Gestion de la peur.
Gestion de la peur.
Bonjour, je me demande comment font les pros pour gérer la peur d’une personne face à un saut, un rappel.
Pourquoi cette question, je fais souvent des rando aqua, un peu de canyoning.
J’emmène parfois des amis débutants. Par deux fois, j’ai eu deux personnes bloquées, refusant de faire un petit saut. Le problème c’est que pour éviter un passage, il faut se mettre en mode sanglier pour continuer, c’est même plus dangereux parfois.
Une des personnes avait pourtant fait les écouges il y a quelques années sans problème. C’est pour ca que je me pose la question. Peut être que plus jeune elle a moins réfléchie mais bon.
Quand les BE prennent un groupe il doit bien y avoir parfois des personnes non entraînées ou qui bloquent. Comment gérer cette peur.
Merci.
Pourquoi cette question, je fais souvent des rando aqua, un peu de canyoning.
J’emmène parfois des amis débutants. Par deux fois, j’ai eu deux personnes bloquées, refusant de faire un petit saut. Le problème c’est que pour éviter un passage, il faut se mettre en mode sanglier pour continuer, c’est même plus dangereux parfois.
Une des personnes avait pourtant fait les écouges il y a quelques années sans problème. C’est pour ca que je me pose la question. Peut être que plus jeune elle a moins réfléchie mais bon.
Quand les BE prennent un groupe il doit bien y avoir parfois des personnes non entraînées ou qui bloquent. Comment gérer cette peur.
Merci.
Je ne suis pas pro mais je fais des sorties avec des débutants.
Pour la peur il n'y a pas beaucoup de miracle a part être là pour eux et les rassurer par diverses moyens. Le saut n'est pas obligatoire donc tu peut toujours les descendre en rappel et même s'il n'y a pas d'ammarage...
En ce qui concerne la peur en rappel elle se passe surtout dans le premier tiers de la descente. Moi ce que je fais; je garde avec moi le brin de descente pour faire un assurage sur la moitié de la cascade quand je n'ai npersonne pour faire un assurage du bas ou que les conditions de la descente ne le permet pas.
La sécurité permet d'oublier la peur...
Au pire tu les moulines....
Pour la peur il n'y a pas beaucoup de miracle a part être là pour eux et les rassurer par diverses moyens. Le saut n'est pas obligatoire donc tu peut toujours les descendre en rappel et même s'il n'y a pas d'ammarage...
En ce qui concerne la peur en rappel elle se passe surtout dans le premier tiers de la descente. Moi ce que je fais; je garde avec moi le brin de descente pour faire un assurage sur la moitié de la cascade quand je n'ai npersonne pour faire un assurage du bas ou que les conditions de la descente ne le permet pas.
La sécurité permet d'oublier la peur...
Au pire tu les moulines....
Trop responsabiliser c'est irresponsabiliser.
Halte aux avalanches de connerie
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- TY SAUNIER
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- Inscription : mar. 20 sept. 2005 12:17
- Localisation : Ca dépend :-)
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Ce que tu expose fais partie d'un point que j'étudie plus particulièrement, ayant des débutants plusieurs fois par semaine.
je n'ai pas la prétention de menner une études scientifique, je n'en ai pas les compétences...
pour allé un peu plus loin, j'ai élargie mes observation en canyon à d'autres activité, de montagne, mais aussi dans de tout autres secteurs.
ce dont je suis persuadé aujourd'hui c'est qu'il y a au moins éléments majeurs:
1. la personne a t'elle décidé de partici^per à cette activité (ou une personne "ayant autorité "psychologique" sur elle là décidé)?
dans ce cas sauf cas extrémes, la personne va surmonté sa peur, difficilement, mais la surmontera...
par contre si la sortie a par exemple été modifié (longueur du parcours, changement de site, modification des hauteurs à franchir,...) la les choses vont trés sérieusement se compliqué
on entrevois assez facilement une explication à ces 2 situations, je laisserais les psy vous l'expliquer avec des mots savants
2. la personne à connaissance d'une possibilité d'échappatoire: on lui as dit, elle croise des randonneurs à un point du parcours, vois un sentier; la aussi sa capacité à surmonter sa peur va être radicalement modifié
Il serais difficile d'oublié de dire qu'un élément extérieur peut venir la aussi compliquer la chose (actualité, grondement de tonerre, confiance dans le cadre (même si l'on croit ne pas avoir fais de connerie la personne peut se mettre à douter sur la base de certains éléments,...)
donc en résumé, être trés vigilant au point 1, savoir que le point 2 va tous compliqué et être tip top le jour de la sortie pour donner confiance.
