Descente dans solitaire Saut du Nervión, style barranquista

Echanges relatifs à la pratique de la descente de canyon en général : questions techniques ou débats éthiques, matériels, ouvrages & topos...
Avatar de l’utilisateur
_Ritxi
rank_1
Messages : 179
Inscription : mar. 25 mars 2008 19:10
Localisation : Tauste-ñai

Descente dans solitaire Saut du Nervión, style barranquista

Message par _Ritxi » mer. 30 juin 2010 18:52


Avatar de l’utilisateur
chiki
rank_2000
Messages : 2505
Inscription : lun. 21 août 2006 15:42
Localisation : Pas trés loin

Message par chiki » mer. 30 juin 2010 22:47

Nai :mrgreen: :mrgreen:
Trop de technique tue le canyon...
Pas assez tue le canyoneur...

Avatar de l’utilisateur
yelsub
rank_2000
Messages : 2037
Inscription : lun. 12 juil. 2004 16:35
Localisation : Toulouse
Contact :

Message par yelsub » mer. 30 juin 2010 23:34

tu peux aussi bien faire un Dufour au départ avec un passage de noeud en cours de route et donc pas besoin de shunt avec les mêmes longueurs de cordes...

pour alleger encore, avec un dufour, tu peux meme prendre 2x75m + 150m en dyneema (passage de noeud à 75m)

bien joué qd même =D>
Dernière modification par yelsub le mer. 30 juin 2010 23:40, modifié 1 fois.
si tu as peur, n'y va pas / si tu y vas, n'aie pas peur !
http://yelsub1.free.fr/canyons/italie

Avatar de l’utilisateur
Roro
rank_3000
Messages : 3657
Inscription : dim. 24 oct. 2004 17:23
Localisation : Saint-Raphael

Message par Roro » jeu. 01 juil. 2010 08:14

Même pas peur [-X y a pas le texte en français :?:
Agé ..... certes, ça j'y peux rien, mais pas vieux.

Avatar de l’utilisateur
_Ritxi
rank_1
Messages : 179
Inscription : mar. 25 mars 2008 19:10
Localisation : Tauste-ñai

Message par _Ritxi » jeu. 01 juil. 2010 09:10

TRADUCTION ONLINE!!!!

Por Mario Gastón

L'idée de quelque chose a descendu cette ère verticale, celui qu'il(elle) portait dans un esprit depuis faisait quelques mois. Le Saut du Nervión suppose le plus grand saut de l'eau du pirineo occidental. Il(elle) n'était pas très cohérent avoir descendu la plus grande cascade de l'autre côté du pirineo (La Grande Cascade de Gavarnie, 423 mètres) et laisser dans l'oubli cet abîme fantastique un habitant d¦Alava de presque 300 mètres de profondeur. Mais comme il(elle) a l'habitude d'arriver, non toujours le temps libre que l'un dispose peut le partager avec les autres. Donc l'activité a ajourné une semaine après une semaine.

Un bon jour, tandis qu'il(elle) rédigeait l'article sur le barranquismo de grands verticaux, j'ai pensé qu'il(elle) serait idéal documenter cette descente. En fin de compte, que moins que dédier il(elle) part de l'article à la plus grande cascade espagnole. Mais à nouveau je me trouvais avec le même problème … et c'est que par mon travail, à peine il(elle) tirait(libérait) les week-ends. Donc, après avoir réfléchi quelques instants et après avoir évalué la partie logistique, je suis arrivé à la conclusion de ce qu'il était faisable de réaliser la descente dans solitaire. Le doute unique qu'il(elle) avait était de savoir avec certitude si le chevet était équipé des réunions récupérables, puisqu'il(elle) avait lu dans quelques notices qu'il était nécessaire d'installer dans fixe la grande verticale, étant desinstalar nécessaire le chevet depuis là-haut(en haut) quand a été fini la descente. Cela heurtait(choquait) de front(avec fougue) avec l'idée d'une descente autonome et qui dans certaine manière impliquait avancer sans laisser rien derrière.


