop secouer.
Chaque année je pense en avoir "fini" avec les nouvelles grandes descentes inconnues de France. Et ben non Tant mieux Mais pour combien de temps encore
Merci au boustou national, enfin européen qui s'est fait l'intermédiaire modeste, de notre modeste descente aux mille et un
Plus sérieusement, je suis obligé de dire un mot sur Timo. Même si cette descente était connue en Suisse depuis bien longtemps, pour des raisons difficile à déterminer tous avait abandonné ou reporté la descente. Andreas Brunner avait par le haut posé des points dans les 4 premières cascades; mais il n'avait pas continué. On peut dire que cette équipe Franco-suisse s'est admirablement complétée, puisque nous n'aurions pas trouvé tout seule cette descente - elle ne se voit pas de la route - et nous avons apporté à Timo avec Patrick, Eric et Valérie le support logistique et technique nécessaire à la descente . De même, il a réalisé un gros travail de communication auprés des habitants qui voient trés positivement cette ouverture.
Je regrette simplement qu'Eric ou Patrick ne puissent pas s'exprimer sur cette descente, nous aurions eu un autre regard surement plus pertinent Et avec, toutes les jokes de la course.
Cette descente au final est vraiment exceptionnelle en particulier pour sa continuité. Nous n'avons jamais fait + de 5 mn de marches et les casc. "laides" se comptent sur les doigt de la main (et une seule). Le rocher est massif, bien sculpté. Bien sur j'ai trouvé les vasques de Turnigla plus jolies, les lumières du Mascun sont meilleures, et les cascades de Trummelbach plus terrifiques, mais il n'empêche que je le place dans les 10 plus beaux canyons d'Europe. Un incontournable.
Ce qui est agréable, c'est que le canyon est trés exigeant et technique, avec un débit fort (enfin en fonction de ma notion qui est trés basse ). Mais, il existe quasiment toujours un moyen pour éviter le gros de l'actif et ne pas se faire trop secouer.
Chaque année je pense en avoir "fini" avec les nouvelles grandes descentes inconnues de France. Et ben non Tant mieux Mais pour combien de temps encore
Merci au boustou national, enfin européen qui s'est fait l'intermédiaire modeste, de notre modeste descente aux mille et un
Plus sérieusement, je suis obligé de dire un mot sur Timo. Même si cette descente était connue en Suisse depuis bien longtemps, pour des raisons difficile à déterminer tous avait abandonné ou reporté la descente. Andreas Brunner avait par le haut posé des points dans les 4 premières cascades; mais il n'avait pas continué. On peut dire que cette équipe Franco-suisse s'est admirablement complétée, puisque nous n'aurions pas trouvé tout seule cette descente - elle ne se voit pas de la route - et nous avons apporté à Timo avec Patrick, Eric et Valérie le support logistique et technique nécessaire à la descente . De même, il a réalisé un gros travail de communication auprés des habitants qui voient trés positivement cette ouverture.
Quoi qu'il en soit, on finira tous un jour dans un lit
Voilà la fiche
Je l'ai mise sur la base. Il n'y a plus qu'à attendre la validation. Pendant les vacances c'est plus dur (Mot aux modos : il y a 2 fiches sur le compte de Radeinbach. Supprimez celle qui est incomplète )
Int/beauté: 3,7 – 3,8/4
Altitude départ : 1630 m
Dénivelé : 660 m
Altitude d’arrivée : 970 m
Longueur : m Casc. Max. : 20 m
Temps d’approche : 1 h Temps : 6 à 9 h Temps de retour : 5 mn
Hauteur de corde : 2 x 40 m
Période : Fin juillet - octobre
Roche : Calcaire
Commune : Vättis
Département, Région : Saint Gall
Bassin : Tamina Carte : 1175 Vättis
Caractère aquatique : Dès la fonte des gros névés vers le mois de juillet selon les années le débit tombe à l’étiage. Ce dernier reste important, mais la descente s’envisage pour les équipes expérimentées autour de 100 l/s. Au-dessus certaines cascades étroites deviennent dangereuses. On peut évaluer le débit de la passerelle à 5 mn du téléphérique. Il n’y a pas d’éléments objectifs pour évaluer le débit.
