Au départ du canyon tout le monde s'équipe, je suis prêt et Danielle n'a mis qu'une jambe de sa combinaison de location, j'envois Bernard lui donner un coup de main, le temps passe et la deuxième jambe est presque passée.
Ils sont tout les deux essoufflés, GGRRR ça va, j'ai compris, j'y vais et commence à tirer sur cette put... de combine. mais mais 
j'y crois pas, elle enfilée les manches de la veste sur les jambes 
Au milieu d'un canyon, je regarde un équipier ( hautement diplomé) descendre un rappel
bizarre le baudrier il n'avait mis qu'une jambe dedans, à priori ça ne l'avait pas géné Le coup des clés de la voiture du haut. Mitch fait du stop pour aller récupérer sa voiture au départ , me méfiant je lui dit : les clefs tu les a ? il me les montre et les pose sur le siége arrière, la voiture pose Mitch au passage et s'en va avec les clefs sur le siège, résultat: on était à Utelle, faire venir le double de Fréjus bien sur sans le bip de l'alarme et bidouillage des fils la nuit pour remettre la voiture en route
A qui la suite
- 209 moi
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à l'arrivée, nous prend une envie de libérer nos vessies, il fait un froid de canard. On entrouvre les combis... J'ai du mal à trouver, l'eau froide avait congestionner, on le comprend, mes organes. Envie pressante et pourtant rien ne vient. Je suis bien comprimé dans mes 5 mm de néoprène + sous-vétement. Je force... rien. Un peu plus et là!!! Ce sont mes boyaux qui se libère 
de pas nous faire profiter de leurs mésaventures ou alors il ne leurs arrive jamais rien 
) ce tortille n'arrive pas a retirer la combi, il serre les fesses (cest par cet orifice que le mel doit et va sortir), il défait tant bien que mal le baudrier baisse la combi, et s'accroupi dans la riviere pour soulager ses intestins...berk!!!!, je ne rate rien du spectacle...re berk... 
d'un air bizarre et alerte le patron de sortir de la cuisine 
ah oui le pote etait blanc parsque qu'il avait foutu en l'air son café matinal et que pour lui c'etait un signe 
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