CANON DE DELIKA

Le Saut du Nervión est aussi connu comme Cascade de Delika et donne naissance au canon(tuyau) du même nom(nombre), situé dans un délai d'Amurrio (le Pays basque). Les terres de la Castille et du Léon s'arrêtent au pied de ces murs abrupts, en supposant la limite géographique des deux communautés. De fait, l'accès habituel au chevet de la cascade est réalisé depuis le Parc Naturel de Monte Santiago, à l'intérieur encore de la limite(terme) de Burgos et sous une réglementation spécifique, donné la grande valeur naturelle et paysagère de cet environnement où la tranquillité des bois de hêtres contraste avec le vol décidé du vautour fauve. Ci-mentionné semble avoir trouvé son lieu dans ce "Enfer", la dénomination que reçoivent aussi ces murs inaccessibles (Murs Rocheux de l'Enfer).

e Saut du Nervión suppose le plus grand échelon qui a à surpasser cette rivière en son voyage en Gascogne. La plupart de l'année le Nervión tire au sort le vide en 'infiltrant à travers des passages kársticos, comme s'il(si elle) avait peur de faire front à ces abîmes. Cependant, il est possible de voir la cascade dans un plein fonctionnement durant le dégel ou dans une époque de fortes pluies.

Si nous voulons accéder à la base de la cascade, nous aurons à partir depuis la population de Delika, où quelques pistes forestières (dans les deux marges) qui se transforment plus tard en sentes nous conduiront par la rivière nervión au pied des murs imposants(déposants) rocheux. Depuis ici on peut apprécier le mirador, le bien visible par sa proéminence, en étant plus difficile trouver(localiser) le saut dans des périodes d'étiage, puisque le chevet perd entre les murs monumentaux du canon(tuyau).

N PRÉPARANT LA DESCENTE

Comme c'était la première fois qui réalisait cette descente, j'ai dédié le jour suivant à notre arrivée à visiter le saut. D'abord je suis été par la base du canon(tuyau) jusqu'aux derniers degrés. Il(elle) voulait connaître de première main comment c'était le retour, puisqu'il(elle) allait avoir à porter assez matériel aux dos. Après avoir vérifié que l'itinéraire réfléchissait par un terrain plus ou moins simple, nous revenons à Delika et depuis là nous montons jusqu'à Monte Santiago.

Après avoir laissé la voiture dans le parking, nous nous enfonçons par le bois de hêtres, en suivant l'ample piste qu'il(elle) conduit jusqu'au mirador (1,8 km). Une fois là, je n'ai pas pu éviter de me montrer pour contempler le paysage … fascinant! Depuis le mirador il y a une vue privilégiée de la cascade. De plus, la plate-forme est construite sur la verticale, par ce que nous pouvons sentir sous nos pieds plus de 200 mètres d'air qui nous séparent du fond(fonds).

Après, j'ai jeté un oeil à une petite sente qui part depuis le mirador et qui baisse dans un zigzag jusqu'au lit(voie). J'ai baissé pour trouver(localiser) les ancrages de chevet, qui comme il(elle) m'avait commenté, étaient équipés pour pouvoir récupérer. Et voilà que je n'ai pas pu éviter de m'approcher sur le point du saut … ufff. Bien que la verticale de la cascade est d'environ 220 mètres, le canon(tuyau) a une profondeur de plus de 300 et beaucoup d'atmosphère(climat). Spectaculaire …

LA DESCENTE

Il est 8 heures du matin et nous attendons que le garde ouvre les portes du parc. Une fois à l'intérieur, nous atteignons le dernier parquing et commençons à marcher. Pour porter le matériel, j'ai uni les deux nattes avec rubans comme si les deux ballots étaient un sac à dos seul. Ce système me permettra de porter le matériel durant le retour.

Sur 9 heures du matin je commence la descente et me quitte d'Anne. Nous serons communiqués les deux par rayon(radio).

Je me montre à la verticale, regarde pour en(à) bas, tends les cordes et pousse les nattes. Quand enfin ils(elles) restent en pendant du harnais, je continue vers la réunion suspendue, puisque par la distance peu abondante peut-être il n'est pas nécessaire de fractionner ce tronçon(volée). J'atteins les anneaux et non sans un qu'un autre problème de frottements, je réussis à récupérer la corde. Peut-être parce que comme spéléologue, la corde est notre cordon ombilical et le chemin unique de retour, de retirer les cordes (et plus sur l'une verticale de 200 mètres) cet acte ne cesse pas d'être extrêmement violent. Ensuite j'installe la corde de 100. J'embranche le cordino de dyneema et commence mon voyage vers le vide. Je descends peu à peu, pour que le descensor ne se chauffe pas trop. De plus, je ne veux pas que les cordes s'enveloppent. Enfin j'arrive aux noeuds de la fin. À quelques mètres je m'arrête et commence à préparer l'installation du shunt. Durant l'une des opérations, j'ai eu à enlever mon bout du cordino, avec le sort si mauvais qui me s'est échappé des mains. Maintenant le vent pousse l'extrémité à plus de trois mètres de distance … je ne peux pas le croire! Par quelques instants je pense qu'égale est une rafale passagère, mais non. Là le cordino est, presqu'en flottant dans le vide et en se moquant de ma maladresse. Par fortune, il(elle) avait déjà attaché dans l'extrémité l'autre corde de 100 mètres qui baisse jusqu'au sol et monte à nouveau à mes mains. Donc, pour me faire avec lui, j'ai à récupérer ces 100 mètres jusqu'à ce qu'à nouveau le cordino recommence à être dans mon pouvoir(puissance).

