Assurage du premier en rappel
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Assurage du premier en rappel
Pratiquez vous systématiquement, parfois, jamais l'assurage du premier (auto assurage si pas trop d'eau ou avec la corde de secours si çà brasse)? Honnêtement hein! On n'est plus dans le manuel là mais sur le terrain.
Merci
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- Olivier LETOUCQ
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- laurent Boero
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La vérité!
Non jamais.
Le premier doit être autonome.
Maintenant si ça brasse vraiment ça peu se discuter
Sauf si je suis avec un débutant dans un canyon genre initiation. Alors à ce moment là soi je retiens la corde d'en haut sur la première moitié de la descente, aprés je suis obligé de la lacher. Ou sinon je le mouline.

Non jamais.
Le premier doit être autonome.
Maintenant si ça brasse vraiment ça peu se discuter

Sauf si je suis avec un débutant dans un canyon genre initiation. Alors à ce moment là soi je retiens la corde d'en haut sur la première moitié de la descente, aprés je suis obligé de la lacher. Ou sinon je le mouline.
Qui fait trop le malin fini par tomber dans le ravin...
- laurent Boero
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Avec des clients je faits plusieurs méthodes :
Déjà la moulinette ou méthode sac à pomme de terre, je ne l'utilise quasiment jamais : peu ludique et la personne galère pour enlever ses mousquetons en bas.
Je contre assure avec sa sa corde depuis le haut jusqu'à la moitié et après je lâche la corde.
Je possitionne le descendeur (huit) soit en rapide.
Soit en huit normal mais en version canyon pour éviter la tête d'alouette.
Ou en vertaco quand il y a une grande verticale peu arossée (du genre le Gourg des Anelles avec le 1er rappel de 27m).
TENIR la corde en contre assurage du bas est PEU EFFICACE car si la personne lâche il faut tirer comme un fou pour la retenir et ceci dans la fraction de seconde après qu'elle est laché, après c'est trop tard. UN mort il y a quelques années sur un rappel dans le Verdon avec cette méthode peu sécurite.
Déjà la moulinette ou méthode sac à pomme de terre, je ne l'utilise quasiment jamais : peu ludique et la personne galère pour enlever ses mousquetons en bas.
Je contre assure avec sa sa corde depuis le haut jusqu'à la moitié et après je lâche la corde.
Je possitionne le descendeur (huit) soit en rapide.
Soit en huit normal mais en version canyon pour éviter la tête d'alouette.
Ou en vertaco quand il y a une grande verticale peu arossée (du genre le Gourg des Anelles avec le 1er rappel de 27m).
TENIR la corde en contre assurage du bas est PEU EFFICACE car si la personne lâche il faut tirer comme un fou pour la retenir et ceci dans la fraction de seconde après qu'elle est laché, après c'est trop tard. UN mort il y a quelques années sur un rappel dans le Verdon avec cette méthode peu sécurite.
Respect et sympathie pour un canyoning durable.
- laurent Boero
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C'est bien ce qui me semblait. Moi non plus je n'assure jamais le premier par contre l'idée de contre assurer le premier du haut avec le brin de descente jusqu'à mi-parcours n'est pas bête. C'est souvent dans les premiers mètres du rappel, quand la corde est le moins verticale (je m'exprime mal mais je pense que vous pigez) et qu'il faut passer des surplombs ou autres merveilles glissantes que le risque est le plus élevé. Accessoirement, la chute est aussi plus haute.
En pratique, tu passes le brin dans ton descendeur?
En pratique, tu passes le brin dans ton descendeur?
- laurent Boero
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Pourtant, c'est au début que le "poid" de la corde, voire le tirage par la cascade, rend les premiers mètres moins sujets à des accélérations incontrolables. Je craindrais plus une accélération de la personne après la première moitié, mais dans ce cas, l'assurage par le brin de descente n'est plus possible.
Pour répondre à la question initiale : pas d'assurance non plus pour le premier qui descend, sauf en cas de vasque à gros risque.
Pour répondre à la question initiale : pas d'assurance non plus pour le premier qui descend, sauf en cas de vasque à gros risque.
- laurent Boero
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Voici ce que je pratique:
Verticale normale, canyoniste sûr: pas de contre assurage du haut
Verticale normale, canyoniste moyen: assurage du haut jusqu'à la moitié
Verticale difficile (longue ou à difficultés non aquatiques, rocher friable, etc), canyoniste obstiné et sûr: pas de contre assurage
Verticale difficile, canyoniste sûr: auto-assurage avec bloqueur largable GUMS, ou autre technique d'auto assurage.
Y'a des controverses chez nous concernant l'assurage du bas pour les suivants. Moi je ne demande d'assurer les suivants que dans des cas particuliers difficiles. Comme ça y'a plus de chance que l'assureur soit attentif. Faut trouver une limite. Avec ceux qui exigent l'assurage à chaque rappel, les canyonistes finissent par perdre l'intérêt à cette tâche s'ils assurent plusieurs fois les suivant sur de vulgaires dalles en pentes. Comme dit Fred, assurer c'est difficile il faut être très attentif et garder les bras en haut pendant toute la descente, sinon ça sert à rien.
Verticale normale, canyoniste sûr: pas de contre assurage du haut
Verticale normale, canyoniste moyen: assurage du haut jusqu'à la moitié
Verticale difficile (longue ou à difficultés non aquatiques, rocher friable, etc), canyoniste obstiné et sûr: pas de contre assurage
Verticale difficile, canyoniste sûr: auto-assurage avec bloqueur largable GUMS, ou autre technique d'auto assurage.
Y'a des controverses chez nous concernant l'assurage du bas pour les suivants. Moi je ne demande d'assurer les suivants que dans des cas particuliers difficiles. Comme ça y'a plus de chance que l'assureur soit attentif. Faut trouver une limite. Avec ceux qui exigent l'assurage à chaque rappel, les canyonistes finissent par perdre l'intérêt à cette tâche s'ils assurent plusieurs fois les suivant sur de vulgaires dalles en pentes. Comme dit Fred, assurer c'est difficile il faut être très attentif et garder les bras en haut pendant toute la descente, sinon ça sert à rien.
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Dans les canyons des Pyrénées-Orientales : 98% des rappels nous les effectuont sur les fesses c'est à dire en rappel toboggan pour ce qui ont compris que nous faissions du canyon et pas de l'escalade "à mains nues".
Pour plusieurs raisons :
Quasiment tous nos rappels sont sous cascades donc c'est super glissant.
Le rocher est glissant même s'il n'est pas mouillé.
Nous pratiquons du canyoning et pas de l'escalade.
C'est nettement plus rapide.
C'est plus ludique
Et surtout plus sécurite. Ce qui me raméne à l'assurage du mec qui descend : on risque plus de glisser en descendant, donc de se manger la parois, de lacher les mains pour se retenir... et on peut surtout raccourcir les cordes pour finir en toboggans...

