Je suis jaloux !
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Je suis jaloux !
Bah oui, y'a Caracal et Marie qui font des romans de trois pages et j'arrive pas à aligner 10 mots
Donc je vais faire un nouveau débat.
Précisons d'emblée que mon langage, malgré son ambiguïté fondamentale et son hermétisme existentiel, ne prétend pas à la captation d'un pouvoir quelconque fut-il autocratique, et se situe délibérément hors de l'univers canyonnesque.
Mon approche vise à apporter un message d'autosatisfaction purement ludique, et à favoriser un transfert lénitif à l'angoisse conflictuelle de notre temporalité, s'insérant en cela dans la longue tradition d'oblativité et de libéralité des milieux de la pensée canyonistique.
Bref, la pertinence de mes propos n'a d'égale que son impertinence, et ne trouve d'excuse absolutoire que dans la poussée saisonnière qui veut que les cascades de pertinence se couvrent de mousse de rhétorique, plutôt que d'algues glissantes et conflictales.
Personne ne dors ? Je continue...
Au niveau du canyon ainsi exposé et traité dans son contexte situationnel, par l'effet d'un pensé fondamental influencé par une dialectique en continuelle invention, nous mesurons le degré de sa perméabilité à des valeurs extérieures, et, de la sorte, nous pesons toute la force de sa cohésion interne reposant sur des implications et des effets transformatifs dont les éléments moteurs sont liés par des signes dynamiques de corrélation et d’intégration. Un contexte phraséologique réitératif inclus dans un système de commutation générateur de propedeutique, grâce a la convergence des référents, illumine alors le contrepoint cosmique et thématique, libérateur d'une maieutique ou le principe d'individuation transcende l'en-soi par un effet cathartique qui ne tient pas à l'agencement syntagmatique, mais au choix paradigmatique inspiré du "canyonisme" dont certains disent qu'il est très "dans l'eau", mais d'autres, moins bien intentionnés, disent qu'il fait "beaucoup de mousse".
Tous le monde suit ? Oui ? Bien ! on arrive à la question principale :
La phénoménologie du canyonisme ne réifie t'elle pas la sur-conceptualisation univoque et cosmologique de l'être dans la nature sauvage ?
je vous laisse réfléchir ! ' ' '
Bonne nuit ! /
PS : Roro, par faveur exceptionnelle, je te laisse un an pour comprendre la première phase. Après, c'est l'interro écrite pour avoir du pastis ! (et c'est fab83 qui corrige les copies...)
Donc je vais faire un nouveau débat.
Précisons d'emblée que mon langage, malgré son ambiguïté fondamentale et son hermétisme existentiel, ne prétend pas à la captation d'un pouvoir quelconque fut-il autocratique, et se situe délibérément hors de l'univers canyonnesque.
Mon approche vise à apporter un message d'autosatisfaction purement ludique, et à favoriser un transfert lénitif à l'angoisse conflictuelle de notre temporalité, s'insérant en cela dans la longue tradition d'oblativité et de libéralité des milieux de la pensée canyonistique.
Bref, la pertinence de mes propos n'a d'égale que son impertinence, et ne trouve d'excuse absolutoire que dans la poussée saisonnière qui veut que les cascades de pertinence se couvrent de mousse de rhétorique, plutôt que d'algues glissantes et conflictales.
Personne ne dors ? Je continue...
Au niveau du canyon ainsi exposé et traité dans son contexte situationnel, par l'effet d'un pensé fondamental influencé par une dialectique en continuelle invention, nous mesurons le degré de sa perméabilité à des valeurs extérieures, et, de la sorte, nous pesons toute la force de sa cohésion interne reposant sur des implications et des effets transformatifs dont les éléments moteurs sont liés par des signes dynamiques de corrélation et d’intégration. Un contexte phraséologique réitératif inclus dans un système de commutation générateur de propedeutique, grâce a la convergence des référents, illumine alors le contrepoint cosmique et thématique, libérateur d'une maieutique ou le principe d'individuation transcende l'en-soi par un effet cathartique qui ne tient pas à l'agencement syntagmatique, mais au choix paradigmatique inspiré du "canyonisme" dont certains disent qu'il est très "dans l'eau", mais d'autres, moins bien intentionnés, disent qu'il fait "beaucoup de mousse".
