Bonjour le tapeur,
je voudrais réagir à certains de tes propos
le tapeur a écrit :Mais en France, en Guadeloupe, pourquoi détruire se qu'il nous reste d'autantiquement naturel. De bons arguments pour décréter une interdiction totale, enfin, il faut être cohérent, si nous voulons protéger l'environnement et que de fait un pas de l'homme dans la nature a un impact, la façon la plus efficace d'exprimer son engagement pour protéger et de ne pas y aller.
Personne, ne veut détruire quoique ce soit, bien au contraire.
Les canyonistes que je connais en Guadeloupe ont tous l'âme écologique et sont d'ardent défenseur d'une nature propre et respectée. Pour ma part, je n'ai pas pour habitude de scier la branche sur laquelle je suis assis.
Pour anecdote, la dernière fois que des amis à moi on fait Tigua, ils ont ramassé des sachets plastiques provenant plus que probablement de touristes en balade à la première chute du Carbet !
Alors effectivement, je comprend que pour préserver notre superbe habitat, on veuille en interdire l'accès. Mais pour moi ceci est un leurre puisque la randonnée est toujours autorisée dans le parc. Les canyonistes ne font d'ailleurs qu'emprunter les sentiers pour arriver aux rivières, rien de plus. Une fois dans la rivière, je ne pense pas que l'impact de notre activité soit significative par rapport a ce que peut faire une crue. Et il faut savoir raison garder, même si on autorise le canyon dans le parc, la fréquentation des rivières ne va pas exploser au point d'en changer la physionomie. Le canyonisme est et restera en Guadeloupe un sport d'initié.
le tapeur a écrit :Je participe avec la majorité des socios proffessionnels à l'ouverture de certaines rivières sous conditions en zone centrale du parc national, afin de permettre à tous de visiter ces sites d'une beauté exeptionnelle et d'avoir plus de poids pour qu'en revanche d'autres sites reste totalement vierges.
Je suis d'accord, inutile d'avoir accès à tous. Mais là encore je suis sceptique, au vu du nombres de sentier de rando, Je ne pense pas qu'il y ait en gwada des espaces qui resteront préservés de l'impact humain.