Pour plusieurs raisons :
Quasiment tous nos rappels sont sous cascades donc c'est super glissant.
Le rocher est glissant même s'il n'est pas mouillé.
Nous pratiquons du canyoning et pas de l'escalade.
C'est nettement plus rapide.
C'est plus ludique
Et surtout plus sécurite. Ce qui me raméne à l'assurage du mec qui descend : on risque plus de glisser en descendant, donc de se manger la parois, de lacher les mains pour se retenir... et on peut surtout raccourcir les cordes pour finir en toboggans...
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C'est vrai Marie qu'en bas tu accélèreras plus fort qu'en haut en raison du moindre poids de la corde. Mais tu as moins de risque de te louper qu'en haut où, en raison de la non verticalité de la corde (voire de la quasi horizontalité au départ), tu as plus de risques de faire un pendule et de te manger la paroi. La tension de la corde ne compense pas complètement ton poids à ce moment là (c'est l'appui de tes pieds sous la paroi qui compense le reste). Alors que plus bas (en général), la corde arrive plus verticale sur toi et tu risques moins de penduler.
Donc effectivement, si tu te loupes tu pars plus vite mais tu as moins de chances de te louper. Enfin, c'est mon opinion...
Donc effectivement, si tu te loupes tu pars plus vite mais tu as moins de chances de te louper. Enfin, c'est mon opinion...
C'est vrai que, globalement, on observe une tendance à négliger l'assurance du premier ainsi que les conditions de descente du dernier. Comme, toujours en canyon, il n'y a pas une solution miracle qui marche partout.
Pour l'assurance du premier :
- Comme Fred, je n'utilise qu'hyper-rarement la solution de la moulinette "sac à patate". Ca peut m'arriver, mais c'est souvent pour "évacuer" qq'un qui n'a pas sa place dans le canyon et qui n'est pas du tout capable de se gérer en rappel. Dans ce cas, il y a en principe toujours qq'un à la réception.
- Comme Fred, je privilégie le plus souvent, sur de petites verticales, l'assurance en U : je tiens très fermement, à la main, le brin de descente que l'équipier tient lui-même. Soit dit en passant, çà implique 2 choses : 1-d'être vraiment prêt à retenir le gonze qui a laché son rappel... essayez, pas haut au-dessus d'une vasque, c'est pas aisé. 2-De savoir à peu près lancer le bout de corde ailleurs que sur le gars qui descend (tas de pue, noeuds, ganses qui vont de coincer...), mais pas non-plus dans les arbres environnants...
- Dans le cas où je n'ai pas confiance en la descente du premier sur le demi-distance qui lui reste à parcourir seul, j'ai comme possibilité : 1- de rallonger la corde en conséquence (quasi 2x la hauteur, i.e. petits cascades), à condition qu'il n'y a pas d'eau en bas (avoir pied est impératif, sinon saucissonnage assuré). 2- De l'assurer en parrallèle avec une autre corde, cette fois-ci reliée à l'amarage par (le plus souvent) un huit en rapide.
- Dans le cas où çà brasse en bas : déjà, en principe, j'ai au moins quelqu'un sur qui je peux compter un minimum. J'utiliserai, selon la configuration, différentes techniques (ajusté avec débrayable, ancre...), voir je descendrai le premier, pour par exemple, tendre un guidé, si çà me semble la meilleure solution.
Pour les autres équipiers, soit je reproduis ou j'adapte la technqiue d'assurage du haut, soit, si j'ai confiance en la personne en bas, je le fais assurer du bas (en effet, comme le dit Fred, simplement tenir à la main la corde et jeter un oeil de temps en temps, en discutant avec un pôte, ne sert A RIEN).
Soit dit en passant, j'observe aussi qu'on réduit un peu trop souvent la sécurité pour le dernier (souvent le + aguerri) : alors que les autres ont eu droit à un débrayable, à la gestion du/des frottements, etc... le dernier, par commodité, se tape le rappel en double, non ajusté, alors qu'il n'a plus personne au dessus de lui pour venir l'aider... C'est à chacun de se remettre en cause et, en dernier "responsable", de choisir la technique qui lui sera adaptée. Se poser rapidement les questions du genre : Qu'advient-il si je me trouve coincé pour une raison X sur la corde ? Quels sont les risques, dans cette configuration, à la réception ?... Pourrais-je m'en sortir seul, ou préfère-je une autre technique, pour au cas où.. ? Bien souvent, le dernier a bien confiance en soi et néglige les mêmes risques qu'il a pris en compte pour les autres, s'appuyant sur son agilité comme principale aliée. A méditer...
Bertrand, souvent le premier en haut du rappel, mais très souvent aussi le dernier à le descendre
Pour l'assurance du premier :
- Comme Fred, je n'utilise qu'hyper-rarement la solution de la moulinette "sac à patate". Ca peut m'arriver, mais c'est souvent pour "évacuer" qq'un qui n'a pas sa place dans le canyon et qui n'est pas du tout capable de se gérer en rappel. Dans ce cas, il y a en principe toujours qq'un à la réception.
- Comme Fred, je privilégie le plus souvent, sur de petites verticales, l'assurance en U : je tiens très fermement, à la main, le brin de descente que l'équipier tient lui-même. Soit dit en passant, çà implique 2 choses : 1-d'être vraiment prêt à retenir le gonze qui a laché son rappel... essayez, pas haut au-dessus d'une vasque, c'est pas aisé. 2-De savoir à peu près lancer le bout de corde ailleurs que sur le gars qui descend (tas de pue, noeuds, ganses qui vont de coincer...), mais pas non-plus dans les arbres environnants...

