ORAGE cauchemar du canyonniste qui l’oblige à se réveiller à 6 heures du matin pour éviter les orages de 17 heures. D’où une expression populaire : « Orage dans le Raton, jusqu’à pâque dans l'siphon ».
PASTIS qu’il soit 51, Casanis, Ricard ou Bardouin ; il reste obligatoire en sortie de canyon. Comme dit le proverbe CAFesterelien : « Canyon le matin, pastis à la fin ; canyon l’après-midi, la bouteille sera finie ».
PÉDALE boucle faite en sangle ou en cordelette servant à mettre son pied lors de l'utilisation d'une poignée pour la remontée sur corde (vous vous attendiez à une autre définition ?).
PÉLITE Matière, aussi appelé schiste rouge, recouvrant la surface de certains canyons ; et qui donne l’impression de marcher sur du savon de Marseille (Propriété d’adhérence identique à l’état humide).
PÈRE-NOËL canyonniste extraverti, sans casque et déguisé, qui descend du clocher de l'église une veille de fête, sur une corde déjà tonchée (voir ce terme) dans le but d'impressionner le conseil municipal de son village pour que son club obtienne une subvention lors d'un prochain vote du budget (et donc de remplacer la corde tonchée).
PERFORATEUR instrument électro-mécanique portatif de haute technicité et d'usage récent en canyonning. Il est souvent utilisé pour ajouter un peu de piment dans la vie de celui qui doit visser une plaquette pour effectuer un amarrage plein vide, en facilitant la pose d'une dizaine de spits inutiles pour cacher malicieusement le bon.
PERTE lorsqu'elle est grande, ce terme désigne l'endroit où un torrent disparaît sous terre, lorsqu'elle est petite c'est un canyonniste débutant coincé quelque part et que l'on a pas envie d'aider.
PLAQUETTE superbe ornement réalisé en alliage d'aluminium anodisé et destiné à fixer les mousquetons aux spits, lors de l'équipement d'une verticale. A supplanté le traditionnel morceau de fer en T percé, que l'on fabriquait le soir à la veillée, en se racontant des histoires autour du feu.
POLLUTION la bouteille en plastique que vous venez de perdre dans le canyon mettra 450 ans à disparaître. En plus, elle finira vraisemblablement sur une plage. Conserver vos poubelles dans vos sacs, vous gardez bien vos équipiers jusqu’à la sortie du canyon ! (alors qu’eux sont biodégradables).
Nouveau glossaire -O- et -P-
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Marc Maurin
- Messages : 8018
- Inscription : lun. 23 févr. 2004 12:31
- Localisation : montpellier
PITON :
Animal de la famille des reptiles qui aurait avalé son H. Se glisse dans les anfractuosité de rocher et autres fissures afin de surprendre le canyonneur qui peut éventuellement s'en servir pour descendre un rappel.
Se tortille dans tous les sens pour épouser la forme du relief. On en voit pas la queue.
PL5 : homme-grenouille, voire homme-grenouillère.
Animal de la famille des reptiles qui aurait avalé son H. Se glisse dans les anfractuosité de rocher et autres fissures afin de surprendre le canyonneur qui peut éventuellement s'en servir pour descendre un rappel.
Se tortille dans tous les sens pour épouser la forme du relief. On en voit pas la queue.
PL5 : homme-grenouille, voire homme-grenouillère.
La première impression est souvent la bonne, surtout quand elle est mauvaise.
PEUR: concept relativement inconnu du canyonneur, parfois rencontré chez certain sujets qui débutent dans notre zolie activité, surtout face aux situations les plus amusantes: un saut de 10 ou 12 m, un magnifique rappel plein gaz de 40 ou 50 m (voire plus...), un superbe tobogan "jeteur" (vive le llech 
) ou encore une fabuleuse marmite bouillonnante !!!!!
... comprend pas
, moi j'trouve ça drôle
) ou encore une fabuleuse marmite bouillonnante !!!!!... comprend pas
, moi j'trouve ça drôle -
Marc Maurin
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Moi, j'ai très souvent peur. D'ailleurs, sinon je ne ferais pas de canyoning : j'aime bien avoir peur, finalement ! par contre, la panique est à proscrire absolument. Là, oui, on fait des conneries. Car comme le dit le proverbe bien connu :" Pas niquer, c'est pas bon". Et oui, je l'ai fait avant qu'un autre le fasse avant moi ! 
En gros, Marc et Auré sont d'accord pour le principe, c'est juste les mots employés qui diffèrent !
