de retour de vacance j'ai recu un mail de la famille du parapentiste disparu
que vous trouverez sur ce lien
http://www.altisud.com/forum/index.php?showtopic=1128
n'hésitez pas à les aider la dernière position connu était au dessus de l'estrop justement
si ce mail peu rester épinglé jusqu'au dénouement c'est ccol
merçi d'avance
aux admins
appel à temoin
appel à temoin
Dernière modification par altisud le sam. 22 août 2009 12:17, modifié 1 fois.
Par contre tu peux mettre en ligne le doc. En effet,il faut pour le lire s'inscrire, mettre le pseudo, le code ... etc ce qui est fastidieux 
A part ça, pour MV on a rien vu.Il faudrait aller faire un tour ds bussing voire chabrières.
Mercredi il y a eu à partir de 14 h des orages extrèmement violent. Espérons qu'il n'a pas été pris dedans.
A part ça, pour MV on a rien vu.Il faudrait aller faire un tour ds bussing voire chabrières.
Mercredi il y a eu à partir de 14 h des orages extrèmement violent. Espérons qu'il n'a pas été pris dedans.
Dernière modification par Caracal le sam. 22 août 2009 12:42, modifié 1 fois.
Quoi qu'il en soit, on finira tous un jour dans un lit 
Trois mois et huit jours après sa disparition, le 12 août, alors qu'il volait entre Saint-André-les-Alpes et Seyne, le corps d'Olivier Besset, un parapentiste gardois de 31 ans, a été retrouvé hier matin sur le versant nord-ouest du Cheval-Blanc, un massif qui culmine à 2323 m, situé en plein milieu de l'itinéraire qu'il avait décidé de survoler. Ce sont deux randonneurs britanniques, eux-mêmes parapentistes qui, jeudi après-midi, ont aperçu et photographié au téléobjectif, à environ 2000m d'altitude sur les hauteurs du hameau de Chanolles, commune de Prads-Haute-Bléone, un point rouge ressemblant à une toile de parachute.
Cette tache qui avait attiré leur attention, avait aussi fait remonter chez eux le souvenir de la disparition d'Olivier Besset. Son signalement vestimentaire et la couleur de sa voile ? rouge bordée de blanc- avaient en effet été largement diffusés dans tous les clubs aériens de la région. Dans une pente à 45% Le couple de Britanniques qui vit dans le département et qui était au courant de la disparition d'Olivier Besset, a donc eu le bon réflexe de se rendre dans la soirée à la brigade de gendarmerie de Saint-André pour y montrer ses photos.
La piste était évidemment intéressante, en tout cas elle fut jugée la plus sérieuse et la plus solide de toutes celles qui avaient été suivies dans les jours et mêmes les semaines qui avaient suivi la disparition. Hier matin, l'hélicoptère de la section aérienne de la gendarmerie (Sag), basée à Digne, a donc décollé avec à son bord deux gendarmes du PGHM et un technicien en investigation criminelle. Les trois hommes ont été hélitreuillés sur les lieux dans des conditions difficiles car la pente sur laquelle se trouvait la voile accusait une forte déclivité, de l'ordre de 45%. Une fois parvenus sur le site, les gendarmes ont rapidement découvert en partie recouvert par la voile le corps du parapentiste.
Ce dernier était encore sanglé; il portait son casque et ses mains gantées semblaient encore serrer les suspentes, laissant supposer qu'il avait été tué sur le coup, peut-être après avoir été plaqué au sol par des vents rabattants. La dépouille de la victime a ensuite été hélitreuillée pour être dirigée vers Digne, où elle devait faire l'objet d'un examen médico-légal plus approfondi, notamment afin de confirmer son identité avec certitude. Toutefois les premiers éléments constatés ou recueillis par les enquêteurs ne laissent planer aucun doute, il s'agit bien d'Olivier Besset. Pas d'explication Le massif du Cheval-Blanc où l'infortuné parapentiste a été retrouvé, avait été partiellement exploré dès le mois d'août et encore durant le mois de septembre, au moyen de l'hélicoptère de la Sag, mais en vain.