- Dans le cas où je n'ai pas confiance en la descente du premier sur le demi-distance qui lui reste à parcourir seul, j'ai comme possibilité : 1- de rallonger la corde en conséquence (quasi 2x la hauteur, i.e. petits cascades), à condition qu'il n'y a pas d'eau en bas (avoir pied est impératif, sinon saucissonnage assuré). 2- De l'assurer en parrallèle avec une autre corde, cette fois-ci reliée à l'amarage par (le plus souvent) un huit en rapide.
- Dans le cas où çà brasse en bas : déjà, en principe, j'ai au moins quelqu'un sur qui je peux compter un minimum. J'utiliserai, selon la configuration, différentes techniques (ajusté avec débrayable, ancre...), voir je descendrai le premier, pour par exemple, tendre un guidé, si çà me semble la meilleure solution.
Pour les autres équipiers, soit je reproduis ou j'adapte la technqiue d'assurage du haut, soit, si j'ai confiance en la personne en bas, je le fais assurer du bas (en effet, comme le dit Fred, simplement tenir à la main la corde et jeter un oeil de temps en temps, en discutant avec un pôte, ne sert A RIEN).
Soit dit en passant, j'observe aussi qu'on réduit un peu trop souvent la sécurité pour le dernier (souvent le + aguerri) : alors que les autres ont eu droit à un débrayable, à la gestion du/des frottements, etc... le dernier, par commodité, se tape le rappel en double, non ajusté, alors qu'il n'a plus personne au dessus de lui pour venir l'aider... C'est à chacun de se remettre en cause et, en dernier "responsable", de choisir la technique qui lui sera adaptée. Se poser rapidement les questions du genre : Qu'advient-il si je me trouve coincé pour une raison X sur la corde ? Quels sont les risques, dans cette configuration, à la réception ?... Pourrais-je m'en sortir seul, ou préfère-je une autre technique, pour au cas où.. ? Bien souvent, le dernier a bien confiance en soi et néglige les mêmes risques qu'il a pris en compte pour les autres, s'appuyant sur son agilité comme principale aliée. A méditer...
Bertrand, souvent le premier en haut du rappel, mais très souvent aussi le dernier à le descendre

