A signer massivement !!
A signer massivement !!
Bonsoir,
Même si cette pétition EPI est orientée "spéléo", nous sommes tous concerné (canyon, escalade, montagne ...)
http://www.lapetition.be/petition.php?petid=620
Merci de votre soutien.
GG
Même si cette pétition EPI est orientée "spéléo", nous sommes tous concerné (canyon, escalade, montagne ...)
http://www.lapetition.be/petition.php?petid=620
Merci de votre soutien.
GG
Salut Gus! C'est Guillaume, j'étais aux 50ans de ton frangin (GPA)! Pour ce qui est de la pétition, pour ma part c'est déjà fait, mais en tout cas c'est une bonne idée de la faire passer sur le forumGG a écrit :Bonsoir,
Même si cette pétition EPI est orientée "spéléo", nous sommes tous concerné (canyon, escalade, montagne ...)
http://www.lapetition.be/petition.php?petid=620
Merci de votre soutien.
GG


Allez à la prochaine




Avec un pied en l'air et l'autre sur rien, ça saute!!!




C'est signé Gus.
J'avoue que j'ai un peu de mal à m'y retrouver.
D'une part, je suis surpris de voir que la DGCCRF contrôle des clubs relevant du statut d'association loi 1901.
D'autre part, la référence réglementaire concernant les EPI est celle du code du travail. Je n'ai pas connaissance à ce jour d'une autre réglementation en vigueur. Les sports (de loisir) tels que canyon, spéléo, escalade sont donc assimilés au travail (professionnel) en hauteur ?
L'exemple qu'on peut voir ici est frappant :
http://perso.orange.fr/chv-vassieux/mai ... -recto.jpg
http://perso.orange.fr/chv-vassieux/mai ... -verso.jpg
Ces derniers temps de nombreux clubs ont fait l'objet de contrôle. Je n'ai pas eu connaissance de PV ayant donné lieu à des amendes (pas encore...), mais tout de même des recommandations et des mises en demeure.
Je tiens aussi à souligner, et regretter, le manque d'info de la part des fédés vers les club.
Cela dit, si quelqu'un peut éclairer ma lanterne sur le sujet, je suis preneur.
J'avoue que j'ai un peu de mal à m'y retrouver.
D'une part, je suis surpris de voir que la DGCCRF contrôle des clubs relevant du statut d'association loi 1901.

D'autre part, la référence réglementaire concernant les EPI est celle du code du travail. Je n'ai pas connaissance à ce jour d'une autre réglementation en vigueur. Les sports (de loisir) tels que canyon, spéléo, escalade sont donc assimilés au travail (professionnel) en hauteur ?

L'exemple qu'on peut voir ici est frappant :

http://perso.orange.fr/chv-vassieux/mai ... -recto.jpg
http://perso.orange.fr/chv-vassieux/mai ... -verso.jpg
Ces derniers temps de nombreux clubs ont fait l'objet de contrôle. Je n'ai pas eu connaissance de PV ayant donné lieu à des amendes (pas encore...), mais tout de même des recommandations et des mises en demeure.
Je tiens aussi à souligner, et regretter, le manque d'info de la part des fédés vers les club.

Cela dit, si quelqu'un peut éclairer ma lanterne sur le sujet, je suis preneur.