Je mets le shunt, attache la corde de récupération et connecte celle-là de descente. Après avoir vérifié que le système est correctement installé, je me change d'une corde. Il semble que tout est dans son tel endroit que, avant de baisser, je défais les noeuds de fin de corde pour que tout reste prêt(vif) et récupérable.

À ces moments je trouve pendu d'un shunt à 50 mètres de la console, mais avec une cour de presque 150 sous mes pieds. Maintenant oui, je me permets de descendre avec plus une aisance, puisque bref une terre ferme m'attend. Comme une araignée qui pend à un fil, j'atterris sur la console et comme je suis je reste renversé pour se reposer un peu. Je profite pour boire quelque chose et pour savourer la gravité. Il(elle) fait beaucoup de chaleur. Il semble que le pire a passé, mais non … il reste de démonter l'hangar. Je donne un petit apprenti(saccade) et la corde commence à glisser par son propre poids. Mais il(elle) s'arrête brusquement. Je commence à tirer avec les mains, mais cela y a tant de chewing-gum ce que pas si la corde glisse ou non. Ainsi que je commence à récupérer avec les assiégeants. Mais quelque chose manque. La corde ne court pas. La vue n'arrive(atteint) pas à voir le shunt. Je vois seulement un point noir. Peut-être un hêtre que jeter avec plus de force - un aliment. Donc je monte un polypâturage avec un minitraxion, en mettant à profit l'installation du rápel suivant. Mais par plus(plus de) tension qu'il je mets, la corde ne court pas. Un problème … et un gras! Un soupir, je m'assois(me sens) et me repose un peu plus. Croops!!! Les pierres ne cessent pas de tomber. Conformément le mur se chauffe, des blocs de différente taille se détachent depuis haut(grand). Seulement une option reste, remonter les 50 mètres et vérifier où le problème réside. Mais un espace(pause), maintenant il(elle) me touche me pendre d'une corde, attachée à un shunt qui pend à l'extrémité d'une corde avec … : un empan de marge ? Donc, pour assurer l'avancement, je fais une preuve de charge en tendant le polypâturage avec toutes mes forces. Malgré le fait qu'il y a 150 mètres de corde, je réussis à la tendre comme une guitare. Je pense que je lui ai mis environ 250-300 Kg de tension ce qui me donne une marge pour entreprendre l'avancement avec assurance.

vers le bas. Je monte avec toute la délicatesse qui j'est possible. Un mètre(métro) à un mètre(métro), un empan à un empan je m'approche du shunt. Quand j'arrive, je j'ancre avec le poing(poignée) à la corde … il(elle) est déjà, il n'y a pas de danger. Je jette un coup d'oeil au système. À ce qu'il semble, un coup de vent a pris dans un filet(embrouillé) le cordino sur le shunt, en annulant tout le système (voir la Loi de Murphy, de principes généraux). Je défais le dommage et pour qu'il(elle) ne recommence pas à arriver, tends le cordino pour éliminer la courbure et tel qui ne peut pas s'embrouiller à nouveau.
Je recommence à descendre les 50 mètres et cette fois la récupération finit avec succès. Uffff … - je pense. Ce qu'il a manqué …

Là-haut(En haut) Anne attend avec impatience. Bien que j'informe de tout celui qui arrive, l'attente dans le mirador devient éternelle. Il(elle) fait un froid là là-haut(en haut). Pendant ce temps, la sueur court par mon front comme encore un surgencia du Nervión.

TECHNIQUE ET MATÉRIEL

Pour l'occasion, j'ai décidé d'utiliser une technique peu conventionnelle. Bien que le normal est d'utiliser des cordes de 150 pour la descente du rápel, cela ils(elles) supposaient environ 300 mètres de corde, à ce qu'il fallait additionner toute mon équipe(équipement) personnelle. Donc, pour réduire un poids et un volume, j'ai utilisé deux cordes de 100 mètres, ensacadas dans des nattes indépendantes, plus de 100 mètres de dyneema de 5 mms. La question est : comment descendre 150 mètres avec cordes de 100 ? Ou ou plutôt : comment récupérer une corde qui a des noeuds intermédiaires ?