Bertrand Hauser
- Marc Maurin
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- Inscription : lun. 23 févr. 2004 12:31
- Localisation : montpellier
Perso, j'assure d'en haut les enfants ou novices avec un demi cabestan sur un mousquif sur l'amarrage, surtout si je vois le cobaye. Mais je préfère quand c'est possible envoyer qqn avant qui assure d'en bas.
Le seul pb, si l'arrivée se fait dans l'eau, le brin lui est trop long. Et si ça brasse, j'emmène pas, ou alors avec qqn d'autre (style 2 autonomes pour un enfant) et je fais un rappel guidé si nécessaire.
Le seul pb, si l'arrivée se fait dans l'eau, le brin lui est trop long. Et si ça brasse, j'emmène pas, ou alors avec qqn d'autre (style 2 autonomes pour un enfant) et je fais un rappel guidé si nécessaire.
La première impression est souvent la bonne, surtout quand elle est mauvaise.
Oui j'ai rencontré plusieurs fois problème.
Du genre ils se sont tous cassés voir la cascade suivante ils t'ont laissé ton sac qui est déjà lourd (normal c'est ton sac
et puis c'est toi qui amène tout ce beau monde et puis ce sont tes cordes) avec en plus le kit boule (normal faut bien que tu descendes aussi). Et puis de toutes manières toi tu te débrouilles t'as besoin de personne
.
Du coup je coup je suis entrain de réfléchir à un nouvelle politique dans le choix de mes équipers.
Du genre ils se sont tous cassés voir la cascade suivante ils t'ont laissé ton sac qui est déjà lourd (normal c'est ton sac


Du coup je coup je suis entrain de réfléchir à un nouvelle politique dans le choix de mes équipers.