Tous le monde suit ? Oui ? Bien ! on arrive à la question principale :
La phénoménologie du canyonisme ne réifie t'elle pas la sur-conceptualisation univoque et cosmologique de l'être dans la nature sauvage ?
je vous laisse réfléchir ! ' ' '
Bonne nuit ! /
PS : Roro, par faveur exceptionnelle, je te laisse un an pour comprendre la première phase. Après, c'est l'interro écrite pour avoir du pastis ! (et c'est fab83 qui corrige les copies...)
Ip, je ne suis pas tout a fait d'accord. Il faut tout de meme preciser que notre passion commune et aquqtique se caractérise par la substantivation du langage par suffixation ou préfixation cumulative, et que son exercice consiste en une fixation de virtualités reposant sur le postulat d'une démarche compositionnelle et débouche sur la séparation d'un espace et d'un temps multidimensionnels, organisés selon les principes d'une polyphonie complexe de portée signifiante. Dans une perspective linguistique mass-médiatique, écho scénographique d'un temporel linéaire faussement dialectique, mais laissant sa liberté totale au langage pour lui permettre de signifier infiniment plus qu'on ne lui permet de signifier dans la quotidienneté, les confabulations commutatives des stagiaires créent un véritable parangon logotypique.
- lostclimber
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Ah, enfin un forum où l'on retrouve autre chose que des textos incompréhensibles et où la réflexion et la pensée sont à la hauteur des cascades canyonistiques et loin des abîmes spéléologiques de la soupe traditionnelle des autres forums ! /
Ce site devrait remplacer le mot "descente" dans son nom pour bien indiquer au contraire l'élévation de la conceptualisation apportée par ses participants et animateurs.
Merci à tous d'avoir su élever le débat
Corse sauvage : - Le site https://corse-sauvage.com - Le Blog https://corse-sauvage.fr
L'associu "A Punta Bunifazinca" : - https://apuntabunifazinca.com
L'associu "A Punta Bunifazinca" : - https://apuntabunifazinca.com
Je vois qu'il y a des adeptes du Mérieutron : http://home.tele2.fr/mammouth/meirieutron.htm
Quoi qu'il en soit, on finira tous un jour dans un lit
En 2 mots, tout dépend de la position de l'homme dans son espace, du rapport entre l'activité et l'extérieur et les liens relationnels qu'il pourra créer avec les autres humains. En 2 mots, le canyon n'est-il pas une création culturelle. N'est ce pas un moyen, fruit du volontarisme humain, donc objet de liberté, qui lui permet à partir de matière inerte qu'il agence, de créer des liens avec autrui. Ces liens posent des questions, interrogent l'autre et son devenir, replace l'individu dans un tout lui permettant de se situer.
en conséquence, le canyon touche bien à la cosmologie. C'est à dire comment ce vaste mécano universel et humain, s'agence, telle une mécanique idéale menée par la main invisible du grand architecte.
En revanche, ce n'est pas une eschatologie. Elle n'a pas pour but de donner une histoire de la fin. De projeter l'être de raison dans un avenir dont il trouverait un terme. C'est une activité physique du temps présent qui situe, qui crée un histoire, mais qui na pas vocation à se projeter.
Inversement, le canyon touche à l'ontologie, allant rechercher dans ses treffonds la structure fondamentale de la nature humaine, en l'ordonnant et l'organisant.
Malgré sa concommittance avec le risque, ce n'est pas un thanatologie, Nous approchons plus du mythe du phoénix, qui s'approchant du danger retrouve le sens existentiel. Problème lié à la nature humaine, où seul dans l'univers, il doit trouver une raison qui le transcende afin de survivre.
en conséquence, le canyon touche bien à la cosmologie. C'est à dire comment ce vaste mécano universel et humain, s'agence, telle une mécanique idéale menée par la main invisible du grand architecte.
En revanche, ce n'est pas une eschatologie. Elle n'a pas pour but de donner une histoire de la fin. De projeter l'être de raison dans un avenir dont il trouverait un terme. C'est une activité physique du temps présent qui situe, qui crée un histoire, mais qui na pas vocation à se projeter.
