marquage des mousquetons
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ola atous
suite a tous les post sur ce sujet , j'ai recontacte damien de petzl il en ressort que
voir mon post sur le matos
la reglementation sur le suivi des connecteurs sort normalement debut 2006
seule la gravure par laser n'est pas deconseillée sous certaines conditions
1/10 mm max soit en prolongement du N° de serie, soit sur la virole
LE MARQUAGE SUR LE CORPS EST FORTEMENT DECONSEILLE
A la question sur l'utilisation des connecteurs frappes sur le corps la reponse est que dans certains cas cela engendre des defauts de resistance du connecteur et quelquefois la rupture de celui ci dans des conditions d'utilisation limites
voili voilou
suite a tous les post sur ce sujet , j'ai recontacte damien de petzl il en ressort que
voir mon post sur le matos
la reglementation sur le suivi des connecteurs sort normalement debut 2006
seule la gravure par laser n'est pas deconseillée sous certaines conditions
1/10 mm max soit en prolongement du N° de serie, soit sur la virole
LE MARQUAGE SUR LE CORPS EST FORTEMENT DECONSEILLE
A la question sur l'utilisation des connecteurs frappes sur le corps la reponse est que dans certains cas cela engendre des defauts de resistance du connecteur et quelquefois la rupture de celui ci dans des conditions d'utilisation limites
voili voilou
on va pas gâcher une si belle soif avec de l'eau !
blog info conditions ossau: http://www.kathaayatraa.fr/kathaayatra- ... oning/blog
www.kathaayatraa.fr
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Tu as pas mal d'entreprises qui sont capables de graver au laser à la profondeur que tu souhaites, ce sont les mêmes entreprises qui font de la découpe au laser.
Mais, personnellement, j'éviterais quand même cette solution tant que ce n'est pas écrit noir sur blanc dans un texte officiel.
Mais, personnellement, j'éviterais quand même cette solution tant que ce n'est pas écrit noir sur blanc dans un texte officiel.
Dans notre monde de brute, les canyons sont des lieux de tranquillité que je ne me lasse pas d'apprécier...
A mon avis, la réponse n'est pas dans la loi. D'ailleurs, je doute que, lors d'un accident, on aille regarder ce genre de détail. En effet, dans le cas d'accident, c'est avant une faute d'utilisation ou une erreur d'appreciation qui a provoqué la rupture du matériel EPI.
A mon avis, la réponse relève plutôt du bon sens. En effet, le matériel que j'ai vu cassé ou qui a été mis au rebus l'était :
- soit à cause d'une mauvaise utilisation : mousqueton ayant travaillé sur le doigt, par exemple... necessite de connaitre son matériel et de faire en sorte de l'utiliser à bon escient.
- soit à cause d'une usure remarquable à l'oeil nu : le rivet fissuré, le ressort qui ne fonctionne plus bien, du jeu dans l'axe de fermeture du doigt, une usure avancée de certaines parties, la corrosion, des déformations... on voit que ca ne rempli plus sa fonction comme auparavent et on le remplace.
Après, naturellement que si on demande l'avis des constructeurs de matériels, ou du législateur, ils vont se protéger un maximum, en l'absence de données exploitables. Et ils auront en partie raison.
Bref, personnellement, je ne frappe pas mes mousquetons comme une brute. Et je m'inquiète plus du bon travail du mousqueton en cas d'effort que de la profondeur de son marquage.
A mon avis, la réponse relève plutôt du bon sens. En effet, le matériel que j'ai vu cassé ou qui a été mis au rebus l'était :
- soit à cause d'une mauvaise utilisation : mousqueton ayant travaillé sur le doigt, par exemple... necessite de connaitre son matériel et de faire en sorte de l'utiliser à bon escient.
- soit à cause d'une usure remarquable à l'oeil nu : le rivet fissuré, le ressort qui ne fonctionne plus bien, du jeu dans l'axe de fermeture du doigt, une usure avancée de certaines parties, la corrosion, des déformations... on voit que ca ne rempli plus sa fonction comme auparavent et on le remplace.
Après, naturellement que si on demande l'avis des constructeurs de matériels, ou du législateur, ils vont se protéger un maximum, en l'absence de données exploitables. Et ils auront en partie raison.
Bref, personnellement, je ne frappe pas mes mousquetons comme une brute. Et je m'inquiète plus du bon travail du mousqueton en cas d'effort que de la profondeur de son marquage.
Bertrand Hauser
N'oublions pas que dans nos activités "le diable se cache dans le détail" ( sic Destivelle aux Drus)...A mon avis, la réponse n'est pas dans la loi. D'ailleurs, je doute que, lors d'un accident, on aille regarder ce genre de détail. En effet, dans le cas d'accident, c'est avant une faute d'utilisation ou une erreur d'appreciation qui a provoqué la rupture du matériel EPI.
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Si le skif d'attache est retrouvé explosé en deux auprès de la victime, m'est avis qu'une petite expertise du matos sera demandée.
Dans la plupart des cas de rupture de matos c'est un cumul d'erreurs qui mène à l'accident, contrairement aux blessures sur un saut qui relèvent d'une seule et unique erreur de jugement et d'appréciation, et c'est pour cela que ces accidents de saut sont largement majoritaires dans notre activité, car il suffit d'une seule erreur pour l'engendrer.