PANIQUE : attitude complètement irrationnelle observée lorsque la trouille atteint un niveau rarement atteint par le sujet jusque là. Les symptomes sont très différents selon les personnalités, allant de celui qui essaie désespérément de remonter le courant pour sortir vers le haut, oubliant que même les saumons ont leurs limites et que remonter une cascade sous le jet est rarement couronné de succès, ceux qui tentent une sortie dite "de la tarente'" consistant à vouloir grimper sur les parois latérales d'un canyon à l'endroit le plus lisse et le plus glissant, bras et jambes écartés pour essayer de trouver un peu d'adhérence, le fataliste qui reste assis en se balançant d'avant en arrière en psalmodiant "On va tous mourir..." (conseil : une baffe sera la bienvenue. Sinon pour lui, au moins pour vous ), ou le tétanisé qu'il faut remonter à travers un ébouli en le tirant par une corde comme un chien-chien à sa mémère qui refuse de sortir faire pipi parce qu'il pleut dehors (je jure que c'est du vécu... pas le chien, le coup de l'ébouli). Bref, même si un reste de conscience vous pousse malgré tout à ramener plus ou moins intact (les traces de doigts imprimés sur son visage ne comptent pas) le paniqueur, ne pas perdre de vue qu'il est un réel danger pour lui et pour les autres.
par contre, la panique est à proscrire absolument. Là, oui, on fait des conneries. Car comme le dit le proverbe bien connu :" Pas niquer, c'est pas bon". Et oui, je l'ai fait avant qu'un autre le fasse avant moi ! En gros, Marc et Auré sont d'accord pour le principe, c'est juste les mots employés qui diffèrent !
PANIQUE : attitude complètement irrationnelle observée lorsque la trouille atteint un niveau rarement atteint par le sujet jusque là. Les symptomes sont très différents selon les personnalités, allant de celui qui essaie désespérément de remonter le courant pour sortir vers le haut, oubliant que même les saumons ont leurs limites et que remonter une cascade sous le jet est rarement couronné de succès, ceux qui tentent une sortie dite "de la tarente'" consistant à vouloir grimper sur les parois latérales d'un canyon à l'endroit le plus lisse et le plus glissant, bras et jambes écartés pour essayer de trouver un peu d'adhérence, le fataliste qui reste assis en se balançant d'avant en arrière en psalmodiant "On va tous mourir..." (conseil : une baffe sera la bienvenue. Sinon pour lui, au moins pour vous
), ou le tétanisé qu'il faut remonter à travers un ébouli en le tirant par une corde comme un chien-chien à sa mémère qui refuse de sortir faire pipi parce qu'il pleut dehors (je jure que c'est du vécu... pas le chien, le coup de l'ébouli). Bref, même si un reste de conscience vous pousse malgré tout à ramener plus ou moins intact (les traces de doigts imprimés sur son visage ne comptent pas) le paniqueur, ne pas perdre de vue qu'il est un réel danger pour lui et pour les autres.
Oh oui, il y a PT : Il est PT de tunes cette e.... de payots, Il a encore Pt dans l'O, c'est dégoutant. Je me suis PT la figure sur cette P**** (Voir mot suivant) de Pélite de m.... Encore un canyon trouvé par J...... (Canyoneur écrivain)
P***** : Hurlement régulièrement prononcé par certains canyoneurs devant la moindre contrainte:Papillon qui ne vole pas au bon endroit. Brindille non prévu dans le topo et que l'on se prend dans l'oeil. Certains poussent même ce cri en arrivant devant un canyon parce qu'il n'y pas d'eau alors qu'il est réputé pour être toujours à sec.
P***** : Hurlement régulièrement prononcé par certains canyoneurs devant la moindre contrainte:Papillon qui ne vole pas au bon endroit. Brindille non prévu dans le topo et que l'on se prend dans l'oeil. Certains poussent même ce cri en arrivant devant un canyon parce qu'il n'y pas d'eau alors qu'il est réputé pour être toujours à sec.
Quoi qu'il en soit, on finira tous un jour dans un lit 
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Rémi Villalongue
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Sébastien 54
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PERDU: précédé du traditionnel "P***** LA JE CROIS QU ON EST" 
Cela arrive particulièrement au jeunes canyonneurs qui ont acheté le topo mais pas les cartes IGN qui vont avec. En plus il sont partis à une seule voiture et doivent se taper la navette à pied en tentant au betit bonheur la chance de rejoindre à travers bois et moult barres rocheuses le départ du canyon
Enfin ça forme la jeunesse et parfois même on fini par trouver le canyon
Cela arrive particulièrement au jeunes canyonneurs qui ont acheté le topo mais pas les cartes IGN qui vont avec. En plus il sont partis à une seule voiture et doivent se taper la navette à pied en tentant au betit bonheur la chance de rejoindre à travers bois et moult barres rocheuses le départ du canyon
Enfin ça forme la jeunesse et parfois même on fini par trouver le canyon