
Et en plus, je ne met plus de lien. Je ne référence rien du tout. Je t'ai fait une proposition pour ta combi. C'est mieux que rien.

Heu non Alain , il n a pas été retire à ma demande pour la faute d ortographe que tu avais faites dans la modification ...ALAIN 13 a écrit :Non ,c'est Franck qui a préféré le retirer ,j'avais fait quelques fautes d'othographes dans l'une des bulles
Non, le document ne "démontre" pas que la pratique du canyon n’est pas compatible avec le fonctionnement du ru de Chaley. Il le dit.passoni a écrit :Pas de bol l’étude a démontré que la pratique n’était pas compatible avec le fonctionnement du ru.
Salut Laurent,Laurent D'Ainmuràl'autre a écrit :Pourtant, le document est un Contenu sous licence Créative Commons puisqu'il utilise des photos de www.Descente-Canyon.com sous licence Créative Commons, donc au minimum, il se partage sans crainte de poursuite...
Mort de rire !!!!jc06 a écrit :Franck J a écrit :Heu non Alain , il n a pas été retire à ma demande pour la faute d ortographe que tu avais faites dans la modification ...
Mais car cela laisser place aux modos, choqués, de salir le posts initial sur l écologie![]()
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Ah bonALAIN 13 a écrit :![]()
Il n'y a rien de sale ,mais que du bio et du Naturel sur ce dessin !
C'est donc bien ciblé sur l'écologie !! ....
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ben avec toi, tu te rappelles pas? d'accord t'étais bourré mais quand mêmejustefred a écrit :PS:fiumi tu utilises des mots savants......j'adore je suis ton plus grand fan..tu es marié?...
j'ai l'impression que tu en oublis, dont moi...justefred a écrit :passoni , fiumi vs le reste du monde.
Ce n'est absolument pas ce que pensent les pécheurs des Alpes Maritimes...Ou de la Corse...fred792 a écrit :la pratique du canyoning se réalise sur l'amont des bassins versant dans des zones (exemple : canyon de la fouge) inaccessibles pour la reproduction des poissons à moins d'une introduction par l'homme
Le pire serait qu'il y ait des canyoneurs. Enfin, heureusement, on en est pas là...Dieu soit loué !!!jc06 a écrit :Je ne connais pas grand chose à la reproduction des poissons, Je peux juste te dire qu'il y a de la truite dans les canyons de ces deux départements...
Et des pêcheurs aussi.
La Corse a une truite qui s'appelle "salmo trutta macrostigma". Elle est présente sur l'amont des bassins versant mais dans des endroits où la rivière fait déjà quelques kilomètres et a été introduite artificiellement par des corses qui voulaient préserver une souche sauvage. Ce n'est pas le cas des canyons comme la Fouge ou l'amont de l'Albarine en amont de la cascade de Charabotte.jc06 a écrit :Ce n'est absolument pas ce que pensent les pécheurs des Alpes Maritimes...Ou de la Corse...
Je ne connais pas grand chose à la reproduction des poissons, Je peux juste te dire qu'il y a de la truite dans les canyons de ces deux départements...
Et des pêcheurs aussi.
Merci.Marc MaurinIl me semble aujourd'hui que légiférer et respecter les textes sont les seules issues à long terme pour nous permettre de continuer à pratiquer dans certains lieux notre passion.
Je suis un novice des forums, je parlais plus du discours officielle.Marc Maurin Ca fait déjà 8 ans que je suis inscrit sur DC.com, et j'avoue avoir vu plus de fautes d'ortographe chez les canyonistes forumistes que de novlangue verte...
Que fais tu des pages 53 à 71 et de la partie appelé "méthodologie"? Sais tu que le N de IBGN signifie Normalisé?Non, le document ne "démontre" pas que la pratique du canyon n’est pas compatible avec le fonctionnement du ru de Chaley. Il le dit.
Ce document ne mérite pas le titre d'"étude scientifique", car il n'est pas possible pour un autre scientifique de chercher à reprendre le protocole à l'identique pour valider les faits observés, les quantifications et comptages mis en avant (...ou au contraire les infirmer).
Le protocole n'est pas décrit. De fait il n'est pas reproductible.
La reproductibilité, par la description détaillée des méthodes et la description précise des conditions demeurant la base des expériences et observations scientifique, le document n'a de valeur que pour ceux qui l'écrivent et pour ceux qui partagent leur point de vue.
