Enfin de l'eau. Merci mon Dieu !!!
- Marc Maurin
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Enfin de l'eau. Merci mon Dieu !!!
Caroux (Albine, Rieutord, Vialais, Rec Grand..) + Sommail (Vésole + Salhens) = O.K. Attention, beaucoup d'eau dans Salhens, 2ème rappel et C15 goulotte animées !!!
Espinouse (secteur Albès) ???
Espinouse (secteur Albès) ???
La première impression est souvent la bonne, surtout quand elle est mauvaise.
- Marc Maurin
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- Marc Maurin
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T'as qu'à venir ici tremper tes nouilles. Le Salhens est en super conditions, faudrait même pas trop en plus. Albine est O.K qoique un peu plus serait mieux, le Rec grand manque un peu, Rieutord idem, Vialais O.K. Je pense qu'Albès + Roc d'Orque doivent être O.K, Taradelle doit manquer un peu.
Dans l'ensemble, il y a de quoi s'amuser et l'eau est pas glaciale. Faudrait quand même qu'on se rencontre un de ces 4.
Ciao.
Dans l'ensemble, il y a de quoi s'amuser et l'eau est pas glaciale. Faudrait quand même qu'on se rencontre un de ces 4.
Ciao.
La première impression est souvent la bonne, surtout quand elle est mauvaise.
C'est sûr, il va falloir que je vienne un peu découvrir les petits canyons qui a par chez toi mais, je dois avouer que j'aime pas l'eau froide ou alors, pas longtemps !!!!
Je suis plutôt du genre à commencer ma saison en avril et à m'arrêter en octobre mais bon, y faut un début à tout alors, pourquoi pas ... mais un pas trop mouillé, histoire que tu soit pas obliger de resortir un glaçon du canyon ... à moins que tu me laisse dedans
A +
Je suis plutôt du genre à commencer ma saison en avril et à m'arrêter en octobre mais bon, y faut un début à tout alors, pourquoi pas ... mais un pas trop mouillé, histoire que tu soit pas obliger de resortir un glaçon du canyon ... à moins que tu me laisse dedans
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- Marc Maurin
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Enfin, de l'eau tu as bien raison. Ce we, dans les alpes ....quelque part où c'est permis il y avait pas une goutte. A oui, d'ailleurs c'était permis puisqu'il n'y avait pas une goutte. Donc dans les alpes de hautes provences. Oppedette est encore plus sécos que ce qu'elle est sécos habituellement.
Quoi qu'il en soit, on finira tous un jour dans un lit
- Olivier LETOUCQ
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Bonjour à toutes et à tous.
Auré, il faut à tout prix ESSAYER les canyons en hiver, pour toutes les raisons qu'on a dèjà exprimé dans un autre forum de ce site...
De toutes facons, tu ne peux en parler sans savoir... Par contre, prévoire les chaussons en 5 mm est impératif
Il faut juste éviter les canyons trop aquatiques; ou il y a de la nage...
Tant qu'il n'y a pas de nage, tu n'a pas froid, promis Bon, il ne faut pas y aller en shorty non plus
Auré, il faut à tout prix ESSAYER les canyons en hiver, pour toutes les raisons qu'on a dèjà exprimé dans un autre forum de ce site...
De toutes facons, tu ne peux en parler sans savoir... Par contre, prévoire les chaussons en 5 mm est impératif
Il faut juste éviter les canyons trop aquatiques; ou il y a de la nage...
Tant qu'il n'y a pas de nage, tu n'a pas froid, promis Bon, il ne faut pas y aller en shorty non plus
A bientOt , dans l'O , sans se faire de bObO , après on videra un bon tOnO , foi de mOblO
- Olivier LETOUCQ
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Ben , quand tu veux, mais pour l'instant, je suis en corse avec Franck J. jusqu'a la mi- fevrier...
Après, les hautes alpes ou les alpes de haute provence... Je serais en station de ski tout mars et avril à PRA LOUP... l'ubaye n'est pas loin
@ + O'liv
Après, les hautes alpes ou les alpes de haute provence... Je serais en station de ski tout mars et avril à PRA LOUP... l'ubaye n'est pas loin
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- Olivier LETOUCQ
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De Toulouse, il y a plus près que les Alpes, Olivier...
