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Une époque où l'inconscience était considérée comme héroïque

oui mais quel grand homme et quel precurseur

Caracal a écrit :Une époque où l'inconscience était considérée comme héroïque

la on été dans le vrai et sur le fil

maintenant on arrive à voir des ventripotent dans le massif du mont blanc

donc pour moi notre avancé est pas pour autant bien mais une ouverture dans la montagne pour les toutous empotés

que son âme atteingne les plus haut sommets de l'esprit *

****....

énorme personnage, sans commentaire

Un des GRANDS ALPINISTES du siècle dernier qui préférait la sagesse (quoiqu'en dise Caracal), et la discrétion après son éviction de la CGC, et le respect des populations locales qu'il rencontrait généreusement comme j'ai pu l'apprécier lors de nos rencontres à Huaras au Pérou en juillet 1988, alors que je préparais l' ascencion de la face sud de l'Huascaran.

Je crois que mon propos a été mal compris ! ce n'est pas le sens inconscient qu'il faut retenir mais le terme héroïque (d'où les smileys)

L'époque de demaison est une époque héroique. Une époque de grand exploit sportif ou les contemporains reconnaissaient l'acte héroïque. Aujourd'hui les choses ont changé. Ce que les "médias" considéraient comme héroïque est donné comme de l'inconscience aujourd'hui. C'est donc, ce changement de regard sur les même actes qui animait ma remarque. Comment et pourquoi sommes nous passé d'une époque ou la montagne engagée était un acte héroïque à une époque ou cette même pratique est considérée comme inconsciente. ;-)

C'est plus clair 8-[

A part ça, altisud j'ai eu du mal à saisir ta deuxième phrase :-k

C'est vrai que Demaison, le Bleausard, a été victime du sectarisme de la vallée. Il était bien trop bon pour eux qui se croyaient les meilleures et qui se croient tjs d'ailleurs...
Comme tout ceux qui sont fiers d'être nés quelque part, justement qualifiés par ce cher Brassens.

Demaison, lui n'était pas un donneur de leçon, il allait seulement en montagne avec suffisament de classe pour être devenu cette légende de l'alpinisme moderne.

RV a écrit :C'est vrai que Demaison, le Bleausard, a été victime du sectarisme de la vallée. Il était bien trop bon pour eux qui se croyaient les meilleures et qui se croient tjs d'ailleurs...
Comme tout ceux qui sont fiers d'être nés quelque part, justement qualifiés par ce cher Brassens.

Demaison, lui n'était pas un donneur de leçon, il allait seulement en montagne avec suffisament de classe pour être devenu cette légende de l'alpinisme moderne.

J'acquiesse tes mots et tu le reprends si bien comme l'a écrit monsieur Goeorges...ceux qui sont "très" fiers d'être nés quelque part!

Lisez ou relisez "342 heures dans les Grandes Jorasses", une grande leçon sur la nature humaine.
Les hommes partent, les livres restent.

excelent ce livre d'ailleur je l'ai resortis et commence a le lire. Il est top

phil91 a écrit :Lisez ou relisez "342 heures dans les Grandes Jorasses", une grande leçon sur la nature humaine.
Les hommes partent, les livres restent.

Caracal a écrit :Une époque où l'inconscience était considérée comme héroïque

j'aurais plutôt dit ( ou l' héroïsme est maintenant considéré comme de l' inconscience)
mais je me trompe peu être
Enfin un ( Aventurier) la je ne pense pas me tromper

Caracal a écrit :Je crois que mon propos a été mal compris ! ce n'est pas le sens inconscient qu'il faut retenir mais le terme héroïque (d'où les smileys)

L'époque de demaison est une époque héroique. Une époque de grand exploit sportif ou les contemporains reconnaissaient l'acte héroïque. Aujourd'hui les choses ont changé. Ce que les "médias" considéraient comme héroïque est donné comme de l'inconscience aujourd'hui. C'est donc, ce changement de regard sur les même actes qui animait ma remarque. Comment et pourquoi sommes nous passé d'une époque ou la montagne engagée était un acte héroïque à une époque ou cette même pratique est considérée comme inconsciente.

C'est plus clair

A part ça, altisud j'ai eu du mal à saisir ta deuxième phrase

J'avais pas encore lu ca

En fait, tu avais bien compris mon sousentendu, et tu as résumé mon propos d'une manière beaucoup plus courte que moi