Je pense qu'il y a une peur "naturelle", qui essuite dégènére ou pas...
Enfin, il y a la "phobie" (excusez le terme, là aussi je ne suis pas psy), lorsque "ça bloque"... (trop d'eau, hauteur, ...) ben tu sort le plan B, tu prend en charge la "descente au contact" (cas très rare mais ça arrive)
je n'ai pas la prétention de menner une études scientifique, je n'en ai pas les compétences...
pour allé un peu plus loin, j'ai élargie mes observation en canyon à d'autres activité, de montagne, mais aussi dans de tout autres secteurs.
ce dont je suis persuadé aujourd'hui c'est qu'il y a au moins éléments majeurs:
1. la personne a t'elle décidé de partici^per à cette activité (ou une personne "ayant autorité "psychologique" sur elle là décidé)?
dans ce cas sauf cas extrémes, la personne va surmonté sa peur, difficilement, mais la surmontera...
par contre si la sortie a par exemple été modifié (longueur du parcours, changement de site, modification des hauteurs à franchir,...) la les choses vont trés sérieusement se compliqué
on entrevois assez facilement une explication à ces 2 situations, je laisserais les psy vous l'expliquer avec des mots savants

2. la personne à connaissance d'une possibilité d'échappatoire: on lui as dit, elle croise des randonneurs à un point du parcours, vois un sentier; la aussi sa capacité à surmonter sa peur va être radicalement modifié
Il serais difficile d'oublié de dire qu'un élément extérieur peut venir la aussi compliquer la chose (actualité, grondement de tonerre, confiance dans le cadre (même si l'on croit ne pas avoir fais de connerie la personne peut se mettre à douter sur la base de certains éléments,...)
donc en résumé, être trés vigilant au point 1, savoir que le point 2 va tous compliqué et être tip top le jour de la sortie pour donner confiance.
Je pense qu'il y a une peur "naturelle", qui essuite dégènére ou pas...
Enfin, il y a la "phobie" (excusez le terme, là aussi je ne suis pas psy), lorsque "ça bloque"... (trop d'eau, hauteur, ...) ben tu sort le plan B, tu prend en charge la "descente au contact" (cas très rare mais ça arrive)
Par expérience, si tu ne te sent pas de sauter, il y a la corde...
Donc je pense que le pro si c'est un pro va poser un rappel et ne pas forcer la personne, car en forçant c'est la meilleure manière d'avoir un accident.
Ensuite selon moi il y a saut et saut, 2 ou 3m de haut je pense que tout le monde saute, au dessus on commence à réfléchir.
Donc je pense que le pro si c'est un pro va poser un rappel et ne pas forcer la personne, car en forçant c'est la meilleure manière d'avoir un accident.
Ensuite selon moi il y a saut et saut, 2 ou 3m de haut je pense que tout le monde saute, au dessus on commence à réfléchir.
j'ai observé que la peur d'une personne peut être induite par le comportement d'une autre.
un membre accompagné communique négativement aux autres (genre ouais il y a eu des accidents sur ce parcours), la personne peureuse qui va l'entendre va commencer à réfléchir puis à angoisser jusqu'à la rupture des nerfs. et ce sans que l'encadrant n'ai rien vu venir.
l'encadrant doit prouver qu'il est le seul qu'on doit écouter.
dans un groupe, il y a un fou-fou-qui-saute-partout, une autre personne du groupe va le reprendre en lui expliquant, incident clôt. le peureux aura entendu ça et se bloquera sur une situation sans risque en prenant l'exemple fataliste pour lui même.