J'envisage d'aller voir quelques trucs dans un certain département dont le numéro est un multiple de 33 . Si tu veux Auré, tu es la bienvenue. Les dates : certainement vers le 16/17/18/19/20 février.
Il s'agit de faire un canyon frontalier dont on parle depuis peu mais ouvert depuis 8/9 ans par Jean Guitard. En général les gens vont dans ce bled pour faire leurs courses (c'est pas l'Andorre).
Je compte coupler 4/5 autres trucs avec sur 2 ou 3 jours. C'est en fait une reconnaissance avec des petits trucs plus qu'un vrai séjour avec des gros canyons. + escale gastronomique régionnale pour pas être venu pour rien. .
J'envisage d'aller voir quelques trucs dans un certain département dont le numéro est un multiple de 33 . Si tu veux Auré, tu es la bienvenue. Les dates : certainement vers le 16/17/18/19/20 février.
Il s'agit de faire un canyon frontalier dont on parle depuis peu mais ouvert depuis 8/9 ans par Jean Guitard. En général les gens vont dans ce bled pour faire leurs courses (c'est pas l'Andorre).
Je compte coupler 4/5 autres trucs avec sur 2 ou 3 jours. C'est en fait une reconnaissance avec des petits trucs plus qu'un vrai séjour avec des gros canyons. + escale gastronomique régionnale pour pas être venu pour rien. .
La première impression est souvent la bonne, surtout quand elle est mauvaise.
- Olivier LETOUCQ
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Oh là, il y a de la concurence, dès l'instant qu'il s'agit d'inviter une jeune fille en canyon
C'est bon, ça
Disons simplement que pour moi, c'est sans arrières pensées et que ça te ferais un petit voyage dépaysant dans les alpes ( avant que je ne reviennes voir Franck dans ses beaux canyons corse en mai.)
Je vais louper l'anniversaire de ma femme oups mais encadrer un monitorat avec Franck en corse, ce se fait Ambiance et cotillons pour les heureux stagiaires ( et l'encadrement )
C'est bon, ça
Disons simplement que pour moi, c'est sans arrières pensées et que ça te ferais un petit voyage dépaysant dans les alpes ( avant que je ne reviennes voir Franck dans ses beaux canyons corse en mai.)
Je vais louper l'anniversaire de ma femme oups mais encadrer un monitorat avec Franck en corse, ce se fait Ambiance et cotillons pour les heureux stagiaires ( et l'encadrement )
A bientOt , dans l'O , sans se faire de bObO , après on videra un bon tOnO , foi de mOblO
Je veux vexer personne moi et, j'ai rien contre les Alpes , au contraire, y paraît qu'y a plein de beaux canyons mais, sur un WE, le multiple de 33 est quand même plus proche de Toulouse.
Pour le mois de février, j'ai rien de prévu donc, à moins que ma voiture me fasse encore un caprice (j'ai juste de tous petits soucis avec mon embrayage ) ça marche mais, uniquement le WE, je pense pas pouvoir avoir de jour en plus
Promis, Olivier, dès que j'ai plus d'un WE, je me débrouille pour aller du côté des Alpes! (en plus, j'ai un copain originaire de Nice qui veut aussi me montrer "ses" canyons) par contre, pour le ski, c'est pas que j'aime pas ça mais, j'ai pas trop le droit à cause de mes genoux (les tendons ) ... les canyons c'est plus ou moins le même problème mais, ça, je peux pas m'en passer !!!!!
Pour le mois de février, j'ai rien de prévu donc, à moins que ma voiture me fasse encore un caprice (j'ai juste de tous petits soucis avec mon embrayage ) ça marche mais, uniquement le WE, je pense pas pouvoir avoir de jour en plus
Promis, Olivier, dès que j'ai plus d'un WE, je me débrouille pour aller du côté des Alpes! (en plus, j'ai un copain originaire de Nice qui veut aussi me montrer "ses" canyons) par contre, pour le ski, c'est pas que j'aime pas ça mais, j'ai pas trop le droit à cause de mes genoux (les tendons ) ... les canyons c'est plus ou moins le même problème mais, ça, je peux pas m'en passer !!!!!
- Olivier LETOUCQ
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l'Espérou : 7H20, -12°, petite neige, 50 km/h de blizzard. J’étais blotti dans ma voiture à attendre mes compagnons d’infortune. Hotwaker au ralentit sur ces routes verglacées attendez devant moi l’arrivée de Marc Maurin (L’homme au 560 messages). Nous avions prévu une petite descente tranquille à proximité : les cascades d’Orgon.