Qui fait trop le malin fini par tomber dans le ravin...
">Marc Maurin" : Perso, j'assure d'en haut les enfants ou novices avec un demi cabestan sur un mousquif sur l'amarrage, surtout si je vois le cobaye. Mais je préfère quand c'est possible envoyer qqn avant qui assure d'en bas.
D'après le message de Fred et confirmé par Bertrand, ils semblaient dire qu'il était difficile de récupérer quelqu'un qui lache à moins d'intervenir dans la fraction de seconde qui suit. Je pensais, probablement à tort donc, que le poids de celui qui assure se pendant à la corde suffisait à arrêter la descente. Si ce n'est pas le cas, ça ne sert à rien, il y a des assurances qui se font dans une vasque, sans avoir pieds, et avec l'eau de la cascade plein les yeux... je ne suis pas sûre de ne jamais, même une seconde, quitter des yeux celui qui descend... ça reviendrait à assurer tout le monde d'en haut ? (Et le dernier, on y revient, se débrouille!). Mais dans le cas d'équipiers autonome, assurez-vous dans tous les cas la descente ?
D'après le message de Fred et confirmé par Bertrand, ils semblaient dire qu'il était difficile de récupérer quelqu'un qui lache à moins d'intervenir dans la fraction de seconde qui suit. Je pensais, probablement à tort donc, que le poids de celui qui assure se pendant à la corde suffisait à arrêter la descente. Si ce n'est pas le cas, ça ne sert à rien, il y a des assurances qui se font dans une vasque, sans avoir pieds, et avec l'eau de la cascade plein les yeux... je ne suis pas sûre de ne jamais, même une seconde, quitter des yeux celui qui descend... ça reviendrait à assurer tout le monde d'en haut ? (Et le dernier, on y revient, se débrouille!). Mais dans le cas d'équipiers autonome, assurez-vous dans tous les cas la descente ?
- Marc Maurin
- Messages : 8031
- Inscription : lun. 23 févr. 2004 12:31
- Localisation : montpellier
Non.
En fait le mieux : le meilleur en premier, les autres, le dernier étant un équipier expérimenté. Les deux seuls à prendre le + de risques sont les premiers et derniers qui sont censés être O.K. dans toutes les situations (ahem
).
Mais comme j'aime bien être en petit groupe (3 ou 4) voire 2 (je sais, encore une imprudence : cékiki garde le blessé, hein
), c'est pas toujours possible
.
Bon, on parle on parle, mais on essaye de faire pour le mieux et limiter les risques. Y EN AURA TOUJOURS, sinon on aurait pas de frisson ???
En fait le mieux : le meilleur en premier, les autres, le dernier étant un équipier expérimenté. Les deux seuls à prendre le + de risques sont les premiers et derniers qui sont censés être O.K. dans toutes les situations (ahem

Mais comme j'aime bien être en petit groupe (3 ou 4) voire 2 (je sais, encore une imprudence : cékiki garde le blessé, hein



Bon, on parle on parle, mais on essaye de faire pour le mieux et limiter les risques. Y EN AURA TOUJOURS, sinon on aurait pas de frisson ???
La première impression est souvent la bonne, surtout quand elle est mauvaise.
il y a des assurances qui se font dans une vasque, sans avoir pieds, et avec l'eau de la cascade plein les yeux... je ne suis pas sûre de ne jamais, même une seconde, quitter des yeux celui qui descend... ça reviendrait à assurer tout le monde d'en haut ?
Pour éviter ce problème, je me trimbale toujours mes lunettes de piscine pour voir clair dans ces cas là, c'est pas lourd, pas fragile et bien pratique