Equipement : Acceptable. Mais toutes les cascades sont sur des mono goujons de 10 mm. Ils sont protégés des crues et parfois loin de l’actif. Certains points sont difficiles à trouver surtout lorsqu’il faut réaliser des MC. Les derniers encaissements sont équipés hors d’eau. Toutes les cascades n’ont pas un point.
Engagement : Très fort. Une bonne échappatoire existe à 1500 m. La sente reste réservée aux randonneurs expérimentés. A emprunter si le débit est trop fort dans la partie supérieure. De même, des jeux existent en particulier à l’étiage. Mais les vasques sont à vérifier systématiquement. Les blocs sont invisibles et redoutables.
Historique : Prospection et repérage : Timo Stammwitz. Pose des 4 premiers goujons par le haut sans descente dans l’actif par Andréas Brunner en mai (2009 ?) (1630 m – 1580 m). Descente et équipement de 1630 m à 1500 m : Patrick Chollot, Eric Frézal, Valérie Félix, Timo Stammwitz et Caracal le 07 août 2009 en 3 h. Equipement de 1500 m à 1060 m : Patrick Chollot, Eric Frézal, Timo Stammwitz et Caracal le 06 août 2009 en 8h30. Equipement de 1060 m à 1000 m : Patrick Chollot, Eric Frézal, Valérie Félix, Timo Stammwitz et Caracal le 07 août 2009 en 1h30. Equipement de 1000 m à 970 m : Timo Stammwitz et xxxxxx en octobre 2008.
Accès aval:
Sortez de l’autoroute à Bad Ragaz et prenez la direction de Vättis. Après un pont en bois, vous verrez à droite un panneau pour le téléphérique du Vättnerberg. Garez-vous au niveau des installations.
Si vous venez du Tessin par la san Bernardino, sortez à Landquart suivez la direction de bad Ragaz puis Vättis
Approche : Au sommet du téléphérique prenez à gauche la piste qui monte en haut de l’alpage vers Tritt à 1855 m. Ambiance Suisse garantie. Redescendez ensuite vers le cours d’eau et longez le 10 mn. Les sangliers trouveront des accès directs par les couloirs à avalanches.
Description : Le canyon se divise en plusieurs sections distinctes : la partie supérieure avec une « bonne » échappatoire. La partie intermédiaire divisée en deux ambiances différentes, la partie inférieure que l’on peut éviter par une échappatoire difficile et peu utile.
Partie supérieure : La descente est technique parce que le premier encaissement de toute beauté oblige à quelques passages dans l’actif. Mais en général on trouvera une rampe peu glissante permettant d’éviter le gros du flux. Le beau rocher massif s’estompe et laisse place à un obstacle dans les blocs. Après le surplomb RG les vasques s’enchaînent et débouchent à l’échappatoire visible RG. A ce niveau l’herbe descend jusqu’au canyon et juste après se trouve le plus grand obstacle du canyon.
L’échappatoire remonte RG et rejoint rapidement la forêt par une sente parfois vertigineuse (Peu de difficultés pour les randonneurs expérimentés). On suit tranquillement la falaise en croisant la cascade de l’affluent. La montée légère se poursuit et débouche dans l’alpage. Attention, si les herbes sont hautes ne surtout pas traverser le champ (Forte amende et réprobation assurée). Respectez la propriété privée en longeant la forêt et en rejoignant au mieux la piste.
Partie intermédiaire : L’eau se projette dans les entrailles de la terre. L’encaissement ne va plus nous quitter pour plus de 2 h. La cascade de 20 m se passe grâce à une MC RD qui évite le gros du jet. Les cascades s’enchaînent sans temps mort et l’étroit se resserre de plus en plus. Deux cascades se passent proches ou dans l’actif ce qui peut poser problèmes en cas de gros débit. Le plus beau et la confluence avec l’affluent RG. Si vous le découvrez entre 11H et 13 h, la lumière pénètre alors jusqu’au font, aux arcs-en-ciel multiples. L’eau tombe de toute part dans un couloir rectiligne à la perspective épurée. Encore sous le charme, le festival continue par la plus belle cascade. Au milieu de multiples rideaux moelleux, les jets vous enveloppent et vous descendez en lévitation sans difficultés. Après un passage une fois encore très resserrées, le canyon s’ouvre sur un enchaînement de toboggans ensoleillés qui ne démérite pas.