même solution faut imposer son avis, si l'encadrant dit que c'est bon, c'est comme ça, pas de place au doute, si il y a un risque (saut difficile) corde posé et au choix pour l'encadré en lui disant que le rappel c'est sympa
la mise face à une situation "risquée", genre lâcher le brin du bas en rappel. mettra le peureux dans tous ses états, il ne se sentira pas capable d'exécuter une action simple. à cause de l'évocation de la conséquence du lâcher.
mettre en confiance le peureux en lui disant qu'il se débrouille comme un chef, qu'on est surpris de le voir aussi doué et qu'il a déjà prouvé qu'il en est capable, en parallèle lui faire une sécurité genre contre assuré du haut en lui prouvant qu'il arriverait sans. dans le cas du débit, parler doucement malgré le bruit et galvaniser la personne
le sentiment de non maitrise face à un membre expérimenté, ce dernier sera à l'aise en toute condition et quand il considèrera un passage facile pour le peureux, celui ci va s'établir sa propre échelle de difficulté erroné bien sur, et le leader aura du mal à le convaincre.
là faut demander l'aide d'une tierce personne, l'encadrant a perdu sa crédibilité en la prouvant, pour pas que ça arrive, ne pas impressionner et rester discret dès le début, l'encadrant a instauré une domination dans le groupe qui lui nuit.
dans tous les cas le pire mot à dire c'est t'inquiète pas parce que ça loupe à coup sur. mais plutôt encourager le peureux en le valorisant dans l'action.
il ne doit pas y avoir deux leader qui se contredisent au risque qu'aucun ne soient écouté
insister sur la résistance du matériel, ni le baudrier, ni la corde ne casseront.
dans un saut, toujours mettre la corde immédiatement à la moindre hésitation, un saut qui fait peur = plus de sauts du canyon.
en faisant comme ça j'ai toujours réussi à gérer les mauvaises situations et il y a toujours eu une happy end, mais rien n'est acquis et chaque sortie peut comporter sa nouveauté.
un membre accompagné communique négativement aux autres (genre ouais il y a eu des accidents sur ce parcours), la personne peureuse qui va l'entendre va commencer à réfléchir puis à angoisser jusqu'à la rupture des nerfs. et ce sans que l'encadrant n'ai rien vu venir.
l'encadrant doit prouver qu'il est le seul qu'on doit écouter.
dans un groupe, il y a un fou-fou-qui-saute-partout, une autre personne du groupe va le reprendre en lui expliquant, incident clôt. le peureux aura entendu ça et se bloquera sur une situation sans risque en prenant l'exemple fataliste pour lui même.
même solution faut imposer son avis, si l'encadrant dit que c'est bon, c'est comme ça, pas de place au doute, si il y a un risque (saut difficile) corde posé et au choix pour l'encadré en lui disant que le rappel c'est sympa
la mise face à une situation "risquée", genre lâcher le brin du bas en rappel. mettra le peureux dans tous ses états, il ne se sentira pas capable d'exécuter une action simple. à cause de l'évocation de la conséquence du lâcher.
mettre en confiance le peureux en lui disant qu'il se débrouille comme un chef, qu'on est surpris de le voir aussi doué et qu'il a déjà prouvé qu'il en est capable, en parallèle lui faire une sécurité genre contre assuré du haut en lui prouvant qu'il arriverait sans. dans le cas du débit, parler doucement malgré le bruit et galvaniser la personne
le sentiment de non maitrise face à un membre expérimenté, ce dernier sera à l'aise en toute condition et quand il considèrera un passage facile pour le peureux, celui ci va s'établir sa propre échelle de difficulté erroné bien sur, et le leader aura du mal à le convaincre.
là faut demander l'aide d'une tierce personne, l'encadrant a perdu sa crédibilité en la prouvant, pour pas que ça arrive, ne pas impressionner et rester discret dès le début, l'encadrant a instauré une domination dans le groupe qui lui nuit.
dans tous les cas le pire mot à dire c'est t'inquiète pas parce que ça loupe à coup sur. mais plutôt encourager le peureux en le valorisant dans l'action.
il ne doit pas y avoir deux leader qui se contredisent au risque qu'aucun ne soient écouté
insister sur la résistance du matériel, ni le baudrier, ni la corde ne casseront.
dans un saut, toujours mettre la corde immédiatement à la moindre hésitation, un saut qui fait peur = plus de sauts du canyon.
en faisant comme ça j'ai toujours réussi à gérer les mauvaises situations et il y a toujours eu une happy end, mais rien n'est acquis et chaque sortie peut comporter sa nouveauté.