Inversement, le canyon touche à l'ontologie, allant rechercher dans ses treffonds la structure fondamentale de la nature humaine, en l'ordonnant et l'organisant.
Malgré sa concommittance avec le risque, ce n'est pas un thanatologie, Nous approchons plus du mythe du phoénix, qui s'approchant du danger retrouve le sens existentiel. Problème lié à la nature humaine, où seul dans l'univers, il doit trouver une raison qui le transcende afin de survivre.
Quoi qu'il en soit, on finira tous un jour dans un lit
Eureka Pffiou j'ai eu du mal. .......mais j'ai pigé !!! /
YES ! / C'est bien un extrait des textes techniques inhérent a la ratification de la constitution européenne dont un exemplaire nous a été remis à domicile pour étude et analyse avant vote Référendaire !
Une fois de plus en bonne intelligence et apres mûre reflexion je vote NOUI !
A plouf,
YES ! / C'est bien un extrait des textes techniques inhérent a la ratification de la constitution européenne dont un exemplaire nous a été remis à domicile pour étude et analyse avant vote Référendaire !
Une fois de plus en bonne intelligence et apres mûre reflexion je vote NOUI !
A plouf,
Votre joie est la force de l'eternel.
Voilà la réponse du Mérieutron :
"Compte tenu des attaques dont la réforme est l’objet et une nécessité de questionnement en ce début de XXIe siècle, il est vital, dans le souci des apprenants, de se positionner avec la majorité des accompagnements des réformes par essence citoyennes."
"Compte tenu des attaques dont la réforme est l’objet et une nécessité de questionnement en ce début de XXIe siècle, il est vital, dans le souci des apprenants, de se positionner avec la majorité des accompagnements des réformes par essence citoyennes."
Quoi qu'il en soit, on finira tous un jour dans un lit
Mon Merieutron dit pas vraiment la meme chose.
Fidèles aux objectifs fondamentaux et interpellés par cette crise de l’élitisme bourgeois en ce début de XXIe siècle, il faut dans l’intérêt des nouveaux publics élargir l’horizon de tous les partenaires éducatifs à une mise en oeuvre se réferrant à des capacités et compétences d’une culture commune.
Fidèles aux objectifs fondamentaux et interpellés par cette crise de l’élitisme bourgeois en ce début de XXIe siècle, il faut dans l’intérêt des nouveaux publics élargir l’horizon de tous les partenaires éducatifs à une mise en oeuvre se réferrant à des capacités et compétences d’une culture commune.
Ma vie ne tien t'elle qu'a un fil ?
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En fait, cela est plutot de l'arnacologie dont voici les fondamentaux (Attention ! ce texte est lisible )
L'arnacologie revêt une importance grandissante sur le plan politique, économique, social et culturel.
Cette science, encore embryonnaire dans sa formation, est cependant très ancienne, et trouve sans doute son origine dans l'acculturation méditerranéenne, et plus particulièrement dans la sphéromanie ludique de certaines peuplades, sphéromanie connotée d'agoraphilie et que l'on appelle vulgairement "pétanque". L'acteur principal se place au centre d'un cercle sur le plan de la temporalité terrestre, projette dans l’avenir le but - ou objectif - improprement appelé "cochonnet".
Parallèlement, l'action se développe au plan des organes locuteurs de l'environnement et dans le confusionnisme général entre locuteurs et locutes, l'arnacologue averti trouve de riches moissons d'observations.
En particulier, la mesure de l’écart du résultat par rapport au but relève d'une métrologie très particulière qui est un modèle d'arnacologie logistique.
Mais depuis une décennie environ, l'arnacologie logistique s'hexagonalise par une généralisation des processus adaptatifs à la frustration, généralisation auto-accélérée par la diffusion et la privatisation des mass-média. Nous assistons à l'apparition de l'arnacologie générale et approfondie, dite arnacologie hexagonale, qui se subdivise en de nombreuses branches : arnacologie directoriale, syndicale, électorale, publicitaire, opérationnelle, etc...
Nous nous intéresserons à une branche notoirement inopérante, l'arnacologie logomachique ou logologique, qui constitue un rameau particulièrement verdoyant de la sémantique.