Au loin, un cirque se dessine avec une cascade sèche creusée. Le canyon fait alors un coude radical à gauche. L’ambiance est ouverte et les obstacles continuent benoîtement leurs courses, toujours aussi continus, bien creusés et agréables. Après deux cascades de 15 m descendables en une fois on peut s’élever RG par une sente d’animaux périlleuse. Nous n’avons pas vérifié si elle permettait une sortie définitive mais le parcours semble aléatoire avec des gros sacs. Juste après, alors que l’on pense les difficultés terminées, débute le dernier encaissement technique.
Une première MC RD permet d’éviter le gros du flux (Merci à l’effort de Patrick). On passe la petite cascade suivante et il faut trouver le point RD bien caché début d’une main courante qui permet d’accéder au point de rappel toujours RD. A présent vous êtes hors de l’encaissement et vous soufflez d’aise lorsque vous remarquez que la belle cascade de 15 m bouche de son jet la vasque de sortie. Actuellement il n’y a pas d’équipement dans l’actif. Par un premier rappel passez à côté d’un Hêtre jusqu’à une petite baume ou vous trouverez une sangle noire dans un buisson. Elle permet de faire une MC de plusieurs points et d’enchaîner un dernier rappel qui évite la dernière cascade, elle même de 15 m.
A présent les obstacles sont plus petits dans une ambiance plus ouverte. On peut sortir RD mais pour cela il faut maîtriser le 6b herbe sur 30 m. Il faut ensuite installer au moins une MC pour ne pas glisser dans les pentes.
Partie inférieure : Mieux vaut donc continuer dans l’encaissement qui se profile. Les points évitent en général le gros du débit. On termine par une faille que l’on contourne hors d’eau RD. Vous faîtes une 30aine de mètre de marche (Il le fallait bien ) et vous avez le plaisir d’apercevoir le pont. Exténué (enfin pour certains ), mais heureux, vous vous congratulez chaleureusement (Enfin j’espère).
Sortie : Une sente en aval du pont rejoint le GR qui vous mène en moins de 5 mn au téléphérique.
Bivouac : Evitez les bivouacs dans la vallée. Ils sont possibles mais les habitants s’en rendent vites compte ce qui pourrait modifier leurs bonnes dispositions envers les canyonistes.
Hébergement : 2 hôtels/restaurants au village.
Tourisme :
Restaurant :
Je l'ai mise sur la base. Il n'y a plus qu'à attendre la validation. Pendant les vacances c'est plus dur (Mot aux modos : il y a 2 fiches sur le compte de Radeinbach. Supprimez celle qui est incomplète )
Int/beauté: 3,7 – 3,8/4
Altitude départ : 1630 m
Dénivelé : 660 m
Altitude d’arrivée : 970 m
Longueur : m Casc. Max. : 20 m
Temps d’approche : 1 h Temps : 6 à 9 h Temps de retour : 5 mn
Hauteur de corde : 2 x 40 m
Période : Fin juillet - octobre
Roche : Calcaire
Commune : Vättis
Département, Région : Saint Gall
Bassin : Tamina Carte : 1175 Vättis
Caractère aquatique : Dès la fonte des gros névés vers le mois de juillet selon les années le débit tombe à l’étiage. Ce dernier reste important, mais la descente s’envisage pour les équipes expérimentées autour de 100 l/s. Au-dessus certaines cascades étroites deviennent dangereuses. On peut évaluer le débit de la passerelle à 5 mn du téléphérique. Il n’y a pas d’éléments objectifs pour évaluer le débit.
Equipement : Acceptable. Mais toutes les cascades sont sur des mono goujons de 10 mm. Ils sont protégés des crues et parfois loin de l’actif. Certains points sont difficiles à trouver surtout lorsqu’il faut réaliser des MC. Les derniers encaissements sont équipés hors d’eau. Toutes les cascades n’ont pas un point.
Engagement : Très fort. Une bonne échappatoire existe à 1500 m. La sente reste réservée aux randonneurs expérimentés. A emprunter si le débit est trop fort dans la partie supérieure. De même, des jeux existent en particulier à l’étiage. Mais les vasques sont à vérifier systématiquement. Les blocs sont invisibles et redoutables.
