Huit débrayable sur cordes raboutées ?!....
- whaoooo
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Huit débrayable sur cordes raboutées ?!....
Salut à tous...
Comme l'annonce le sujet qu'elle est la meilleure technique sur cordes raboutées montées sur huit débrayable ? jusque là tout va bien mais c'est au niveau du rappel de corde que je m'interpelle!!! vaut il mieux monter ce système sur un demi-cab....
A l'ancienne je raboutais mes deux cordes et descendais en double mais la technique évolue et compte bien évoluer avec elle!!!
Alors merci pour vos précieux conseils
Et à très bientôt
M@nu
Comme l'annonce le sujet qu'elle est la meilleure technique sur cordes raboutées montées sur huit débrayable ? jusque là tout va bien mais c'est au niveau du rappel de corde que je m'interpelle!!! vaut il mieux monter ce système sur un demi-cab....
A l'ancienne je raboutais mes deux cordes et descendais en double mais la technique évolue et compte bien évoluer avec elle!!!
Alors merci pour vos précieux conseils
Et à très bientôt
M@nu
comme un poisson dans l'H2O...enfin presque!!!!!!! ( MdE Mt BLANC )
Si tu fais un débrayable (avec des cordes raboutées ou non), c'est qu'il y a une bonne raison. Sauf si cette raison n'est pas valable pour le dernier, il va falloir aussi un debrayable pour le dernier. Donc il faut un debrayable du bas... '
Bon, d'accord, c'est une réponse un peu provoc'...
En effet, j'ai déjà trouvé 3 raisons souvent réunies pour trouver une autre solution que le débrayable du bas... Comme toujours, il n'y aura pas une réponse unique à cette question. Tout dépends des problèmes à gérer sur cette cascade.
Mais mon message était pour attirer l'attention sur le fait qu'on doit autant prendre en compte les risques pour le dernier que pour le reste du groupe, ce qui est malheureusement pas toujours le cas...
Bon, d'accord, c'est une réponse un peu provoc'...
En effet, j'ai déjà trouvé 3 raisons souvent réunies pour trouver une autre solution que le débrayable du bas... Comme toujours, il n'y aura pas une réponse unique à cette question. Tout dépends des problèmes à gérer sur cette cascade.
Mais mon message était pour attirer l'attention sur le fait qu'on doit autant prendre en compte les risques pour le dernier que pour le reste du groupe, ce qui est malheureusement pas toujours le cas...
Bertrand Hauser
- whaoooo
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Re Bonsoir...
C'est vrai on oublie souvent le dernier qui descend sans autre sécurité que son huit et son savoir faire!!!
Mais mon problème est (bien qu'il n'y est pas de cas type) de savoir où placer mon noeud de rabout : avant mon huit ( ce qui m'empêchera de me servir de mon débrayable en cas de besoin) ou bien après mon huit ( ce qui me posera problème pour le rappel de la corde ) là je sèche et suis donc limité par mes longueurs de cordes.....
C'est vrai on oublie souvent le dernier qui descend sans autre sécurité que son huit et son savoir faire!!!
Mais mon problème est (bien qu'il n'y est pas de cas type) de savoir où placer mon noeud de rabout : avant mon huit ( ce qui m'empêchera de me servir de mon débrayable en cas de besoin) ou bien après mon huit ( ce qui me posera problème pour le rappel de la corde ) là je sèche et suis donc limité par mes longueurs de cordes.....
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Il me semble que tu donnes toi meme la reponse...Mais mon problème est (bien qu'il n'y est pas de cas type) de savoir où placer mon noeud de rabout : avant mon huit ( ce qui m'empêchera de me servir de mon débrayable en cas de besoin) ou bien après mon huit ( ce qui me posera problème pour le rappel de la corde
Mais il faut demonter pour le dernier.
Comme tu le dis toi meme, si tu raboutes derrière le huit du débrayable, tu peux plus débrayer ! Donc faut bien le mettre de l’autre coté. Tu peux aussi faire un demi cab. Dans les deux cas faut tout démonter pour le dernier. Ou effectivement comme le rappelle l’administrateur mettre en oeuvre une autre technique (débrayable du bas, guidé) si la difficulté de la cascade le justifie.
