URINER sport consistant à faire un striptease au fond d’un canyon en moins de trois quarts d’heures avec pour contrainte vos équipiers qui râlent pour partir devant et un autre groupe de canyonnistes qui déboule derrière.
VARAPPE escalade d'une paroi par un canyonniste, généralement effectuée sous le canyard, avec des chaussures lisses et pleines d'eau, sur une paroi lisse et boueuse, assuré par une mutuelle. C'est quand même plus sportif qu’au frais, avec des chaussons, de la magnésie et une roche propre, sans compter la corde dynamique de 12 et le petit tapis pour amortir les chocs !
VAUTRER (SE) action de ne plus se servir (involontairement ou pas) des instruments nécessaires à assurer une descente à une vitesse et une direction contrôlée. Lorsque l'on s'aperçoit que ses collègues sont blêmes, il faut essayer de les faire rire et de détendre d'atmosphère par une bonne plaisanterie. À force de répétition, peut finir par lasser.
VASQUE creux naturel dans un rocher en bas d’une cascade plutôt arroser. Lieu mythique, amenant toujours la même question existentielle : Saut possible ?
Il est à remarquer qu’il faut toujours trouver un pigeon pour aller infirmer cet espoir, la désillusion étant souvent de mise.
VA-VOIR-SI-CA-PASSE c'est une expression courante utilisée en canyonning : un "va-voir-si-ça-passe" est un équipier de petite taille, souvent brimé par ses collègues plus lourdement charpentés, et qui est forcé par ceux-ci de tester un toboggan afin de voir ce qu'il y a dessous. Généralement un "va-voir-si-ça-passe" se transforme souvent, après quelques secondes d'efforts, en "oui-mais-c-est-très-profond".
VIEUX CAMPEUR campeur âgé, avec une longue barbe blanche, un sac à dos et une chemise à gros carreaux, essayant désespérément de trouver un camp de camping à Paris, Lyon ou Grenoble. Avec un look pareil, c'est pas gagné pour trouvé un hébergement...
VIROLE partie ronde et crantée d'un mousqueton servant à le fermer de manière sûre. Strictement impossible à manœuvrer une fois recouverte de boue, elle nécessite un bon quart d'heure et une brosse à dent souple pour être nettoyée dans cet état.
Nouveau glossaire -U- et -V-
... et, tellement désespéré que depuis à peu près 1 an, il essaye aussi à ToulouseVIEUX CAMPEUR campeur âgé, avec une longue barbe blanche, un sac à dos et une chemise à gros carreaux, essayant désespérément de trouver un camp de camping à Paris, Lyon ou Grenoble. Avec un look pareil, c'est pas gagné pour trouvé un hébergement...
UTOPISTE: cannyonneur adepte du "plan pourri" (cf déf.) qui malgré les innombrables bousses (cf.) qu'il a pu parcourrir croit toujours qu'en faissant des petits ronds sur une carte il va finir par découvrir la 7ème merveille du monde cannyonesque. Dans la réalité, la seule première qu'il peut faire se résume le plus souvent à un torrent boueux envahi par les ronces 
Utopie : mot inventé par Thomas more, qui mourru misérablement parce qu'il avait dragué la femme du roi. Accessoirement ce roi était Henri VIII d'angleterre, plus connu sous le nom de Barbe bleu. (franchement il a été le plus c.. des utopiste). L'utopiste fait bien des ronds qui mènent nulle part, d'ailleurs ce fut mon cas encore ce we dans le ruisseau du tonneau (1 bouse sèche a gagner qui me dit où c'est ! Marie tu n'as pas le droit de jouer 
)
Devinette : A oui, concours, j'arrive à pisser sans faire tomber le baudrier et sans enlever le haut (et bien sur sans faire dedans), Comment je fais ???
Non, Marc elle fait pas 50 cm de long et je ne fais pas des noeuds avec
PS: Eviter les insinuations lourdes, merci
)Devinette : A oui, concours, j'arrive à pisser sans faire tomber le baudrier et sans enlever le haut (et bien sur sans faire dedans), Comment je fais ???
Non, Marc elle fait pas 50 cm de long et je ne fais pas des noeuds avec
PS: Eviter les insinuations lourdes, merci
Quoi qu'il en soit, on finira tous un jour dans un lit 
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Sébastien 54
- Messages : 135
- Inscription : ven. 01 oct. 2004 18:07
- Localisation : Marseille
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Sébastien 54
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ben le coup de la combi percée j'y avais aussi pensé mais je pense pas qu'il ait fait ça car une voie d'eau à cet endroi la c'est pas le pied 
peut etre qu'en été en corse ca va
mais pas en automne hiver dans les canyons des écrins
je ne voie plus qu'une seule solution:
_tu ouvre le haut de coumbi
_tu dessere le baudrier un peu
_tu te retourne (tete en bas et pieds en l'air bien droit)
_tu plonge les deux bras dans la salopette pour faire un peu de place
et t'essaiye de ne pas t'en mettre plein le nez
si c'est vraiment ça je te paye un coca
peut etre qu'en été en corse ca va
mais pas en automne hiver dans les canyons des écrins
je ne voie plus qu'une seule solution:
_tu ouvre le haut de coumbi
_tu dessere le baudrier un peu
_tu te retourne (tete en bas et pieds en l'air bien droit)
_tu plonge les deux bras dans la salopette pour faire un peu de place
et t'essaiye de ne pas t'en mettre plein le nez
si c'est vraiment ça je te paye un coca Presque,
- Tu ouvres la combi
- Tu désserre un peu le baudrier coincé sur les jambes
- Tu sors les épaules du haut de combi
- Tu passes les bretelles de la salopette sous les bras
- Tu tires vers le bas le début de la combi qui suit facilement pour aller chercher le machin devenu ridiculement petit dans l'eau froide des écrins et tu fais.....
Ca paraît compliqué, mais essayez c'est révolutionnaire
- Tu ouvres la combi
- Tu désserre un peu le baudrier coincé sur les jambes
- Tu sors les épaules du haut de combi
- Tu passes les bretelles de la salopette sous les bras
- Tu tires vers le bas le début de la combi qui suit facilement pour aller chercher le machin devenu ridiculement petit dans l'eau froide des écrins et tu fais.....
Ca paraît compliqué, mais essayez c'est révolutionnaire
Quoi qu'il en soit, on finira tous un jour dans un lit
