- le problème de percer toujours plus fin (en profitant du faible diamètre de la dyneema par exemple), c'est que l'angle de percage doit être vraiment bien calculé, si l'on veut bien redonner dans le premier trou

- mettre de la dyneema, ca serai l'idéal... mais au prix où ca coute...
- lorsque c'est possible bien sûr, on peut privilégier les lunules directes (1 seul axe de percage), qui facilite la mise en place de la cordelette et limite son usure.
- dans les lunulles non directes, mieux vaut tout de même utiliser un bon diamètre de corde, car l'angle intérieur (et invisible) a naturellement tendance à entamer la corde (sauf textile particulièrement résistant comme la dyneema)
- à mon avis, la lunulle s'approche de l'ancrage quasiment indestructible et réutilisable à l'infini en comparaison des autres familles d'ancrages
- l'argument de la non pollution réduite est à mon avis pas recevable. En effet, que représente qq gramme de résine et les petits bouts de métal de qq broches enmporté par une crue en regard de n'importe qu'elle autre action d'aménagement ? Il n'y a aucun forme de pollution réelle dans l'équipement en canyon. La question est plutôt du coté de la gène visuelle ou du conflit d'éthique par rapport à un site donné.
- côté ancienneté de la pratique, à mon avis, ca fait en effet un paquet d'année que c'est utilisée (Henri est en vadrouille, on aura sa réponse vers la toute fin du mois je pense). Ca se démocratise tout doucement depuis 4/5 ans j'ai l'impression...