Julien
Julien
« Si vous pensez que l’aventure est dangereuse, essayez la routine… Elle est mortelle. » (P. Coelho)
Salut a tous, a propos du debrayable du bas,ce sujet m'interesse,est ce que quelqu'un sur le forum s'entraine a l'utiliser regulierement dans ce cas avec quelle méthode est ce toujours avec les même equipiers est ce qu'il y a perte de temps même lorsque on est rodé
Un 8 pour les gouverner tous, un 8 pour les trouver, un 8 pour les amener ect...
- whaoooo
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Bonjour...
Et encore merci à tous pour vos remarques, conseils et suggestions...
Quand au huit débrayable du bas comme le demande PL un petit cours ne serait pas de refus ( en attendant la réédition du livre : Technique de descente de canyons ) car sur le net aucune description technique n'est disponible....
Merci d'avance
Et encore merci à tous pour vos remarques, conseils et suggestions...
Quand au huit débrayable du bas comme le demande PL un petit cours ne serait pas de refus ( en attendant la réédition du livre : Technique de descente de canyons ) car sur le net aucune description technique n'est disponible....
Merci d'avance
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Salut,lors de mes essaies du debrayable en boucle j'ai remarqué les choses suivante.
Pour celui qui descend:il faut pomper le mou comme pas possible en se disant,il tient l'autre en bas ou quoi !
Pour celui du bas:mise en place pas trés pratique,pas rapide,je dirais carement Ch.... mais peu être que je n'est pas la bonne méthode ?
Dernier point,pas de possibilitées de mettre la corde au ras de l'eau(ce qui est le comble dans un cas pareil non )?
qu'en pensez vous
Pour celui qui descend:il faut pomper le mou comme pas possible en se disant,il tient l'autre en bas ou quoi !
Pour celui du bas:mise en place pas trés pratique,pas rapide,je dirais carement Ch.... mais peu être que je n'est pas la bonne méthode ?
Dernier point,pas de possibilitées de mettre la corde au ras de l'eau(ce qui est le comble dans un cas pareil non )?
qu'en pensez vous
Un 8 pour les gouverner tous, un 8 pour les trouver, un 8 pour les amener ect...
Bon une autre reponse provoc '
Le sujet etant le debrayable sur cordes raboutees, il me semble que c'est tres rare dans ce cas que tu puisses regler ta corde au ras de l'eau...
Je n'ai pas souvent utilise le debrayable du bas, mais disons que son utilisation sans contact visuel pose qqs problemes... pshycologiques
Le sujet etant le debrayable sur cordes raboutees, il me semble que c'est tres rare dans ce cas que tu puisses regler ta corde au ras de l'eau...
Je n'ai pas souvent utilise le debrayable du bas, mais disons que son utilisation sans contact visuel pose qqs problemes... pshycologiques
salut,
de toute façon pour dégager le dernier équipier cela ne peut se faire que par le bas soit en débrayant soit en remontant le chercher à condition dans les deux cas de le voir ou de le savoir en difficulté. pas toujours possible.
pour répondre à la question de la position du huit avant ou après le noeud,je ne fais pas de noeud d'ajout enfin pas comme tu l'entends.
je laisse le surplus de corde dans le premier sac qui est assuré sur le huit.
je fixe la seconde corde au moment de partir sur le même huit(boucle et mousqueton) et je redescend avec le sac correspondant.
en ravallant la corde le sac redescend.
entre temps j'ai tout le rabe de la première corde pour débrayer les coéquipiers, tout est bien rangé au relais et ça fonctionne bien.
juste un peu brutal pour le sac.
mais ça ne résoud en rien le pb de la sécu du dernier, en principe le + expérimenté, mais alors qui irait installer un débrayable en bas.
a+
de toute façon pour dégager le dernier équipier cela ne peut se faire que par le bas soit en débrayant soit en remontant le chercher à condition dans les deux cas de le voir ou de le savoir en difficulté. pas toujours possible.
pour répondre à la question de la position du huit avant ou après le noeud,je ne fais pas de noeud d'ajout enfin pas comme tu l'entends.
