Pour moi, c'était dans les oules de freissinières, dans la cascade du geyser, descente en dernier, j'ai pas assez fait gaffe à la corde qui a bien toronné et est venue bloquer mon descendeur à 15m du sol (et je n'avais pas dispo facilement le matériel idoine pour remonter sur cette goulotte
). Heureusement, il y avait juste là une petite anfractuosité qui m'a permis de reprendre pied, débloquer le tout et reprendre la descente 
' .Depuis, je sépare bien les brins tout au long de la descente, ça va beaucoup mieux.
) on fait les Gorges de Chaille avec un copain.
et me rejoind 
on se retrouve comme deux bout de bois accrocher à notre sac en ce demandant comment on va sortir de là.
Je sors en R.G. par une "échappatoire" et remonte ainsi 50 m. 
, sans se faire de bObO 
, après on videra un bon tOnO 
, foi de mOblO 
J'avais du être troublé par la coequipière qui m'accompagnait ce jour là, puisque en été, la descente se fait bien évidement en maillot 
. Depuis, je verifie 5 ou 6 fois pendant la descente. 
. Du coup, au débouché de l'affluent, obligé de se mettre à la flotte dans un cours d'eau en furie. Résultat: 1/4 d'heure de neoprenus-tamponneur-plongeur à ne pas savoir si c'est de l'air ou des bulles que tu respires (pour un trajet fait l'année suivante par débit normal en 1h15!), une nuit à la fraiche dans le canyon, une seance de spitage d'une soirée + demi-journée, et un tour d'hélico pour les copains restés un peu plus haut dans le canyon sur une plage providentielle. ](./images/smilies/eusa_wall.gif){kind=small}
Qui c'est qui s'y colle 
), parce que le débrayable sur le forum ça va pas être simple de l'expliquer 
... voire même celle des autres des fois 
, mais sondez bien avant, ça touche 