Cette science se caractérise par la substantivation du langage par suffixisation ou préfixisation cumulative :
Exemple : programme, programmer, programmation, programmationnement, programmationnemental, ...
société, social, socialement, societal, societalement, neo-sociétalementionnel,...
culture, culturel, acculturation, acculturationnelleme<nt...
Le concept a d'autant plus de poids que le vocable est plus lourd.
Les termes monosyllabiques rebelles à ce traitement donnent lieu a la conglomération substantive : "l'en-soi", le "non-dit", le "sur-moi", le "sous-cul", le "quant-à-soi", etc...
Le verbe, expression par excellence de l'action, est très peu employé aux modes personnels, mais les modes participiaux - eux aussi substantives - sont l'objet d'une prédilection marquée : le "signifiant" et le signifié", le "dominant" et le "domine", etc... L'analyse met alors en évidence que le dominant n'est qu'un pseudo-dominant, c’est-à-dire un domine réel et inversement. L’Université, notamment, terre bénite de l'arnacologie logomachique, donne un vivant exemple de la puissance d'action de cette analyse, créatrice de la situation actuelle ou il est très délicat de distinguer entre "enseignant" et "enseigné", "pseudo-enseignant" et "pseudo-enseigné", etc...
Vous voila plus instruit, je pense /
L'arnacologie revêt une importance grandissante sur le plan politique, économique, social et culturel.
Cette science, encore embryonnaire dans sa formation, est cependant très ancienne, et trouve sans doute son origine dans l'acculturation méditerranéenne, et plus particulièrement dans la sphéromanie ludique de certaines peuplades, sphéromanie connotée d'agoraphilie et que l'on appelle vulgairement "pétanque". L'acteur principal se place au centre d'un cercle sur le plan de la temporalité terrestre, projette dans l’avenir le but - ou objectif - improprement appelé "cochonnet".
Parallèlement, l'action se développe au plan des organes locuteurs de l'environnement et dans le confusionnisme général entre locuteurs et locutes, l'arnacologue averti trouve de riches moissons d'observations.
En particulier, la mesure de l’écart du résultat par rapport au but relève d'une métrologie très particulière qui est un modèle d'arnacologie logistique.
Mais depuis une décennie environ, l'arnacologie logistique s'hexagonalise par une généralisation des processus adaptatifs à la frustration, généralisation auto-accélérée par la diffusion et la privatisation des mass-média. Nous assistons à l'apparition de l'arnacologie générale et approfondie, dite arnacologie hexagonale, qui se subdivise en de nombreuses branches : arnacologie directoriale, syndicale, électorale, publicitaire, opérationnelle, etc...
Nous nous intéresserons à une branche notoirement inopérante, l'arnacologie logomachique ou logologique, qui constitue un rameau particulièrement verdoyant de la sémantique.
Cette science se caractérise par la substantivation du langage par suffixisation ou préfixisation cumulative :
Exemple : programme, programmer, programmation, programmationnement, programmationnemental, ...
société, social, socialement, societal, societalement, neo-sociétalementionnel,...
culture, culturel, acculturation, acculturationnelleme<nt...
Le concept a d'autant plus de poids que le vocable est plus lourd.
Les termes monosyllabiques rebelles à ce traitement donnent lieu a la conglomération substantive : "l'en-soi", le "non-dit", le "sur-moi", le "sous-cul", le "quant-à-soi", etc...
Le verbe, expression par excellence de l'action, est très peu employé aux modes personnels, mais les modes participiaux - eux aussi substantives - sont l'objet d'une prédilection marquée : le "signifiant" et le signifié", le "dominant" et le "domine", etc... L'analyse met alors en évidence que le dominant n'est qu'un pseudo-dominant, c’est-à-dire un domine réel et inversement. L’Université, notamment, terre bénite de l'arnacologie logomachique, donne un vivant exemple de la puissance d'action de cette analyse, créatrice de la situation actuelle ou il est très délicat de distinguer entre "enseignant" et "enseigné", "pseudo-enseignant" et "pseudo-enseigné", etc...
Vous voila plus instruit, je pense /