je laisse le surplus de corde dans le premier sac qui est assuré sur le huit.
je fixe la seconde corde au moment de partir sur le même huit(boucle et mousqueton) et je redescend avec le sac correspondant.
en ravallant la corde le sac redescend.
entre temps j'ai tout le rabe de la première corde pour débrayer les coéquipiers, tout est bien rangé au relais et ça fonctionne bien.
juste un peu brutal pour le sac.
mais ça ne résoud en rien le pb de la sécu du dernier, en principe le + expérimenté, mais alors qui irait installer un débrayable en bas.
a+
+ on est de fous...
Effectivement,j'ai dérivé du sujet je ne raisonais pas avec raboutage des cordes,mais plûtot pratique courante du debrayable par le basBon une autre reponse provoc '
Le sujet etant le debrayable sur cordes raboutees, il me semble que c'est tres rare dans ce cas que tu puisses regler ta corde au ras de l'eau...
En fait je ne connais personne qui l'utilise donc l'avis de quelqu'un qui maitrise ce truc m'interesse ?
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re salut,
je l'ai utlisé en stage, toujours avec rappel guidé donc tension par le bas, (demi-cab et noeud de mule). en haut on dégage tout et on descend sur le brin libre la tension se faisant toujours par le bas.
inconveniant: en débrayant on détend + ou - le guide mais ça marche.
condition il faut des équipiers connaissant le sujet en haut et surtout en bas, + encore s'il n'y a pas d'ancrage bas.
j'ai utilisé aussi le lorenzi pour les guidés, mais pas de possibilité de débrayer.
a+
je l'ai utlisé en stage, toujours avec rappel guidé donc tension par le bas, (demi-cab et noeud de mule). en haut on dégage tout et on descend sur le brin libre la tension se faisant toujours par le bas.
inconveniant: en débrayant on détend + ou - le guide mais ça marche.
condition il faut des équipiers connaissant le sujet en haut et surtout en bas, + encore s'il n'y a pas d'ancrage bas.
j'ai utilisé aussi le lorenzi pour les guidés, mais pas de possibilité de débrayer.
a+
+ on est de fous...
Bonjour.
Pour moi le débrayable en boucle du bas reste une usine a gaz (que je me sens incapable d’expliquer sur un forum sans dessins), pas évident à mettre en oeuvre, surtout si on a pas de contact visuel avec celui qui descend. De plus ça ne résout qu’une partie du problème (le blocage sous cascade) et ne fait rien pour l’arrivée du rappel puisque comme l’a fait remarquer PL on a pas la corde au ras de l’eau…
Conclusion : c’est qqun d’expérimenté (capable notamment de s’autodégager) qui devrait tjs descendre en dernier, et si vraiment ça craint (bcp d’eau, passage en apnée, vasque piégeuse a l’arrivée) le guidé semble la meilleure solution… Si y a pas de spits au pied de la cascade (et il ne faut deux ), trois équipiers longés au bout du guide suffisent a mettre en tension (c’est pas top mais ca passe).
Pour Pap440 la méthode que tu décris dans ton premier message ne fonctionne qu’a condition d’avoir dans le « premier sac » une corde de longueur deux fois la cascade (pour avoir assez de rab si tu débrayes). C’est pas forcément le cas, d’où le raboutage.
Dans ton deuxième msg il y a confusion entre débrayable en boucle du bas et guidé. Un guidé est débrayable du bas (si on le fait comme dans le manuel avec un demi cab et nœud de mule) mais le problème c’est que lorsque tu débrayes, le guide se relâche et ton équipier se retrouve dans le bouillon, ce que précisément on voulait éviter.
Bref, comme d’habitude, y a pas de solution miracle…
Comment les uns et les autres gérez-vous la descente du dernier ?
