Oh oui ! Sinon, en double j'y serais encore !Delphine a écrit :Craponoz qui présente 110m de rappel en fil d'araignée se descends à simple (éventuellement avec un descendeur spéléo).
Rappel : déséquipement du relai et descente du dernier
t'a déjà vu un gros plomb en escalade? dis toi qu'en rappel tu ne la contrains pas la cordeCorwin a écrit :Ok pour les réponses, et n'y a-t-il pas une histoire d'effet yoyo sur un grand rappel et du coup un plus grand risque de rupture?
un jour tu descendra sur corde tonchée
Guide en pays niçois et ailleurs http://nice-canyoning.com
faites du canyon, pas la guerre
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Juste pour l'illustrationguigui a écrit :t'a déjà vu un gros plomb en escalade? dis toi qu'en rappel tu ne la contrains pas la cordeCorwin a écrit :Ok pour les réponses, et n'y a-t-il pas une histoire d'effet yoyo sur un grand rappel et du coup un plus grand risque de rupture?
un jour tu descendra sur corde tonchée
Dan Osman et les masters of stone
.... Toute ma jeunessehttp://www.youtube.com/watch?v=mcdW-lUu ... re=related
Même si il a semble t'il délibéremment mal placé ses friends pour la vidéo j'avoue que ça calme un peu quand même....
Certains préfèreront ses vidéos de Ponting au combien spectaculaires mais je pense que pour illustrer le sujet la contrainte sur la corde est plus importante ici.
Désolé pour cet apparté
ouchhh ça doit faire mal au dos!!
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On peut arriver à le gérer le yoyo, avec une vitesse de descente régulière et sans arrêt brutalCorwin a écrit :Ok pour les réponses, et n'y a-t-il pas une histoire d'effet yoyo sur un grand rappel et du coup un plus grand risque de rupture?
Pour la descente en butée, ben si pas de problème de frottement, c'est pas mal quand même. Pour la 1ère 80m du Ruzand par exemple
De toute façon, un jour ou l'autre, on ira le faire.....
On parle de la descente du dernier. Il doit y avoir assez de corde si les autres sont passés.
On est d'accord. C'est pour ça que si tu descends sur le brin simple que les autres ont utilisé, t'es au moins sur d'une chose, c'est d'aller en bas. C'est ce que Pap440 recommande, sauf que lui fait faire la manip par l'avant dernier.
POur illustrer : la jonction morghe-maglia se fait par un rappel (il y en 2 possibles je crois) avec une lèvre très saillante donc coupante. Tout le monde passe donc en simple étant légèrement débrayé. Ma chère, en dernier, lance le kit, et descend en double. Mais à 4m de l'eau, en butée sur le kit. Heureusement qu'à cet endroit on peut lacher et faire un plouf.
On est d'accord. C'est pour ça que si tu descends sur le brin simple que les autres ont utilisé, t'es au moins sur d'une chose, c'est d'aller en bas. C'est ce que Pap440 recommande, sauf que lui fait faire la manip par l'avant dernier.
POur illustrer : la jonction morghe-maglia se fait par un rappel (il y en 2 possibles je crois) avec une lèvre très saillante donc coupante. Tout le monde passe donc en simple étant légèrement débrayé. Ma chère, en dernier, lance le kit, et descend en double. Mais à 4m de l'eau, en butée sur le kit. Heureusement qu'à cet endroit on peut lacher et faire un plouf.
Dans un rappel d'accès de 50m en fil d'araignée (Cueva de la Leze, pour shunter une partie de l'approche), la corde sèche émettait un sifflement pas forcement rassurant dans les 15 derniers mètres. Je me suis évidement cramé les mains en retirant mon huit, et ensuite les jambes, comme on était encore en shortberdoche a écrit :T'es pas oblige de descendre en mode GIGN, en prenant ton temps tu dois aussi pouvoir gerer l'echauffement de ta corde... Mais prendre une bouteille d'eau en canyon est un tres bon reflexe.nec a écrit :L'un des copains du Sotano m'a raconté qu'il a emmené une bouteille d'eau, qu'il en gardait dans les joues et qu'il crachait sur descendeur+corde pour rafraichir
Et j'était loin d'être en mode GIGN
"A trop regarder la météo, on passe le we au bistrot!"
Dans mes années folles, en spéléo (milieu pourtant humide et glaiseux), j'ai cramé au moins deux cordes rien qu'en descendant un peu vite sur des courtes longueurs.antilolo a écrit :Dans un rappel d'accès de 50m en fil d'araignée (Cueva de la Leze, pour shunter une partie de l'approche), la corde sèche émettait un sifflement pas forcement rassurant dans les 15 derniers mètres. Je me suis évidement cramé les mains en retirant mon huit, et ensuite les jambes, comme on était encore en shortberdoche a écrit :T'es pas oblige de descendre en mode GIGN, en prenant ton temps tu dois aussi pouvoir gerer l'echauffement de ta corde... Mais prendre une bouteille d'eau en canyon est un tres bon reflexe.nec a écrit :L'un des copains du Sotano m'a raconté qu'il a emmené une bouteille d'eau, qu'il en gardait dans les joues et qu'il crachait sur descendeur+corde pour rafraichir
Et j'était loin d'être en mode GIGN
Depuis, je tente de me souvenir qu'il faut mouiller les cordes statiques.
Mais sur les grands rappels secs genre craponoz d'été, pissevieille, bade piras, etc... le simple fait de laisser pendouiller sa corde dans le vent la fait sécher...
Nicolas Ecarnot
guigui a écrit :moi j'ai vu une vieille polypro d'un gonze péter net dans raton sans prévenir, sans tonches préalable, sans frottement et sans à coup.
Le Polypropylène fond à partir de 145 °C, si mes souvenirs sont exacts. Mais il peut se ramollir vers 90-100 °C ! et ça vient vite 90 °Claure a écrit :Maintement, avant d'atteindre la température de fusion du polyamide, je crois qu'il faut fumer sa cigarette tout en decendant.
Si en plus il est vieux (le polypropylène 
) ou qu'il est chargé de calcite 
Le polyamide fond à !!! et ben ça dépend du type de polyamide...et des composants ajoutés (colorants etc.). Certains tiennent bien jusqu'à 250 °C mais d'autres ramollissent à partir de 160-180°C.
Pour les cordes je sais plus lequel est utilisé exactementD'un autre côté les tests de mesure de fusion/ramollissement sont rarement effectués avec un canyoniste d'un certain poids au bout du brin
Moralité : comme déjà dit, mouillons les cordes et pour les descentes à donf... vigilance ++