J'ai l'impression que les auteurs se tirent un peu une balle dans le pied, mais là n'est pas la question (même si j'apprécie cette honnêteté).II LES INCIDENCES DE L'ACTIVITÉ CANYONING
II.1. ANALYSE DES INCIDENCES
II.1.1. OBJECTIFS DE L'OPÉRATION
L'objet de la présente étude est de déterminer si la pratique du canyoning à des incidences avérées sur l'écosystème des gorges du ru de Chaley, et le cas échéant de qualifier et quantifier ces impacts. À savoir que les effets peuvent être directs ou indirects et, selon les cas, temporaires ou permanents. Ils sont ici envisagés dans la suite logique de l'aspect descriptif visé au chapitre précédent, relatif à l'analyse de l'état actuel de l'environnement et des usages
II.1.2. MÉTHODOLOGIE
L'objet de la mission étant d'apprécier des impacts, il est pertinent d'avoir une approche différentielle entre.
- une situation de référence, non affectée par l'activité,
- une situation d'impact, affectée par l'activité.
L'idéal aurait été de disposer d'un laps de temps suffisant pour effectuer la mission, or :
- la durée globale de celle-ci est insuffisante (4 mois),
- le placement dans l'année automne/hiver n'est pas favorable pour des études de milieux naturels.
Dans ces conditions, aux comparaisons temporelles (avant/pendant/après) doivent être substituées uniquement
des comparaisons spatiales (référence géographique. secteur non pratiqué et donc non impacté, et secteur
pratiqué et donc impacté).
L'ensemble des compartiments (milieu physique, habitats, faune/flore terrestre et aquatique, état physicochimique)
doivent être abordés conformément au cahier des charges. Néanmoins, les délais de mise en oeuvre
et d'étude ne permettent pas d'aborder exhaustivement tous les aspects, surtout dans la limite d'un seul suivi sur
une saison automne/hiver.
La méthodologie employée s'articulera donc autour des axes suivants :
-> L'analyse des incidences constatées sur le site. Pour cela sera effectuée, selon les éléments, une
comparaison entre :
- les secteurs amont (situation de référence) et aval (situation d'impact) du ru de Chaley,
- l'écosystème des gorges de Chaley (situation d'impact) avec un autre milieu « similaire» non-impacté,
celui des gorges du Merdaret (situation de référence) ;
-> L'analyse de la bibliographie existante sur l'impact de la pratique du canyoning sur les ruisseaux à substrat
calcaire s'avère également un précieux complément à cette étude. À noter toutefois que les documents existants
ne sont pas nombreux. Beaucoup listent les impacts potentiels de la pratique du canyoning sur le milieu
« support» mais rares sont ceux qui les quantifient Cette lacune vient de la grande difficulté à aborder cette
problématique qui nécessiterait, comme l'indique de nombreux auteurs, plusieurs années de suivi et un
investissement permettant de développer des méthodologies élaborées.
Dans le texte original, il n'y a pas de mise en gras. C'est moi qui l'ai rajouté.PRÉAMBULE
Le canyoning se pratique sur le secteur aval du ru de Chaley sur un parcours d'environ 700m qui représente 150m de dénivelée. Le ru se caractérise par un enchainement de nombreuses cascades plutôt verticales dans la partie amont et souvent inclinées dans la partie aval. Ce petit ruisseau issu d'une source karstique ne tarit jamais Toutefois, la source du ruisseau est captée pour l'alimentation en eau d'une usine hydroélectrique. Ce ru est très fréquenté par les adeptes du canyoning (aussi bien par les professionnels qui accompagnent des groupes que par les particuliers) ce qui en période d'étiage notamment présente des conflits d'usage.
Jusqu'en 2010, l'arrêté-cadre départemental de gestion de la ressource en eau dans les cours d'eau du département de l'Ain et leur nappe d'accompagnement (hors Saône, Rhône et rivière d'Ain) en période d'étiage interdisait la pratique du canyoning sur les cours d'eau (sauf sur le Groin et la Semine) quand le niveau 3 d'interdiction (crise renforcée) était activé. Or, la circulaire ministérielle du 18 mai 2011 relative aux mesures exceptionnelles de limitation ou de suspension des usages de l'eau en période de sécheresse demande de ne pas mélanger la sécheresse avec d'autres thématiques et d'utiliser les outils de réglementation dont on dispose à bon escient Il en ressort que l'arrêté-cadre sécheresse n'est pas un outil pour réglementer le canyoning Ainsi, un nouvel arrêté-cadre du département de l'Ain en date du 16 mai 2011 a été rédigé en respectant cette circulaire et donc sans interdire de manière spécifique le canyoning quand le niveau 3 d'interdiction est activé c'est à dire au stade de la crise renforcée (il est toutefois interdit de parcourir le lit des cours d'eau).
Il faut donc trouver un autre moyen de réglementer le canyoning afin de préserver les milieux aquatiques si la situation l'exige notamment si la qualité des milieux est mise en péril du fait de cette pratique.
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