
Donc je vais faire un nouveau débat.
Précisons d'emblée que mon langage, malgré son ambiguïté fondamentale et son hermétisme existentiel, ne prétend pas à la captation d'un pouvoir quelconque fut-il autocratique, et se situe délibérément hors de l'univers canyonnesque.
Mon approche vise à apporter un message d'autosatisfaction purement ludique, et à favoriser un transfert lénitif à l'angoisse conflictuelle de notre temporalité, s'insérant en cela dans la longue tradition d'oblativité et de libéralité des milieux de la pensée canyonistique.
Bref, la pertinence de mes propos n'a d'égale que son impertinence, et ne trouve d'excuse absolutoire que dans la poussée saisonnière qui veut que les cascades de pertinence se couvrent de mousse de rhétorique, plutôt que d'algues glissantes et conflictales.
Personne ne dors ? Je continue...
Au niveau du canyon ainsi exposé et traité dans son contexte situationnel, par l'effet d'un pensé fondamental influencé par une dialectique en continuelle invention, nous mesurons le degré de sa perméabilité à des valeurs extérieures, et, de la sorte, nous pesons toute la force de sa cohésion interne reposant sur des implications et des effets transformatifs dont les éléments moteurs sont liés par des signes dynamiques de corrélation et d’intégration. Un contexte phraséologique réitératif inclus dans un système de commutation générateur de propedeutique, grâce a la convergence des référents, illumine alors le contrepoint cosmique et thématique, libérateur d'une maieutique ou le principe d'individuation transcende l'en-soi par un effet cathartique qui ne tient pas à l'agencement syntagmatique, mais au choix paradigmatique inspiré du "canyonisme" dont certains disent qu'il est très "dans l'eau", mais d'autres, moins bien intentionnés, disent qu'il fait "beaucoup de mousse".
Tous le monde suit ? Oui ? Bien ! on arrive à la question principale :
La phénoménologie du canyonisme ne réifie t'elle pas la sur-conceptualisation univoque et cosmologique de l'être dans la nature sauvage ?
je vous laisse réfléchir !



Bonne nuit !










PS : Roro, par faveur exceptionnelle, je te laisse un an pour comprendre la première phase. Après, c'est l'interro écrite pour avoir du pastis ! (et c'est fab83 qui corrige les copies...)