Si ça n'avait pas été aussi bien, ça aurait été pire...
les fédés ont pas mal communiqué (ainsi que pas mal de fabricants bien sûr).
En gros, il était illégal avant de prêter des EPI dans les clubs puisque le code du travail s'y appliquait. Mais tout le monde le faisait.
Une nouvelle règlementation permet maintenant le prêt, mais avec des obligations draconiennes : désignation d'un contrôleur au sein de chaque club; identification, traçabilité et contrôles réguliers sur tous les EPI, temps max de stockage avant utilisation et temps max d'utilisation selon les durées préconisées par les fabricants.
En gros, au bout de 5 ans, on doit réformer la plupart des cordes et des harnais et les mousquifs de certaines marques
La FFS a fait récemment d'ailleurs dans un spelunca un tableau récapitulant toutes ces fameuses données. J'essaierai de le scanner et de le mettre à dispo des pdts de clubs intéressés.
De mémoire, un ou deux clubs spéléos ont déjà été contrôles dans l'ain justement par des contrôleurs de la DDRCF bien pointilleux...
D'où la pétition pour demander un assouplissement.
En gros, il était illégal avant de prêter des EPI dans les clubs puisque le code du travail s'y appliquait. Mais tout le monde le faisait.
Une nouvelle règlementation permet maintenant le prêt, mais avec des obligations draconiennes : désignation d'un contrôleur au sein de chaque club; identification, traçabilité et contrôles réguliers sur tous les EPI, temps max de stockage avant utilisation et temps max d'utilisation selon les durées préconisées par les fabricants.
En gros, au bout de 5 ans, on doit réformer la plupart des cordes et des harnais et les mousquifs de certaines marques
La FFS a fait récemment d'ailleurs dans un spelunca un tableau récapitulant toutes ces fameuses données. J'essaierai de le scanner et de le mettre à dispo des pdts de clubs intéressés.
De mémoire, un ou deux clubs spéléos ont déjà été contrôles dans l'ain justement par des contrôleurs de la DDRCF bien pointilleux...
D'où la pétition pour demander un assouplissement.
Test signature
Allez voir le courrier suite à un contrôle dans un club, il est très explicite
http://forum.ffspeleo.fr/viewtopic.php?id=3428
http://forum.ffspeleo.fr/viewtopic.php?id=3428
Ci-joint, le courrier de la FFS adressé à la Ministre de la jeunesse et des sports
A suivre pour que ça ne reste pas lettre morte.
Lyon, le 12 octobre 2007
Madame la Ministre,
Je souhaite attirer votre attention sur une situation préoccupante liée à
la gestion des Equipements de protection individuelle (EPI) contre les
chutes
de hauteur dans le cadre des activités sportives et de loisirs, gestion
actuellement réglementée par le code du travail.
Le décret du 19 mars 2004, qui a modifié l’article R233-155 du code du
travail en autorisant le prêt, la location ou la mise à disposition
d’EPI, a assoupli les dispositions antérieures, qui ne l'autorisaient que
dans le cas de matériel neuf. Il n’en demeure pas moins que la
réglementation du travail appliquée aux activités de loisir impose des
contraintes peu en rapport avec la réalité de ces activités.
La pratique de la spéléologie et du canyon organisée dans les associations
affiliées à la fédération nécessite l’utilisation d’une quantité
importante de matériel EPI destinée aux actions d’initiation et aux
sorties collectives habituelles. Il faut insister sur l'absence connue de
tout accident depuis plus de 10 ans mettant en cause ces EPI dans nos
disciplines et y voir là, le résultat des efforts de formation des
pratiquants réalisés par les fédérations délégataires.
La fédération a édicté en janvier 2006 des recommandations fédérales
pour la gestion de ce type de matériel afin de tester les futures
préconisations de la norme actuellement élaborée au sein de l'AFNOR. Ces
recommandations sont devenues obsolètes au regard du code du travail, le
projet de norme initial ayant été refusé par le Ministère du travail.
Cela montre bien l'inadéquation de ce cadre légal puisque le texte ,
élaboré conjointement par les fédérations et les fabricants, a dû être
largement amendé pour répondre aux exigences du monde du travail.
Il apparaît que ces règles de gestion édictées pour assurer dans le monde
du travail la sécurité de salariés encadrés parfois par des responsables
sans connaissances spécifiques du matériel, sont en décalage profond avec
la réalité de l’utilisation et de la gestion de ces matériels par nos
encadrants, experts de leur discipline sportive.
Un récent contrôle opéré par la direction départementale de la
concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes de l'Ain
dans un club affilié à la fédération, a relevé de nombreuses «
infractions » au code du travail dont la légitimité dans le cadre des