Olivier Besset, professeur de mathématiques à Saint-Privat-des-Vieux dans le Gard, était un parapentiste expérimenté pour affronter ce vol qualifié de "tonique", d'une cinquantaine de kilomètres, entre le Mont-Chalvet à Saint-André et le site de Dormillouse à Saint-Jean-Montclar. Il ne sera malheureusement pas allé jusqu'au bout sans que l'on puisse aujourd'hui encore en expliquer la raison. Ce jour-là, en effet les conditions météo et de vol étaient correctes "difficiles peut-être mais dans la norme de celles qu'on connaît à cette saison ", rappelait, lors des recherches, François Gérin-Jean, le responsable d'Aéroglisss, le club de Saint-André où Olivier Besset était venu se renseigner.
Cette tache qui avait attiré leur attention, avait aussi fait remonter chez eux le souvenir de la disparition d'Olivier Besset. Son signalement vestimentaire et la couleur de sa voile ? rouge bordée de blanc- avaient en effet été largement diffusés dans tous les clubs aériens de la région. Dans une pente à 45% Le couple de Britanniques qui vit dans le département et qui était au courant de la disparition d'Olivier Besset, a donc eu le bon réflexe de se rendre dans la soirée à la brigade de gendarmerie de Saint-André pour y montrer ses photos.
La piste était évidemment intéressante, en tout cas elle fut jugée la plus sérieuse et la plus solide de toutes celles qui avaient été suivies dans les jours et mêmes les semaines qui avaient suivi la disparition. Hier matin, l'hélicoptère de la section aérienne de la gendarmerie (Sag), basée à Digne, a donc décollé avec à son bord deux gendarmes du PGHM et un technicien en investigation criminelle. Les trois hommes ont été hélitreuillés sur les lieux dans des conditions difficiles car la pente sur laquelle se trouvait la voile accusait une forte déclivité, de l'ordre de 45%. Une fois parvenus sur le site, les gendarmes ont rapidement découvert en partie recouvert par la voile le corps du parapentiste.
Ce dernier était encore sanglé; il portait son casque et ses mains gantées semblaient encore serrer les suspentes, laissant supposer qu'il avait été tué sur le coup, peut-être après avoir été plaqué au sol par des vents rabattants. La dépouille de la victime a ensuite été hélitreuillée pour être dirigée vers Digne, où elle devait faire l'objet d'un examen médico-légal plus approfondi, notamment afin de confirmer son identité avec certitude. Toutefois les premiers éléments constatés ou recueillis par les enquêteurs ne laissent planer aucun doute, il s'agit bien d'Olivier Besset. Pas d'explication Le massif du Cheval-Blanc où l'infortuné parapentiste a été retrouvé, avait été partiellement exploré dès le mois d'août et encore durant le mois de septembre, au moyen de l'hélicoptère de la Sag, mais en vain.
Olivier Besset, professeur de mathématiques à Saint-Privat-des-Vieux dans le Gard, était un parapentiste expérimenté pour affronter ce vol qualifié de "tonique", d'une cinquantaine de kilomètres, entre le Mont-Chalvet à Saint-André et le site de Dormillouse à Saint-Jean-Montclar. Il ne sera malheureusement pas allé jusqu'au bout sans que l'on puisse aujourd'hui encore en expliquer la raison. Ce jour-là, en effet les conditions météo et de vol étaient correctes "difficiles peut-être mais dans la norme de celles qu'on connaît à cette saison ", rappelait, lors des recherches, François Gérin-Jean, le responsable d'Aéroglisss, le club de Saint-André où Olivier Besset était venu se renseigner.
Exige beaucoup de toi-même et attends peu des autres. Ainsi beaucoup d'ennuis te seront épargnés.