Julien
Pour moi le débrayable en boucle du bas reste une usine a gaz (que je me sens incapable d’expliquer sur un forum sans dessins), pas évident à mettre en oeuvre, surtout si on a pas de contact visuel avec celui qui descend. De plus ça ne résout qu’une partie du problème (le blocage sous cascade) et ne fait rien pour l’arrivée du rappel puisque comme l’a fait remarquer PL on a pas la corde au ras de l’eau…
Conclusion : c’est qqun d’expérimenté (capable notamment de s’autodégager) qui devrait tjs descendre en dernier, et si vraiment ça craint (bcp d’eau, passage en apnée, vasque piégeuse a l’arrivée) le guidé semble la meilleure solution… Si y a pas de spits au pied de la cascade (et il ne faut deux ), trois équipiers longés au bout du guide suffisent a mettre en tension (c’est pas top mais ca passe).
Pour Pap440 la méthode que tu décris dans ton premier message ne fonctionne qu’a condition d’avoir dans le « premier sac » une corde de longueur deux fois la cascade (pour avoir assez de rab si tu débrayes). C’est pas forcément le cas, d’où le raboutage.
Dans ton deuxième msg il y a confusion entre débrayable en boucle du bas et guidé. Un guidé est débrayable du bas (si on le fait comme dans le manuel avec un demi cab et nœud de mule) mais le problème c’est que lorsque tu débrayes, le guide se relâche et ton équipier se retrouve dans le bouillon, ce que précisément on voulait éviter.
Bref, comme d’habitude, y a pas de solution miracle…
Comment les uns et les autres gérez-vous la descente du dernier ?
Julien
« Si vous pensez que l’aventure est dangereuse, essayez la routine… Elle est mortelle. » (P. Coelho)
Concernant le fait que la corde ne soit pas ajustée lors d'un débrayable du bas en boucle n'est vraiment pas un souci... car le brin de traine pas dans la vasque mais va à l'équipier chargé justement de débrayer.
Lorsque le dernier qui descend arrive dans la vasque agitée, l'équipier au débrayable laisse filer le débrayble et ramène son coéquipier au calme en tirant sur la corde qui sort du descendeur. C'est très confortable.
Concernant la mise en place du débrayable du bas, c'est une question d'habitude. C'est assez rapide, et il n'y a pas de dilemme pour le dernier si on a juste penser à se mettre d'accord sur le brin de descente avant de se quitter. Si celui du bas fait bien sont boulot, il n'y a pas besoin de beaucoup ravaler lorsque l'on par le dernier.
Enfin, dans le cas de cordes raboutées, c'est encore plus simple puisqu'on dispose d'un noeud qui peut travailler en butée (et on rejoint la config du guidé débrayable du bas, sauf qu'on ne se sert pas du brin tendu comme guide).
En fait, faut penser qu'en canyon, c'est en gros toujours les mêmes techniques qu'on décline différement selon les besoins.
Lorsque le dernier qui descend arrive dans la vasque agitée, l'équipier au débrayable laisse filer le débrayble et ramène son coéquipier au calme en tirant sur la corde qui sort du descendeur. C'est très confortable.
Concernant la mise en place du débrayable du bas, c'est une question d'habitude. C'est assez rapide, et il n'y a pas de dilemme pour le dernier si on a juste penser à se mettre d'accord sur le brin de descente avant de se quitter. Si celui du bas fait bien sont boulot, il n'y a pas besoin de beaucoup ravaler lorsque l'on par le dernier.
Enfin, dans le cas de cordes raboutées, c'est encore plus simple puisqu'on dispose d'un noeud qui peut travailler en butée (et on rejoint la config du guidé débrayable du bas, sauf qu'on ne se sert pas du brin tendu comme guide).
En fait, faut penser qu'en canyon, c'est en gros toujours les mêmes techniques qu'on décline différement selon les besoins.
Bertrand Hauser
Ok,laisser filer le debrayable et ramener le tout j'y avais pas penséLorsque le dernier qui descend arrive dans la vasque agitée, l'équipier au débrayable laisse filer le débrayble et ramène son coéquipier au calme en tirant sur la corde qui sort du descendeur. C'est très confortable.
Cependant je préfererais quand même que la corde soit au ras de l'eau.