La suite ne démentit pas l’accueil matinal. Au lieu dit, la cascade était enserrée dans une profonde gangue de glace. Au mieux, l’eau jaillissait par quelque craquelures oubliées par le gèle de la nuit. Après quelques secondes à se réchauffer encore devant les bouches d’aération de nos véhicules, nous affrontâmes la réalité de ces frimas. Bien que j’avais dès le matin mis une combinaison de 3 mm, le froid me saisi au jambe, clouant sur place mon élan motivé.
Hormis Marc Maurin, le bras nus et le torse velu, tout nous nous précipitions à enfiler l’équipement requis. Aucun morceau de peau ne devait dépasser. Faire ses lacets, enfiler sans gant son baudrier était une torture, le froid bleuissant nos doigts agiles. Tout était à l’économie et au souci de notre propre survie.
Après 30 mn d’équipement au lieu des 10 mn habituel, on commença à s’approcher des cascades. Le soleil se levait, n’altérant en rien les rigueurs du climat. Engoncé tel un cosmonaute, je me jeta dans le premier rappel. Des milliers de stalactites, s’envolèrent sous le poids de mes pas en un grand bruit de vaisselle brisée.
Malgré les mains courantes, les passages d’obstacles vautrés à 4 pattes comme des manchots cul de jattes nous arrivâmes dans les grandes vasques centrales. Ces dernières étaient à moitié gelées. Seul le pied de la cascade était libre de glace et nous étions obligé de passer dans l’écume. Le risque était d’être emporté par le débit et de passer en dessous de la glace et de rester coincé. Où bien de glisser trop loin sur la vasque et passer dans la cascade suivante. Sortir de la vasque était tout aussi périlleux. Les bords vifs de la plaque se brisaient lorsque l’on tentait de monter dessus. Ce n’est qu’avec un effort surhumain que l’on parvint en rampant à se glisser dessus et à atteindre le bord.
Mais que la nature était belle. Vierge de sa froideur. Innocente de son calme serein. Loin de l’homme et de ses tourments. Pourtant nous étions là !
La suite ne démentit pas l’accueil matinal. Au lieu dit, la cascade était enserrée dans une profonde gangue de glace. Au mieux, l’eau jaillissait par quelque craquelures oubliées par le gèle de la nuit. Après quelques secondes à se réchauffer encore devant les bouches d’aération de nos véhicules, nous affrontâmes la réalité de ces frimas. Bien que j’avais dès le matin mis une combinaison de 3 mm, le froid me saisi au jambe, clouant sur place mon élan motivé.
Hormis Marc Maurin, le bras nus et le torse velu, tout nous nous précipitions à enfiler l’équipement requis. Aucun morceau de peau ne devait dépasser. Faire ses lacets, enfiler sans gant son baudrier était une torture, le froid bleuissant nos doigts agiles. Tout était à l’économie et au souci de notre propre survie.
Après 30 mn d’équipement au lieu des 10 mn habituel, on commença à s’approcher des cascades. Le soleil se levait, n’altérant en rien les rigueurs du climat. Engoncé tel un cosmonaute, je me jeta dans le premier rappel. Des milliers de stalactites, s’envolèrent sous le poids de mes pas en un grand bruit de vaisselle brisée.
Malgré les mains courantes, les passages d’obstacles vautrés à 4 pattes comme des manchots cul de jattes nous arrivâmes dans les grandes vasques centrales. Ces dernières étaient à moitié gelées. Seul le pied de la cascade était libre de glace et nous étions obligé de passer dans l’écume. Le risque était d’être emporté par le débit et de passer en dessous de la glace et de rester coincé. Où bien de glisser trop loin sur la vasque et passer dans la cascade suivante. Sortir de la vasque était tout aussi périlleux. Les bords vifs de la plaque se brisaient lorsque l’on tentait de monter dessus. Ce n’est qu’avec un effort surhumain que l’on parvint en rampant à se glisser dessus et à atteindre le bord.
Mais que la nature était belle. Vierge de sa froideur. Innocente de son calme serein. Loin de l’homme et de ses tourments. Pourtant nous étions là !
Quoi qu'il en soit, on finira tous un jour dans un lit