-
Nicofou
- Messages : 794
- Inscription : jeu. 07 sept. 2006 14:28
- Localisation : Le Brusquet (04)
- Contact :
Article paru dans la Provence...titan a écrit :Trois mois et huit jours après sa disparition, le 12 août, alors qu'il volait entre Saint-André-les-Alpes et Seyne, le corps d'Olivier Besset, un parapentiste gardois de 31 ans, a été retrouvé hier matin sur le versant nord-ouest du Cheval-Blanc, un massif qui culmine à 2323 m, situé en plein milieu de l'itinéraire qu'il avait décidé de survoler. Ce sont deux randonneurs britanniques, eux-mêmes parapentistes qui, jeudi après-midi, ont aperçu et photographié au téléobjectif, à environ 2000m d'altitude sur les hauteurs du hameau de Chanolles, commune de Prads-Haute-Bléone, un point rouge ressemblant à une toile de parachute.
Cette tache qui avait attiré leur attention, avait aussi fait remonter chez eux le souvenir de la disparition d'Olivier Besset. Son signalement vestimentaire et la couleur de sa voile — rouge bordée de blanc- avaient en effet été largement diffusés dans tous les clubs aériens de la région. Dans une pente à 45% Le couple de Britanniques qui vit dans le département et qui était au courant de la disparition d'Olivier Besset, a donc eu le bon réflexe de se rendre dans la soirée à la brigade de gendarmerie de Saint-André pour y montrer ses photos.
La piste était évidemment intéressante, en tout cas elle fut jugée la plus sérieuse et la plus solide de toutes celles qui avaient été suivies dans les jours et mêmes les semaines qui avaient suivi la disparition. Hier matin, l'hélicoptère de la section aérienne de la gendarmerie (Sag), basée à Digne, a donc décollé avec à son bord deux gendarmes du PGHM et un technicien en investigation criminelle. Les trois hommes ont été hélitreuillés sur les lieux dans des conditions difficiles car la pente sur laquelle se trouvait la voile accusait une forte déclivité, de l'ordre de 45%. Une fois parvenus sur le site, les gendarmes ont rapidement découvert en partie recouvert par la voile le corps du parapentiste.
Ce dernier était encore sanglé; il portait son casque et ses mains gantées semblaient encore serrer les suspentes, laissant supposer qu'il avait été tué sur le coup, peut-être après avoir été plaqué au sol par des vents rabattants. La dépouille de la victime a ensuite été hélitreuillée pour être dirigée vers Digne, où elle devait faire l'objet d'un examen médico-légal plus approfondi, notamment afin de confirmer son identité avec certitude. Toutefois les premiers éléments constatés ou recueillis par les enquêteurs ne laissent planer aucun doute, il s'agit bien d'Olivier Besset. Pas d'explication Le massif du Cheval-Blanc où l'infortuné parapentiste a été retrouvé, avait été partiellement exploré dès le mois d'août et encore durant le mois de septembre, au moyen de l'hélicoptère de la Sag, mais en vain.
Olivier Besset, professeur de mathématiques à Saint-Privat-des-Vieux dans le Gard, était un parapentiste expérimenté pour affronter ce vol qualifié de "tonique", d'une cinquantaine de kilomètres, entre le Mont-Chalvet à Saint-André et le site de Dormillouse à Saint-Jean-Montclar. Il ne sera malheureusement pas allé jusqu'au bout sans que l'on puisse aujourd'hui encore en expliquer la raison. Ce jour-là, en effet les conditions météo et de vol étaient correctes "difficiles peut-être mais dans la norme de celles qu'on connaît à cette saison ", rappelait, lors des recherches, François Gérin-Jean, le responsable d'Aéroglisss, le club de Saint-André où Olivier Besset était venu se renseigner.
-
Boustourou
- Messages : 4036
- Inscription : ven. 15 oct. 2004 19:56
- Localisation : Las Gaviotas, Valparaiso,CHILE
C'est au pied du mur que tu vois mieux le mur 
