' ). Tu mets un brin de 6 m environ et tu fais une dév.humaine vers la droite pour mettre le brin dans l'axe dès le départ afin d'éviter le pendule, il reste 3 à 4 m dans l'actif, donc au dessus de la cassure. Pendant ce temps ceux qui descendent en rappel descendent sur l'autre brin (brins discociés, bien sur... 
) 
Ils ont adoré.'' 
une bonne leçon d'humilité face à la nature...
Un exemple. Il y a quelques temps j'ai fait le Riu avec 2 forumistes (micka de Marseille et Benjamin). On ne se connaissait pas, environ le même âge. Quelques part dans le canyon, une vasque avec l'eau bien sombre (signe de profondeur) s'offre à nous. "Saut possible "lance l'un d'entre nous (2-3 mètres). Ca semblait possible, mais me rappelant des conseils de mon pote Jean-Luc ("soit doublement prudent avec des gens que tu ne connais pas") je décide de désescalader les rochers et sonder le fond pour les 2 autres. Résultat: pile à l'endroit de l'éventuelle réception du saut, un bloc à moins de 50 cm sous la surface . La morale, si tu veux un petit truc, c'est que si tu le sens pas, "sacrifie toi" et va voir. Je pense que les autres auront bien 2 minutes de patience...Je suis preneur de petits trucs pour dissuader les inconu(e)s de tenter le diable. Mais je crois que derrière, il y a des notions de rapport au groupe/à l'autre qui nous échappent un peu : on veut montrer qu'on sait faire, qu'on peut se surpasser.
' 
avec Seb54
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' ), vers la fin, y-a une petite cascade de 4m sans amarage (tout du moins on ne l'a pas trouvé...) avec desescalade délicate (surplomb, chaos de blocs en bas, pas vasques...)
Après 20 secondes de réflections et voyant mes sacs suivre le courrant... je saute de 8 mètres à plat ventre, légèrement sur le côté...dans à peine 1 mètre d'eau... Les graviers finissent d'amortir la chute. LONGEZ VOUS, LONGEZ VOS SACS 
, dans l'O 
, sans se faire de bObO 
, après on videra un bon tOnO 
, foi de mOblO 
) ... 