Certain consiste en ce que la technique n'est pas nouvelle, mais toujours elle a été plus mise au point comme manoeuvre de fortune pour le cas dont les cordes nous cassent ou celles-ci sont trop courtes. Avec un assiégeant shunt résolvons l'équation du problème, puisque cet assiégeant polyvalent permet le déblocage à distance, la clé de tout le système. De plus, la technique, s'il est convenablement synchronisé, est très opérationnelle puisqu'il(elle) permet d'économiser des efforts : en récupérant seulement 100 mètres, nous aurons récupéré toute la corde.

FICHE TECHNIQUE

Une localisation : le Río Nervión. Une scie(sierra) de Gibijo. Délika. Amurrio (L'ALAVA)
Une dénomination : la Cascade du Nervión, Cascade de Delika
Un dénivellement : 230 mts
Des cordes : 2 x 150
Un accès : 25 min
Une descente : 2-4 H
Je retourne : 1H 25 min
Compliquez : V6, A1 - un A3, IIIe
La première Descente : Diego Dulanto (2007)
Une période : Toute l'année
Un régime hydrologique : Pluvio-nival
Des restrictions : ils(elles) ne sont pas connus.
Une combinaison : Nous laisserons une voiture dans Monte Santiago et l'autre dans le Bar l'Enfer (Delika).

UNE DESCRIPTION

ACCÈS (25 min)

Depuis la population de Berberana, nous suivrons la direction carrossable un port d'Orduña. Presque dans le haut(grand) du port, à une main droite nous pourrons voir les indications et le parquing extérieur du Parc Naturel de Monte Santiago. Nous suivrons la piste jusqu'à ce que cela prenne fin près du centre d'interprétation. À partir d'ici la piste est fermée. Nous suivrons à pied durant 1,8 km jusqu'à arriver au mirador. Après, nous chercherons une sente étroite qui part aux mètres peu abondants de la plate-forme et qui nous conduira au lit(voie) dans peu de minutes. Existe un horaire d'entrée et de la sortie(départ) le parc (de 8 du matin jusqu'à(même) 22 heure dans un été).

DESCENTE (un horaire variable : 2h - 4h)

Le chevet de la verticale est composé par deux ancrages branchés. Il est important de vérifier le sens de coup pour une récupération sans des problèmes, puisque par la situation du mallón, il(elle) bloquera si nous tirons du côté erroné.

Pour chercher la réunion suivante nous pouvons fractionner dans quelques installations placées à 10 mètres peu abondants du chevet, ou suivre jusqu'à la réunion suspendue qui existe quelques mètres plus bas des (deux anneaux). Dans n'importe quel cas, à l'heure d'initier la descente, à l'heure de chercher la directe verticale, puisque si nous dévions par la main gauche en cherchant le commencement échelonné, nous nous séparerons excessivement de la ligne d'installation et additionnerons des frottements importants.

Depuis la réunion suspendue nous descendrons dans fait sauter 150 mètres jusqu'à nous arrêter dans une grande console. Ici nous pourrons faire un pied commodément. En marge droite il(elle) divise l'installation qui nous conduira jusqu'au chevet du dernier rápel (R60) qui nous dépose enfin dans la base de la cascade.

RETOUR (1h 20 min)

Depuis la base, descendre par le chaos de blocs jusqu'à donner avec le cours de la rivière. À partir d'ici, suivre la sente qui réfléchit par la marge et qui croise le lit(voie) dans de nombreuses occasions jusqu'à donner avec la piste. Bien que la piste bifurque dans deux et chacune réfléchit par différente marge, les deux nous porteront par un bon chemin même au Bar l'Enfer, le point final (un ravitaillement recommandé).

OBSERVATIONS

Malgré le fait qu'une régulation sur cette descente n'existe pas, un fait est l'existence de gamins dans ces murs. Bien que la présence humanise difficilement il(elle) peut interrompre le repos de ces oiseaux, donnée l'inaccessibilité à laquelle les nids se trouvent, nous recommandons réaliser la descente outre l'époque d'anidación (Décembre - Juin).

Des reconnaissances

Avatar de l’utilisateur
Roro
rank_3000
Messages : 3657
Inscription : dim. 24 oct. 2004 17:23
Localisation : Saint-Raphael

Message par Roro » jeu. 01 juil. 2010 14:55

Image
Agé ..... certes, ça j'y peux rien, mais pas vieux.

Répondre