activités des fédérations, comme nous venons de l'indiquer, doit largement
être mise en cause. Ce contrôle a mis en évidence l’impossibilité de
remplir l’ensemble des obligations liées à la gestion des EPI et a
profondément ému l’ensemble des clubs de la fédération, car la
généralisation de tels contrôles aurait pour effet certain de mettre en
péril toute activité dans nos clubs.
Je prendrais quelques exemples de l’inapplication de certaines règles
actuellement en vigueur.
La traçabilité de chaque matériel
Cette exigence nécessite que le fabricant prévoie un dispositif de marquage
apposé par le propriétaire sur chaque EPI, de façon visible, lisible et
indélébile, pendant toute la «durée de vie» prévisible de cet EPI. Ce
n'est pas le cas des mousquetons pour lesquels les fabricants recommandent
un marquage par inscription au feutre sur ruban adhésif. Ce dispositif ne
résiste pas à la pratique de la spéléologie.
De même pour les cordes, le marquage aux extrémités a pour conséquence de
rigidifier celles-ci générant un risque grave de blocage de la corde lors
de son rappel, voire un risque de blocage du pratiquant de la descente de
canyon à l'arrivée dans une vasque en fin de corde. Ce qui peut se
révéler dramatique si le pratiquant se trouve alors sous une cascade.
Les notices d'information des fabricants
Malgré l'obligation qui leur est faite, de nombreux distributeurs omettent
de joindre à leurs produits les notices d'information des produits vendus. Cela
est particulièrement vrai pour les cordes vendues au mètre et pose donc aux
clubs des difficultés pour respecter les obligations du code du travail qui
stipule que chaque matériel doit être accompagné de sa notice.
La durée de vie des matériels fixée par les fabricants en nombre d'années, elle n’est pas en cohérence
avec l’utilisation qui peut en être faite : à raison d’une vingtaine de
sorties annuelles en moyenne, un casque dont la durée de vie serait fixée à
3 ans, devrait être mis au rebut après 60 utilisations. Très loin du nombre
d’utilisations possibles avec le même équipement dans le cadre d’une
activité salariée quotidienne…
Si, aujourd'hui, les clubs peuvent orienter leurs achats de matériels en
fonction des indications des fabricants, ils n'étaient malheureusement pas
assez sensibilisés à ce problème il y a peu d'années et se retrouvent en
possession de matériel en parfait état de fonctionnement mais inutilisables
au regard de la réglementation. C'est notamment le cas du club qui a été
contrôlé par la DDCCRF de l'Ain. Ce club a cessé toute activité depuis la
notification qu'il a reçue et n'envisage pas de pouvoir les reprendre,
principalement pour l'initiation, avant plusieurs mois, faute de crédits
pour acquérir les matériels nécessaires.
Le code du travail prévoit également la présentation d’un certificat de
conformité pour chaque EPI mis à disposition de chaque utilisateur.
Le signataire d’un tel document, engageant sa responsabilité, atteste que
le matériel concerné répond bien aux « dispositions techniques qui lui
sont applicables ». Ces dispositions techniques recouvrent entre autre les
caractéristiques de résistance initiale du matériel que le fabriquant est
tenu de respecter en vue de sa mise sur le marché. Or, les vérifications
indiquées par les fabricants dans la notice d’utilisation sont de nature
visuelle, tactile et fonctionnelle et elles ne permettent donc pas
d’attester que la résistance des dits équipements répond bien toujours
aux dispositions techniques initiales. Il est par conséquent impossible
voire malhonnête d'exiger de nos pratiquants qu'ils signent ce document.
Certes, il n’est pas question d’exonérer la spéléologie et la descente
de canyon de tout contrôle destiné à vérifier la fiabilité de ces
équipements, mais d’adapter ceux-ci à la réalité de la pratique. La
mise en œuvre volontaire de nos recommandations par les différentes
structures de la fédération nous a permis de faire un bilan et d'envisager
de définir des règles de sécurité adaptées à même de garantir à la
fois nos pratiquants et la pérennité de la pratique. Ceci entre normalement
dans la mission d'une fédération délégataire comme le prévoit l’article
L131-16 du code du sport.
A cet effet, nous souhaiterions qu’une action du Ministère permette de
retirer du champ du code du travail les disciplines pratiquées au sein des
fédérations, et de légiférer dans le sens d'une responsabilisation des
acteurs du monde sportif et associatif qui ont toujours montré leur
implication et leur sérieux à vos côtés.
Espérant qu’un soutien de votre part permettra de faire évoluer la
réglementation, je vous prie de croire, Madame la Ministre, à l’assurance
de ma respectueuse considération.
Bernard LIPS
Président de la Fédération
française de spéléologie