J'en prend note,mais je constate que cette technique n'est pratiquement jamais utilisé surtout dans le cadre de descente sportive ou le premier est souvent content de descendre sur un débrayable et le dernier,ben c'est super heroConcernant la mise en place du débrayable du bas, c'est une question d'habitude. C'est assez rapide, et il n'y a pas de dilemme pour le dernier si on a juste penser à se mettre d'accord sur le brin de descente avant de se quitter.
Un 8 pour les gouverner tous, un 8 pour les trouver, un 8 pour les amener ect...
- whaoooo
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Bonjour
Donc si je comprend bien :
Sur une C-30 avec 2X40 mètres, équipe de deux
1) Je pose mon débrayable du haut en faisant bien attention de placer mon raboutage sur le brin de descente après mon huit.( donc déjà 20 metres de corde dans la vasque de reception)
2) le premier descent assuré depuis le haut jusque ici tout va bien...
3) je défait mon débrayable du haut et lance mon sac , quoique 30 mètres ça fait haut, donc le premier descent avec le sac!!!...
4) l'équipier en bas se trouve un bon amarage (ex arbre...) et monte un débrayable du bas.
5) enfin le 2ème descent
Je doit me tromper quelque part non?????
Donc si je comprend bien :
Sur une C-30 avec 2X40 mètres, équipe de deux
1) Je pose mon débrayable du haut en faisant bien attention de placer mon raboutage sur le brin de descente après mon huit.( donc déjà 20 metres de corde dans la vasque de reception)
2) le premier descent assuré depuis le haut jusque ici tout va bien...
3) je défait mon débrayable du haut et lance mon sac , quoique 30 mètres ça fait haut, donc le premier descent avec le sac!!!...
4) l'équipier en bas se trouve un bon amarage (ex arbre...) et monte un débrayable du bas.
5) enfin le 2ème descent
Je doit me tromper quelque part non?????
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Dans la série "pb => exemple de solution"
Corde non ajustée alors que souci à la réception => ajuster quand même en raboutant ailleurs qu'en bout de corde (peu courant) ou au minimum, descendre avec un kit boule d'où se dévide la corde jusqu'à qq mètres au dessus de la vasque, le lancer au sec (ou dans un endroit calme) et se grouiller de passer la zone problématique (enfin, ne doit pas être excessivement problématique quand même )
Lancé du sac => D'où l'avantage d'utiliser un sac à corde et autre kit-boule. '
Amarrage du bas => Un équipier calé derrière un bloc, çà peu parfaitement suffire (on n'a pas toujours un arbre à proximité...). si on est plusieurs en bas (très souvent le cas), on se longe sur le gonze qui assure le débrayable du bas.
Avoir suffisament de corde pour débrayer => soit utilisation d'une corde annexe, soit utilisation du rab sur le brin de descente (débrayable en boucle).
Corde non ajustée alors que souci à la réception => ajuster quand même en raboutant ailleurs qu'en bout de corde (peu courant) ou au minimum, descendre avec un kit boule d'où se dévide la corde jusqu'à qq mètres au dessus de la vasque, le lancer au sec (ou dans un endroit calme) et se grouiller de passer la zone problématique (enfin, ne doit pas être excessivement problématique quand même )
Lancé du sac => D'où l'avantage d'utiliser un sac à corde et autre kit-boule. '
Amarrage du bas => Un équipier calé derrière un bloc, çà peu parfaitement suffire (on n'a pas toujours un arbre à proximité...). si on est plusieurs en bas (très souvent le cas), on se longe sur le gonze qui assure le débrayable du bas.
Avoir suffisament de corde pour débrayer => soit utilisation d'une corde annexe, soit utilisation du rab sur le brin de descente (débrayable en boucle).
Bertrand Hauser
Pour admin : si j’ai bien compris ta methode pour le debrayable en boucle du bas, tu te mets d’accord avec ton dernier equipier sur le brin de descente, et donc t’as pas besoin de mettre deux descendeurs en bas et d’en larguer un pour debrayer ? Ca me plait bien comme methode, et je pense que ca resoud pas mal de pb, tu peux detailler la mise en oeuvre stp ?