Historique : Prospection et repérage : Timo Stammwitz. Pose des 4 premiers goujons par le haut sans descente dans l’actif par Andréas Brunner en mai (2009 ?) (1630 m – 1580 m). Descente et équipement de 1630 m à 1500 m : Patrick Chollot, Eric Frézal, Valérie Félix, Timo Stammwitz et Caracal le 07 août 2009 en 3 h. Equipement de 1500 m à 1060 m : Patrick Chollot, Eric Frézal, Timo Stammwitz et Caracal le 06 août 2009 en 8h30. Equipement de 1060 m à 1000 m : Patrick Chollot, Eric Frézal, Valérie Félix, Timo Stammwitz et Caracal le 07 août 2009 en 1h30. Equipement de 1000 m à 970 m : Timo Stammwitz et xxxxxx en octobre 2008.
Accès aval:
Sortez de l’autoroute à Bad Ragaz et prenez la direction de Vättis. Après un pont en bois, vous verrez à droite un panneau pour le téléphérique du Vättnerberg. Garez-vous au niveau des installations.
Si vous venez du Tessin par la san Bernardino, sortez à Landquart suivez la direction de bad Ragaz puis Vättis
Approche : Au sommet du téléphérique prenez à gauche la piste qui monte en haut de l’alpage vers Tritt à 1855 m. Ambiance Suisse garantie. Redescendez ensuite vers le cours d’eau et longez le 10 mn. Les sangliers trouveront des accès directs par les couloirs à avalanches.
Description : Le canyon se divise en plusieurs sections distinctes : la partie supérieure avec une « bonne » échappatoire. La partie intermédiaire divisée en deux ambiances différentes, la partie inférieure que l’on peut éviter par une échappatoire difficile et peu utile.
Partie supérieure : La descente est technique parce que le premier encaissement de toute beauté oblige à quelques passages dans l’actif. Mais en général on trouvera une rampe peu glissante permettant d’éviter le gros du flux. Le beau rocher massif s’estompe et laisse place à un obstacle dans les blocs. Après le surplomb RG les vasques s’enchaînent et débouchent à l’échappatoire visible RG. A ce niveau l’herbe descend jusqu’au canyon et juste après se trouve le plus grand obstacle du canyon.
L’échappatoire remonte RG et rejoint rapidement la forêt par une sente parfois vertigineuse (Peu de difficultés pour les randonneurs expérimentés). On suit tranquillement la falaise en croisant la cascade de l’affluent. La montée légère se poursuit et débouche dans l’alpage. Attention, si les herbes sont hautes ne surtout pas traverser le champ (Forte amende et réprobation assurée). Respectez la propriété privée en longeant la forêt et en rejoignant au mieux la piste.
Partie intermédiaire : L’eau se projette dans les entrailles de la terre. L’encaissement ne va plus nous quitter pour plus de 2 h. La cascade de 20 m se passe grâce à une MC RD qui évite le gros du jet. Les cascades s’enchaînent sans temps mort et l’étroit se resserre de plus en plus. Deux cascades se passent proches ou dans l’actif ce qui peut poser problèmes en cas de gros débit. Le plus beau et la confluence avec l’affluent RG. Si vous le découvrez entre 11H et 13 h, la lumière pénètre alors jusqu’au font, aux arcs-en-ciel multiples. L’eau tombe de toute part dans un couloir rectiligne à la perspective épurée. Encore sous le charme, le festival continue par la plus belle cascade. Au milieu de multiples rideaux moelleux, les jets vous enveloppent et vous descendez en lévitation sans difficultés. Après un passage une fois encore très resserrées, le canyon s’ouvre sur un enchaînement de toboggans ensoleillés qui ne démérite pas.
Au loin, un cirque se dessine avec une cascade sèche creusée. Le canyon fait alors un coude radical à gauche. L’ambiance est ouverte et les obstacles continuent benoîtement leurs courses, toujours aussi continus, bien creusés et agréables. Après deux cascades de 15 m descendables en une fois on peut s’élever RG par une sente d’animaux périlleuse. Nous n’avons pas vérifié si elle permettait une sortie définitive mais le parcours semble aléatoire avec des gros sacs. Juste après, alors que l’on pense les difficultés terminées, débute le dernier encaissement technique.