Lyon, le 12 octobre 2007
Madame la Ministre,
Je souhaite attirer votre attention sur une situation préoccupante liée à
la gestion des Equipements de protection individuelle (EPI) contre les
chutes
de hauteur dans le cadre des activités sportives et de loisirs, gestion
actuellement réglementée par le code du travail.
Le décret du 19 mars 2004, qui a modifié l’article R233-155 du code du
travail en autorisant le prêt, la location ou la mise à disposition
d’EPI, a assoupli les dispositions antérieures, qui ne l'autorisaient que
dans le cas de matériel neuf. Il n’en demeure pas moins que la
réglementation du travail appliquée aux activités de loisir impose des
contraintes peu en rapport avec la réalité de ces activités.
La pratique de la spéléologie et du canyon organisée dans les associations
affiliées à la fédération nécessite l’utilisation d’une quantité
importante de matériel EPI destinée aux actions d’initiation et aux
sorties collectives habituelles. Il faut insister sur l'absence connue de
tout accident depuis plus de 10 ans mettant en cause ces EPI dans nos
disciplines et y voir là, le résultat des efforts de formation des
pratiquants réalisés par les fédérations délégataires.
La fédération a édicté en janvier 2006 des recommandations fédérales
pour la gestion de ce type de matériel afin de tester les futures
préconisations de la norme actuellement élaborée au sein de l'AFNOR. Ces
recommandations sont devenues obsolètes au regard du code du travail, le
projet de norme initial ayant été refusé par le Ministère du travail.
Cela montre bien l'inadéquation de ce cadre légal puisque le texte ,
élaboré conjointement par les fédérations et les fabricants, a dû être
largement amendé pour répondre aux exigences du monde du travail.
Il apparaît que ces règles de gestion édictées pour assurer dans le monde
du travail la sécurité de salariés encadrés parfois par des responsables
sans connaissances spécifiques du matériel, sont en décalage profond avec
la réalité de l’utilisation et de la gestion de ces matériels par nos
encadrants, experts de leur discipline sportive.
Un récent contrôle opéré par la direction départementale de la
concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes de l'Ain
dans un club affilié à la fédération, a relevé de nombreuses «
infractions » au code du travail dont la légitimité dans le cadre des
activités des fédérations, comme nous venons de l'indiquer, doit largement
être mise en cause. Ce contrôle a mis en évidence l’impossibilité de
remplir l’ensemble des obligations liées à la gestion des EPI et a
profondément ému l’ensemble des clubs de la fédération, car la
généralisation de tels contrôles aurait pour effet certain de mettre en
péril toute activité dans nos clubs.
Je prendrais quelques exemples de l’inapplication de certaines règles
actuellement en vigueur.
La traçabilité de chaque matériel
Cette exigence nécessite que le fabricant prévoie un dispositif de marquage
apposé par le propriétaire sur chaque EPI, de façon visible, lisible et
indélébile, pendant toute la «durée de vie» prévisible de cet EPI. Ce
n'est pas le cas des mousquetons pour lesquels les fabricants recommandent
un marquage par inscription au feutre sur ruban adhésif. Ce dispositif ne
résiste pas à la pratique de la spéléologie.
De même pour les cordes, le marquage aux extrémités a pour conséquence de
rigidifier celles-ci générant un risque grave de blocage de la corde lors
de son rappel, voire un risque de blocage du pratiquant de la descente de
canyon à l'arrivée dans une vasque en fin de corde. Ce qui peut se
révéler dramatique si le pratiquant se trouve alors sous une cascade.
Les notices d'information des fabricants
Malgré l'obligation qui leur est faite, de nombreux distributeurs omettent
de joindre à leurs produits les notices d'information des produits vendus. Cela
est particulièrement vrai pour les cordes vendues au mètre et pose donc aux
clubs des difficultés pour respecter les obligations du code du travail qui
stipule que chaque matériel doit être accompagné de sa notice.
La durée de vie des matériels fixée par les fabricants en nombre d'années, elle n’est pas en cohérence
avec l’utilisation qui peut en être faite : à raison d’une vingtaine de
sorties annuelles en moyenne, un casque dont la durée de vie serait fixée à
3 ans, devrait être mis au rebut après 60 utilisations. Très loin du nombre
d’utilisations possibles avec le même équipement dans le cadre d’une
activité salariée quotidienne…
Si, aujourd'hui, les clubs peuvent orienter leurs achats de matériels en
fonction des indications des fabricants, ils n'étaient malheureusement pas
assez sensibilisés à ce problème il y a peu d'années et se retrouvent en
possession de matériel en parfait état de fonctionnement mais inutilisables
au regard de la réglementation. C'est notamment le cas du club qui a été
contrôlé par la DDCCRF de l'Ain. Ce club a cessé toute activité depuis la
notification qu'il a reçue et n'envisage pas de pouvoir les reprendre,
principalement pour l'initiation, avant plusieurs mois, faute de crédits
pour acquérir les matériels nécessaires.
Le code du travail prévoit également la présentation d’un certificat de
conformité pour chaque EPI mis à disposition de chaque utilisateur.
Le signataire d’un tel document, engageant sa responsabilité, atteste que
le matériel concerné répond bien aux « dispositions techniques qui lui
sont applicables ». Ces dispositions techniques recouvrent entre autre les
caractéristiques de résistance initiale du matériel que le fabriquant est
tenu de respecter en vue de sa mise sur le marché. Or, les vérifications
indiquées par les fabricants dans la notice d’utilisation sont de nature
visuelle, tactile et fonctionnelle et elles ne permettent donc pas
d’attester que la résistance des dits équipements répond bien toujours
aux dispositions techniques initiales. Il est par conséquent impossible
voire malhonnête d'exiger de nos pratiquants qu'ils signent ce document.
Certes, il n’est pas question d’exonérer la spéléologie et la descente
de canyon de tout contrôle destiné à vérifier la fiabilité de ces
équipements, mais d’adapter ceux-ci à la réalité de la pratique. La
mise en œuvre volontaire de nos recommandations par les différentes
structures de la fédération nous a permis de faire un bilan et d'envisager
de définir des règles de sécurité adaptées à même de garantir à la
fois nos pratiquants et la pérennité de la pratique. Ceci entre normalement
dans la mission d'une fédération délégataire comme le prévoit l’article
L131-16 du code du sport.
A cet effet, nous souhaiterions qu’une action du Ministère permette de
retirer du champ du code du travail les disciplines pratiquées au sein des
fédérations, et de légiférer dans le sens d'une responsabilisation des
acteurs du monde sportif et associatif qui ont toujours montré leur
implication et leur sérieux à vos côtés.
Espérant qu’un soutien de votre part permettra de faire évoluer la
réglementation, je vous prie de croire, Madame la Ministre, à l’assurance
de ma respectueuse considération.
Bernard LIPS
Président de la Fédération
française de spéléologie
Si ça n'avait pas été aussi bien, ça aurait été pire...