Guide en pays niçois et ailleurs http://nice-canyoning.com
faites du canyon, pas la guerre
faites du canyon, pas la guerre
Merci pour les réponses.
C'est vrai que la peur d'une personne peut être contagieuse.
Par exemple ma copine qui suis d'habitude sans problèmes, a esquivé certains obstacles le jour ou la personne a refusé de participer. J'ai aussi discuté avec cette personne qui pourtant avait fait les ecouges, ce jour la, elle a tout sauté car dans le groupe il y avait des copines à elles qui sont passées.
La confiance dans l"encadrant aussi a joué car dans sa sortie aux ecouges le cadre était BE.
Pour ma part avant une descente je fais toujours un petit briefing ou je parle des risques dans un canyon et ce qu'il faut éviter de faire. Je pense que ça peut bien faire cogiter mais on peut pas balancer des gens comme ça sur une descente. J'ai connu ça à mes débuts en kayak, avant une descente on te donne les consignes à suivre si tu baigne, les drossages, les rappels, les siphons, les coissements, les branches... Ben quand tu arrive sur les rapides un peu chaud tout ça revient en tête et tu flippe.
Du cou avec des débutant plutot que de balancer toutes les infos en une fois, il vaut peut être mieux les donner au fur et à mesure de la descente.
Après il y a la corde mais ma question était plutot de trouver une solution pour gérer la peur.
En tant que moniteur, si tu arrive à lui faire surmonter sa peur, tu lui a apporté quelque chose. Si tu la descend au bout d'une corde tu lui apporte pas grand chose. A la sortie du canyon la personne aura toujours peur de sauter.
C'est vrai que la peur d'une personne peut être contagieuse.
Par exemple ma copine qui suis d'habitude sans problèmes, a esquivé certains obstacles le jour ou la personne a refusé de participer. J'ai aussi discuté avec cette personne qui pourtant avait fait les ecouges, ce jour la, elle a tout sauté car dans le groupe il y avait des copines à elles qui sont passées.
La confiance dans l"encadrant aussi a joué car dans sa sortie aux ecouges le cadre était BE.
Pour ma part avant une descente je fais toujours un petit briefing ou je parle des risques dans un canyon et ce qu'il faut éviter de faire. Je pense que ça peut bien faire cogiter mais on peut pas balancer des gens comme ça sur une descente. J'ai connu ça à mes débuts en kayak, avant une descente on te donne les consignes à suivre si tu baigne, les drossages, les rappels, les siphons, les coissements, les branches... Ben quand tu arrive sur les rapides un peu chaud tout ça revient en tête et tu flippe.
Du cou avec des débutant plutot que de balancer toutes les infos en une fois, il vaut peut être mieux les donner au fur et à mesure de la descente.
Après il y a la corde mais ma question était plutot de trouver une solution pour gérer la peur.
En tant que moniteur, si tu arrive à lui faire surmonter sa peur, tu lui a apporté quelque chose. Si tu la descend au bout d'une corde tu lui apporte pas grand chose. A la sortie du canyon la personne aura toujours peur de sauter.
Le meilleur guide capable de gérer ça je l'ai croisé dans le Tapoul,
un magicien....
ET c'est pas une fiction !!!
Le guidos était une sorte d'hypnotiseur, qui noyait ces clientes dans un bouillon
de paroles rassurantes, yeux dans les yeux, en leur parlant à 10cm,
Il tchatchait, il tchatchait, avec un flot inninterrompu et en même temps, sans qu'elle s'en aperçoivent, ils les mettaient
en position de saut/toboggan/"pseudo tyro" penchée à 80°,
puis d'un coup il lâchait un, "et voilà c'est ok", une petite tape au cul
et hop.
Elles en redemandaient !!!!
Plus sérieusement, le secret de ce gars est :
"d'occuper le volume sonore
pour ne pas laisser la possibilité au client d'émettre un commentaire sur sa peur"
Et je pense que c'est une très très très bonne méthode, car comme l'on dit les précédent
la peur est un peu irrationnelle, communicative et pas facile à arrêter par des arguments rationnels.
