chiki a écrit :Pas grave....je prends le câble je fais un double pêcheur....bob48 a écrit :Avec un câble acier en fixe...plus compliqué



si tu lis un peu plus loin, tu verras que la FFCAM n'est toujours pas reconnue comme fédération agrée, pauvre de nous, AFC CAF même combat, mais il y a quand même plus de boulot pour l'AFC.Alban a écrit :"Diplômes délivrés par les fédérations sportives agrées par le ministre des sport et visant expressément la pratique d'encadrement du canyonisme."
Et donc ça fait ques fédérés ça : FFS, FFME, CAF, au revoir l'AFC ? Et encore, uniquement les cadres qui sont à jour de leur cotisation (puisque c'est une condition de reconnaissance du diplôme par ces dites fédés) ?
Enfin, perso je m'en fous un peu, mais quel ramassis de conneries
1000 euros pour tirer un coup.....koopa a écrit :Ah ouais, c'est des tirs de luxe qu'ils font dans le vercors!!!ivanb a écrit :Pour 1000€, il n'existe plus, pas un dégât sur les rochers environnant.![]()
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A mon humble avis tu as mis un zéro de trop a la somme!!!
Pfffffiouuuuu.....pap440 a écrit :si tu lis un peu plus loin, tu verras que la FFCAM n'est toujours pas reconnue comme fédération agrée, pauvre de nous, AFC CAF même combat, mais il y a quand même plus de boulot pour l'AFC.
+1jojorgc a écrit :L'argumentation concernant la solution qui nous paraissait la plus évidente, à savoir, faire péter le siphon, est quelque peu... branlante...
euh si on fait peter le bloc ya plus d'obstacle....Il faut savoir que ce bloc est très utile justement pour se poser dessus a la descente de la main courante qui sert normalement a franchir l'obstacle.
avec le bloc aussi...Sans ce bloc, il faudra se caler en oposition précaire au dessus d'une faille parcourue par tout le courant de la rivière. D'où le risque de générer également des accidents.
Oui, et c'est le petit côté aventure.jojorgc a écrit :rhooo, c'est juste que vous vous faites vieux! Non mais sans dec', si on compare avec la spéléo, les caynons sont très peu documentés. Les topos restent succinctes
Bein vas y fais nous voir.....jojorgc a écrit :rhooo, c'est juste que vous vous faites vieux! Non mais sans dec', si on compare avec la spéléo, les caynons sont très peu documentés. Les topos restent succinctes, enfin ça reste du schéma, et on a à peine quelques infos sur l'hydrologie. Bref, perso, j'ai envie de travailler dans ce sens!
L'objectif c'est pas du tout ça. C'est justement d'éviter d'avoir une démarche uniquement consumériste du canyon en ayant un œil différent. La topo, c'est juste un point de départ, une base de travail. Après, pour les sceptiques, je leur demande juste un peu de tempsjaja38 a écrit :je suis pas speleo, j'aime bien les via ferratas mais j'aime bien aussi les canyons qui reste un peu roots et inconnus meme si souvent les plus appréciés et appréciables sont tout de même bien décrits, topographiés parfois signalisés etc etc
dans les secteurs équipés que je ne connais pas ce que j'apprecie d'avoir, ce sont les acces et les retours, une fois de dedans place à la découverte ...
Merci MarcMarc Maurin a écrit :Oui, et c'est le petit côté aventure.jojorgc a écrit :rhooo, c'est juste que vous vous faites vieux! Non mais sans dec', si on compare avec la spéléo, les caynons sont très peu documentés. Les topos restent succinctes
Enfin, tout est relatif...
La plupart des canyons européens d'intérêt sont aujourd'hui topographiés, équipés de façon très correcte, et leurs saisons de pratique sont connues. Il existe parfois même des check-points de débit avec photos, des recommandations de niveau, des signalisations de danger, des téléphones de SHem à contacter, et éventuelement des numérotation d'obstacle. Des parkings parfois prévus, des échapatoires balisées...
L'aventure disparait progressivement au profit de la sécurité.
J'avoue que j'aimais bien le côté plus "roots", et que je suis pas fan des "via-ferratas"...![]()
Et tu as raison, je me fais vieux, j'ai passé 40 piges...Je suis presque mort.
Mais je continue à penser qu'il est préférable de savoir s'adapter au milieu plutôt que le milieu s'adapte à nous. On a moins de risque de ne pas savoir répondre aux "surprises" que la nature nous réserve.