lettre à la hauteur de la situation...
si tu as peur, n'y va pas / si tu y vas, n'aie pas peur !
http://yelsub1.free.fr/canyons/italie
http://yelsub1.free.fr/canyons/italie
- Elea Lucatelli
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- Inscription : mar. 06 nov. 2007 22:24
- Contact :
Je fais de la speleo et sur mon casque petzl Ensemble Explorer Led 14 je crois qu'il y a écris desus EPI ainsi que sur le casque de Canyon petzl Elios class de couleur bleu que j'ai achete resament lui aussi il a ecrit desus EPI mais que sur les casques je crois bien par sur le reste du matériel. Si je comprend bien car j'ai signé la petition LEPI est une asurance individuel???
Dernière modification par Elea Lucatelli le ven. 09 nov. 2007 07:31, modifié 1 fois.
vive la speleo et le canyon !!!!!!!
;-)

- buche51
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E.P.I : Equipement de Protection IndividuelElea Lucatelli a écrit :Moi qui fait de la speleo sur mon casque petzl Ensemble Explorer Led 14 je crois qu'il y a écris desus EPI ainsi que sur le casque de Canyon petzl Elios class de couleur bleu que j'ai achete resament lui aussi il a ecrit desus EPI mais que sur les casques je crois bien par sur le reste du matériel. Si je comprend bien car j'ai signé la petition LEPI est une asurance individuel???

Ça jump ou bien ??
- Elea Lucatelli
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- Elea Lucatelli
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