Le fait de la couper dans l'oeuf, en ne permettant pas qu'elle sorte est un très bon moyen.
C'est la méthode Franck.J, diplomatie en plus.
un magicien....
ET c'est pas une fiction !!!
Le guidos était une sorte d'hypnotiseur, qui noyait ces clientes dans un bouillon
de paroles rassurantes, yeux dans les yeux, en leur parlant à 10cm,
Il tchatchait, il tchatchait, avec un flot inninterrompu et en même temps, sans qu'elle s'en aperçoivent, ils les mettaient
en position de saut/toboggan/"pseudo tyro" penchée à 80°,
puis d'un coup il lâchait un, "et voilà c'est ok", une petite tape au cul
et hop.
Elles en redemandaient !!!!



Plus sérieusement, le secret de ce gars est :
"d'occuper le volume sonore
pour ne pas laisser la possibilité au client d'émettre un commentaire sur sa peur"
Et je pense que c'est une très très très bonne méthode, car comme l'on dit les précédent
la peur est un peu irrationnelle, communicative et pas facile à arrêter par des arguments rationnels.
Le fait de la couper dans l'oeuf, en ne permettant pas qu'elle sorte est un très bon moyen.
C'est la méthode Franck.J, diplomatie en plus.
Je pense qu'un encadrant, quelquefois, doit avoir une "parole d'autorité" avec un ton péremptoire et qui ne demande aucune alternative "TU METS UN PIED EN AVANT, un coup d'élan, ET TU SAUTES !" avec une voix de stentor, et .....ça peut marcher ! (je l'ai vécue)
Perso : la personnalité de l'encadrant y est pour beaucoup, il doit avoir une certaine autorité et poigne, surtout dans les situations à risque. La personne "peureuse" se tournera tout naturellement vers le guide, en quêtant une aide, si le "fonds sonore" est bon, et que l'autorité y est, ça peut le faire
Perso : la personnalité de l'encadrant y est pour beaucoup, il doit avoir une certaine autorité et poigne, surtout dans les situations à risque. La personne "peureuse" se tournera tout naturellement vers le guide, en quêtant une aide, si le "fonds sonore" est bon, et que l'autorité y est, ça peut le faire

Toujours dans l'eau ! mais salée en ce moment ......
- TY SAUNIER
- Messages : 2036
- Inscription : mar. 20 sept. 2005 12:17
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tu oublie la "tape au cul"... ne serait ce pas la le secret...ivanb a écrit :Le meilleur guide capable de gérer ça je l'ai croisé dans le Tapoul,
un magicien....
ET c'est pas une fiction !!!
Le guidos était une sorte d'hypnotiseur, qui noyait ces clientes dans un bouillon
de paroles rassurantes, yeux dans les yeux, en leur parlant à 10cm,
Il tchatchait, il tchatchait, avec un flot inninterrompu et en même temps, sans qu'elle s'en aperçoivent, ils les mettaient
en position de saut/toboggan/"pseudo tyro" penchée à 80°,
puis d'un coup il lâchait un, "et voilà c'est ok", une petite tape au cul
et hop.
Elles en redemandaient !!!!![]()
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Plus sérieusement, le secret de ce gars est :
"d'occuper le volume sonore
pour ne pas laisser la possibilité au client d'émettre un commentaire sur sa peur"
Et je pense que c'est une très très très bonne méthode, car comme l'on dit les précédent
la peur est un peu irrationnelle, communicative et pas facile à arrêter par des arguments rationnels.
Le fait de la couper dans l'oeuf, en ne permettant pas qu'elle sorte est un très bon moyen.
C'est la méthode Franck.J, diplomatie en plus.
Putain... on a découvert le secret

Oui pas de précipitation dans ce mouvement il faut donner du temps au tempsTY SAUNIER a écrit :tu oublie la "tape au cul"... ne serait ce pas la le secret...



Par contre comment faire la différence entre celui qui mérite une petite tape et celui du coup de pied sens donner l'impression que
le volume en est la cause merci pour vos réponses