Julien
Julien
« Si vous pensez que l’aventure est dangereuse, essayez la routine… Elle est mortelle. » (P. Coelho)
Pour le choix du brin de débrayable, en principe, on n'a pas à tergiverser longtemps. S'il y a raboutage, c'est simple, le brin côté noeud sera le brin de descente, l'autre le brin de débrayage.
Bon, une fois en bas, on trouve un endroit pour se coincer. S'il n'y a pas suffisament de longueur de corde pour débrayer le dernier dans la zone craignos, on va utiliser soit une autre corde, soit, si c'est possible, le rab sur le brin de descente (débrayable du bas en boucle). On raboute donc ce bout de corde avec le brin de débrayage (très rarement en bout de corde, sauf quand çà tombe pile poil, donc le plus souvent en milieu de corde). Et on place son descendeur, puis éventuellement clef, naturellement sous ce raboutage.
On récapitule ce que l'on voit, dans le sens de la chaine d'assurance.
1. une longueur de corde enkité
2. descendeur avec coéquipié coincé ou s'il y a, amarage en bas
3. noeud de raboutage
4. longueur de corde servant au débrayable
5. amarage de tête de cascade.
6. noeud de raboutage en haut (en butée dans l'amarage 5.)
7. descendeur du dernier qui va descendre
8. une longueur de corde servant à se descente.
Si on est dans le cas d'un raboutage en boucle, le point 1. est remplacé par le bout de la corde du point 8.
Si on n'a pas eu besoin de rabouter en haut, le point 6. n'a pas lieu d'être. Il faut donc être assez coordonné, car la tension en bas n'est pas possible vu qu'il n'y a pas de noeud en butée. Le plus souvent, le dernier met son descendeur (il est longé). Quand ceux d'en bas sont prêts (ils ont un peu optimisé le mou), ils le font savoir (sifflet, visuel...). Celui d'en haut ravale une ou deux fois pour être en tension. Il se délonge et descend....
Bon c'est très long a expliquer, mais très rapide à faire quand c'est rodé. Et quand c'est rodé, on n'hésite pas à le faire souvent... et on gagne en sécurité. Bref, faut un peu s'entrainer, et surtout, sur le terrain, le décider avant que le dernier se retrouve tout seul.
Ahhhh... l'anticipation est le maître mot en canyon.
Bon, une fois en bas, on trouve un endroit pour se coincer. S'il n'y a pas suffisament de longueur de corde pour débrayer le dernier dans la zone craignos, on va utiliser soit une autre corde, soit, si c'est possible, le rab sur le brin de descente (débrayable du bas en boucle). On raboute donc ce bout de corde avec le brin de débrayage (très rarement en bout de corde, sauf quand çà tombe pile poil, donc le plus souvent en milieu de corde). Et on place son descendeur, puis éventuellement clef, naturellement sous ce raboutage.
On récapitule ce que l'on voit, dans le sens de la chaine d'assurance.
1. une longueur de corde enkité
2. descendeur avec coéquipié coincé ou s'il y a, amarage en bas
3. noeud de raboutage
4. longueur de corde servant au débrayable
5. amarage de tête de cascade.
6. noeud de raboutage en haut (en butée dans l'amarage 5.)
7. descendeur du dernier qui va descendre
8. une longueur de corde servant à se descente.
Si on est dans le cas d'un raboutage en boucle, le point 1. est remplacé par le bout de la corde du point 8.
Si on n'a pas eu besoin de rabouter en haut, le point 6. n'a pas lieu d'être. Il faut donc être assez coordonné, car la tension en bas n'est pas possible vu qu'il n'y a pas de noeud en butée. Le plus souvent, le dernier met son descendeur (il est longé). Quand ceux d'en bas sont prêts (ils ont un peu optimisé le mou), ils le font savoir (sifflet, visuel...). Celui d'en haut ravale une ou deux fois pour être en tension. Il se délonge et descend....
Bon c'est très long a expliquer, mais très rapide à faire quand c'est rodé. Et quand c'est rodé, on n'hésite pas à le faire souvent... et on gagne en sécurité. Bref, faut un peu s'entrainer, et surtout, sur le terrain, le décider avant que le dernier se retrouve tout seul.
Ahhhh... l'anticipation est le maître mot en canyon.
Bertrand Hauser