Une première MC RD permet d’éviter le gros du flux (Merci à l’effort de Patrick). On passe la petite cascade suivante et il faut trouver le point RD bien caché début d’une main courante qui permet d’accéder au point de rappel toujours RD. A présent vous êtes hors de l’encaissement et vous soufflez d’aise lorsque vous remarquez que la belle cascade de 15 m bouche de son jet la vasque de sortie. Actuellement il n’y a pas d’équipement dans l’actif. Par un premier rappel passez à côté d’un Hêtre jusqu’à une petite baume ou vous trouverez une sangle noire dans un buisson. Elle permet de faire une MC de plusieurs points et d’enchaîner un dernier rappel qui évite la dernière cascade, elle même de 15 m.
A présent les obstacles sont plus petits dans une ambiance plus ouverte. On peut sortir RD mais pour cela il faut maîtriser le 6b herbe sur 30 m. Il faut ensuite installer au moins une MC pour ne pas glisser dans les pentes.
Partie inférieure : Mieux vaut donc continuer dans l’encaissement qui se profile. Les points évitent en général le gros du débit. On termine par une faille que l’on contourne hors d’eau RD. Vous faîtes une 30aine de mètre de marche (Il le fallait bien ) et vous avez le plaisir d’apercevoir le pont. Exténué (enfin pour certains ), mais heureux, vous vous congratulez chaleureusement (Enfin j’espère).
Sortie : Une sente en aval du pont rejoint le GR qui vous mène en moins de 5 mn au téléphérique.
Bivouac : Evitez les bivouacs dans la vallée. Ils sont possibles mais les habitants s’en rendent vites compte ce qui pourrait modifier leurs bonnes dispositions envers les canyonistes.
Hébergement : 2 hôtels/restaurants au village.
Tourisme :
Restaurant :
Dernière modification par Caracal le dim. 09 août 2009 10:01, modifié 1 fois.
Quoi qu'il en soit, on finira tous un jour dans un lit
Suite à une question sur mon mail j'apporte une précision :
Le téléphérique et ouvert entre le 15 mai et le 15 octobre. La première benne est à 7h30. Le prix de l’aller en 2009 était de 8 FFS. On peut téléphoner si on parle l’Allemand à la dame responsable des installations : +41 (0)79 448 38 51
En fait lorsqu'il y a du monde, le téléphérique marche à la demande après avoir négocié gentiment
Le téléphérique et ouvert entre le 15 mai et le 15 octobre. La première benne est à 7h30. Le prix de l’aller en 2009 était de 8 FFS. On peut téléphoner si on parle l’Allemand à la dame responsable des installations : +41 (0)79 448 38 51
En fait lorsqu'il y a du monde, le téléphérique marche à la demande après avoir négocié gentiment
Quoi qu'il en soit, on finira tous un jour dans un lit
A oui, on a essayé de chercher les canyon ayant au moins plus de rappels. On en a trouvé dans le granite dans la vallée d'ossola, tessin... Mais dans le calcaire, .... Même en Grèce ou italie centrale (Serviera 54 rappels). donc, si vous trouvez mieux dîtes moi leGreg 06 a écrit :La vache, les enfers (04) c'est du pipi de chat à côtéBoustourou a écrit : En l'an de grace 2009 il existait encore en Suisse le canyon calcaire le plus continu présentant aussi le plus grand nombre d'obstacles avec 88 cascades et 65 rappels, 645 mètres de dénivelée avec un débit de 100 litres.
Première descente hyper continue les 6 & 7 août derniers par les avertis Sancho Panza, irrémédiablement fidèles à Caracal grace à Timmo Stammwitz, la gracieuse Valérie Félix avec Patrick Cholot comme équipeur et Eric en voiture-balai.
Cotation: 3,7 à 3,8 / 4
Avec 1 heure d'approche + téléphérique la descente équipée s'étale sur 7 à 9 heures, avec 5 minutes de retour.
Quoi qu'il en soit, on finira tous un jour dans un lit
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Grand bravo, depuis ton sms je bave plus que mon fils qui fait ses dents, ces deux photos font déjà notre bonheur, vivement les suivantes.Caracal a écrit :Moi je n'ai quasiment aucune photo, j'avais oubli l'appareil photo dans mon k-way, qui était au fond du bidon, qui était au fond du sac d'Eric Mais bon, j'ai tout deux même fait 2 photos de la partie haute.
Grand bravo à tous.
Guêpes au mois d'Août, sors tes moon-boot,
Moustiques au mois d'Mars, SORS TA KORDA'S !!!
Moustiques au mois d'Mars, SORS TA KORDA'S !!!